A C T U A L I T E S

AGENDA * INDIGNATION : contre l'arbitraire des OQTF (et pour Marie-Thérèse) / Vive Fifine !

12 Août REPRISE DES COURS D'ÉTÉ AU LYCÉE RAVEL. Organisés par la municipalité, ils sont une véritable institution locale ! et ...

mercredi 13 août 2025

HALTE AUX CONTREFAÇONS ! et remerciements aux Luzien.nes

 2897 visites décomptées  en Juillet 2025

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Lire aussi : Méfiez-vous de simitations ! Démocratie contagieuse ; Les sept plaies

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MERCI à toutes nos lectrices , tous nos lecteurs

et rendez-vous en septembre

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COMMUNIQUÉ
de presse envoyé le 31 juillet


Méfiez-vous des imitations !

La GAUCHE LUZIENNE invite les citoyen.nes intéressé.es à réserver leur soirée du Jeudi 18 septembre 2025.
Une réunion publique de restitution des résultats de la consultation et d'explication de notre démarche citoyenne sera organisée ce jeudi-là 
de 18 h 30 à 20 h en la salle du Fronton Municipal (allée Perkains)


Nos remercions les nombreuses personnes ayant répondu au questionnaire rédigé et diffusé par la section locale du Parti Socialiste et ses sympathisants démocrates et républicains, réunis avec des personnes de sensibilité écologiste, féministe et sociale dans l'association des amis de la Gauche Luzienne.  

Celles et ceux des habitants de notre ville qui n'ont pas encore reçu le questionnaire peuvent toujours le trouver en ligne pour le compléter

LA GAUCHE LUZIENNE 
doit constater que la majorité municipale, qui a entrepris d'imiter ostensiblement sa démarche, et qui diffuse en ligne son propre questionnaire, use cependant de méthodes qui ne sont pas les siennes : imposant notamment aux répondants de livrer leur adresse électronique, mais leur demandant aussi de préciser s'ils sont ou non de vieux résidents, etc.  Tandis que ses militants présentent coutumièrement sur les réseaux sociaux le sondage rédigé par les Droites comme "un questionnaire produit par la municipalité". Ce qui n'est pas factuellement exact.

Secrétaire de Section PS
Président de l'Association des amis de la GAUCHE LUZIENNE



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EN AOÛT, LE PIED TENDRE S'AMUSE

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Chronique du 13 août

Le Pied Tendre a passé une très bonne soirée, hier, grâce à la bonne volonté et aux talents réunis de nombreux chanteurs et musiciens, habitant, pour la plupart, la commune : des artistes amateurs ou professionnels qui se produisaient sur la scène du fameux restaurant-boîte de nuit (foodcourt avec animation) implanté sur le site de l'ancien garage automobile du centre-ville. Lequel était devenu jadis le bar à food trucks "chez Renauld" mais a été remplacé depuis par un très vaste bâtiment englobant notamment un complexe hôtelier et des boutiques, empiétant sur l'avenue Victor-Hugo et sur l'ancienne placette Jaulerry (espaces vendus aux promoteurs par la municipalité en 2019 malgré l'opposition des Socialistes et du groupe Herri Berri).

Invité à la fête par sa voisine préférée, Mme Deferforgée, le Pied Tendre ne s'est pas dérobé, malgré la méfiance qu'il éprouve d'habitude à propos de tout ce qui est lié à la rénovation Foch ; ceci sans doute à force d'avoir lu dans le blog de la Gauche Luzienne l'exposé des nombreux motifs de scandale générés par le réaménagement "au forceps" de cette zone urbaine sensible : il en est resté, sinon traumatisé, du moins quelque peu circonspect ! Et quand, par exemple, M Cyclopède lui dit que le site est tout de même "plus présentable" que la friche industrielle existant auparavant, ou que Mme Desécoles lui assure que la modernité brutale de l'architecture nouvelle lui plaît, cela l'agace beaucoup. 

En effet, si l'insertion des constructions dans le paysage urbain  et l'opportunité de faire un hôtel et des résidences de standing ont ému l'opinion et peuvent encore donner lieu à des débats, c'est d'abord le mépris des risques environnementaux et des procédures de précaution habituelles qui a posé problème. Sans parler de la très mauvaise qualité de la concertation avec les habitants, et de l'imbroglio du parking public - concédé, pour ce qui concerne sa gestion, à des intérêts privés, mais, de plus, implanté sur le port (et pas ailleurs) pour complaire aux investisseurs de l'îlot Foch, dont le parking clientèle avait besoin d'une rampe d'accès "hors d'eau" et donc d'un stationnement public complétant le leur (ceci en raison du caractère inondable du secteur : un risque avéré en dépit des dénégations de J-F Irigoyen).

Bref, Le Pied Tendre a laissé hier de côté ces questions irritantes et a bien profité du moment, en compagnie de quelques amis. "L'endroit me rappelle vraiment l'ancien garage" a cependant persiflé d'emblée Mme Duchapeau, car "l'acoustique du nouveau bar est presque aussi épouvantable que celle du vieil atelier de mécanique" ! Mais le bruit de fond des conversations y est très amorti, par rapport à ce qu'il était. N'empêche, que "ça ne me plaît pas. Ce n'est pas l'esprit de Saint-Jean"  a grommelé M. Vrombissant, tout juste rentré d'un périple à moto dans la péninsule ibérique - où tout est beaucoup moins cher ! et qui reste par ailleurs nostalgique de l'ancien garage, trouvant le nouvel endroit "trop chicos".

Pour M Cyclopède, il y a un peu de mauvaise foi de la part des commentateurs les plus négatifs. Car, pour ce qui concerne la perennité d'un lieu convivial où l'on puisse chanter, voire danser, tous ensemble : tout le monde est pour, et en premier lieu les artistes du crû ! Le Pied Tendre ne lui donne pas tout à fait tort et rejoint ainsi l'avis de son blog préféré, lequel redoute un manque de rentabilité du lieu et, en conséquence, une longue période de fermeture hors-saison, voire pire, au cas où les Luziens ne "s'approprieraient pas" l'endroit. Si le dancing restait l'apanage des seuls touristes de passage en été, et que l'ombre du losange continuait de planer sur le site, ce serait en effet un échec pour la ville ! 

Le Pied tendre se promet quant à lui d'y revenir, pour encourager les musiciens et donner de la voix quand il s'agit d'entonner Hegoak ou tout autre hymne nocturne, et faire vivre les infrastructures, maintenant qu'elle sont là (certes : sans forêt urbaine, mais avec les bouchons et les nuisances afférentes, que la Gauche Luzienne avait anticipées et qu'on aurait pu corriger - ce fût notamment le cas s'agissant de l'édification d'une bâtisse prévue à l'origine sur la place Foch proprement dite, construction qui devait mener à la destruction du pavillon Pavlovsky ; le projet, envisagé à l'origine, avait été annulé après sa  révélation par les élus socialistes ; hélas, après cet épisode, l'affaire avait été présentée comme "celle de la majorité municipale, seule" qui, très décidée à passer en force, avait exclu l'opposition de gauche, et elle seule ! du comité de pilotage, ceci dans le but explicite de lui fournir le moins d'informations possible - sic).

Mme Duchapeau, ironique, a jugé les bonnes résolutions du Pied Tendre sans faire montre de beaucoup de complaisance à son égard. "S'agit-il d'une excuse pour sortir davantage ?" a-t-elle émis. Et de se demander si le Pied tendre escomptait se mettre à dessiner des graffitis, histoire de donner quelque utilité à l'ancien auditorium Ravel, désaffecté et laissé tel un champ de ruines, au beau milieu de la Pergola.

jeudi 7 août 2025

MÉFIEZ-VOUS DES IMITATIONS

Publié le 1er août 

Le blog de la Gauche Luzienne s'autorise une pause en Août, mais ses militants continueront de distribuer le questionnaire QU'EN PENSEZ-VOUS ? diffusé de la main à la main ou dans les boîtes-aux-lettres depuis le début du mois de juillet.

Vous pouvez le compléter en ligne... et vous préparez d'ors et déjà à participer à notre réunion de rentrée prévue en septembre.

Mais faites attention aux contrefaçons

car si la Droite municipale a décidé de copier notre démarche, ce qui lui a déjà valu d'être ridicule (et ce jusque dans les colonnes de SUD OUEST) et si les questions qu'elle pose sont en partie les mêmes que les nôtres (nous verrons donc facilement la sincérité du travail de dépouillement de nos concurrents, en comparant les résultats qu'ils voudront bien publier à vos réponses) elle a sa conception vraiment très particulière de la démocratie participative : 

La GAUCHE LUZIENNE ne vous force pas à vous identifier, mais la Droite, si (son questionnaire ne s'ouvre que si vous déclinez l'adresse de votre compte Google !). 

Comme quoi il faut se méfier des GAFAM, on vous avait prévenus !

LA GAUCHE LUZIENNE ne dissimule pas qu'elle est une association politique (elle en est fière et regroupe des militants socialistes ainsi que de des personnalités encartées ou non,  écologistes, féministes, social-démocrates et républicaines) alors que la Droite présente souvent son questionnaire comme émanant "de la municipalité" ou de "la mairie" - comme s'il était produit par la commune et non par le groupe SAINT JEAN PASSIONNÉMENT, soutien de M. le Maire.

Un exemple de communication trompeuse :


Nous dédaignerons de faire tout un plat de cette distorsion de la réalité assez problématique, comme nous ne nous appesantirons pas ici sur certaines questions insidieuses du questionnaire des Droites, qui demande notamment au répondant de préciser depuis combien de temps il habite à Saint-Jean-de-Luz, sans doute dans l'intention de mieux distinguer entre "vrais et faux luziens". 

Ceci pour ne pas gâcher notre été ni offrir aucun prétexte d'énervement supplémentaire aux trolls du maire, qui deviennent lassants, ou à notre premier magistrat lui-même, que l'on l'observe polémiquant sans relâche ces derniers temps, y compris avec la victime d'une bactérie mangeuse de chair sévissant dans notre baie (il a eu le culot d'assurer hier, dans la presse, avoir fait accompagner la personne ayant souffert de cette pathologie par les services de la Ville.. ceci au lendemain même de la parution d'un article dans lequel la famille de ladite victime lui reprochait "son manque de compassion").

Dans ces cas là, on fait plutôt profil bas.. ou l'on s'excuse.


VOIR NOTRE COMMUNIQUÉ, adressé à la presse locale le 31 juilllet : en cliquant ici

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Allons de l'avant, ensemble si possible, et formons une équipe solidaire ! Pour changer la vie des Luziens, rendre son âme à la cité. 

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LA GAUCHE LUZIENNE / sociale, démocratique, écologique et européenne 

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POUR UNE ALTERNANCE MUNICIPALE

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"MONSIEUR LE PRINCE" ET SES GENS D'ARMES

Chronique du Pied Tendre, le 7 août 2025

Notre premier magistrat, alias "Jeff de Luz", a visiblement bien mérité d'accoler une particule à son nom.

Du moins si l'on en croit certains MNS de la Grande plage, qui, facétieux, ont pris l'habitude, dans leur message rituel annonçant la fin de la surveillance, d'évoquer "la Principauté" de Saint-Jean-de-Luz (au lieu de la commune).

Représentant élu de son peuple, J-F Irigoyen, de part sa fonction, assume également de représenter l'État à l'échelon local. Il détient donc  au moins quelques oripeaux de ces fonctions régaliennes, si chères à la Droite (dans les discours de celle-ci au moins). Si nous sommes censément en République, on peut, par fantaisie, feindre d'imiter l'Ancien Régime et décorer notre Bayle (le maire, suivant l'ancienne terminologie locale) d'un titre seigneurial montrant qu'il exerce la protection de ses administrés !


Mais le bât blesse à cet égard, et le Pied Tendre, qui a participé à la diffusion du questionnaire de la Gauche Luzienne, se demande s'il ne faudrait pas en informer "M. Le Prince".

Il a eu l'occasion de constater, en parlant avec ses concitoyen.nes que beaucoup sont, d'une part, assez surpris de voir se balader des touristes torse nu (ou pire) notamment dans les petites rues du centre-ville et au vu de tou.tes. La mansuétude des forces locales à cet égard n'est pas toujours bien comprise par des citoyens qui se demandent, dès lors, pourquoi la municipalité prétend interdire des pratiques qu'elle va tolérer ensuite de factoDans la même veine, Mme Duchapeau se plaint que les cigarettes soient seulement déconseillées sur la plage. Mais la même ne s'offusque pas vraiment de la présence de canidés sur le sable (interdits toute l'année, d'après les panneaux) car elle aime beaucoup les animaux ! Ce n'est vraiment pas simple, se dit le Pied Tendre, de gouverner une population aussi paradoxale.

Quant à la milice princière, les habitants ne sont par ailleurs pas tous persuadés que son armement (lequel a fait l'objet d'un débat... très expéditif) soit absolument nécessaire. Mais certains Luziens voudraient la voir davantage sur le terrain (armée ou non) pour réprimer quelques abus : par exemple, au niveau du contrôle des deux-roues motorisés, accusés de nuisances sonores - parfois nocturnes - au pied de certaines résidences comme aussi en centre-ville. Ou pour éviter que certains quartiers de la ville : rue Gélos, depuis assez longtemps, les parcs de stationnement du quartier Ichaca plus récemment, ne soient considérés comme des aires de camping alternatives (et du reste parfois signalées comme telles par des sites internet dédiés au camping carisme !). 

Enfin, les investissements dans un parc de caméras important, notamment en front de mer, ne font pas non plus l'unanimité : cette surveillance vidéo ne décourageant pas les vols par ruse et autres cambriolages, dont on a l'impression d'une recrudescence, d'après les "on-dit".

Le Pied Tendre a aussi bavardé avec M. Piedenlo, son camarade pelotari, qui sévit au Quartier du Lac, mais prend le temps, entre deux parties endiablées, de lire le BERRIAK municipal. Il a bien rigolé, lui qui n'était pas au courant et qui, distrait, s'est retrouvé prendre la rue à contre-sens, en apprenant que les aménagements récents (nouveaux sens uniques, sationnements, etc.) avaient été réalisés dans ce quartier, selon notre premier  magistrat, "à la demande des riverains". 

"Mais lesquels" ? a soupiré M Piedenlo, auquel on a promis la réalisation prochaine de travaux d'assainissement, qu'il attend toujours... mais qui n'a pas été consulté à propos de la voirie. Il suppute que seuls  "quelques amis co-optés par le conseil municipal" ont été dûment informés et estime que l'on n'a pas tenu compte du "fiasco d'Andenia"  (où un sens unique mal étudié impacte très défavorablement l'activité économique du centre commercial). En attendant, faute d'un ralentisseur à la sortie de la rue du Docteur Schweitzer : quelques patrouilles supplémentaires de la police municipale y seraient les bienvenues, d'après lui, pour faire respecter les nouveaux "stop !" implantés au bas de l'avenue Lambrigot. Peu respectés ! Dommage aussi, à son avis, de n'avoir pas fait, dans le haut de la voie, le même aménagement qu'à l'entrée de l'avenue Lambrigot (où un seul côté de stationnement est autorisé,  ce qui règle pas mal de problèmes). 

La ville a préféré, dangereuse manie,  faire des chicanes, comme dans la rue Cépé, et bien sûr, les automobilistes en profitent là aussi pour déborder en dehors des zones où ils ont le droit de se parquer, rendant difficile les croisements, et dangereuse la cohabitation avec les cycles et les autobus, quand les trottoirs ne sont pas carrément envahis (au diable les manants ! entendez : les piétons). De même, elle a supprimé du stationnement gratuit rue du Lac au profit d'une bande pour les marcheurs, peinte sur la chaussée. "Il eût été logique de réparer plutôt le trottoir" ! se moque M Piedenlo, qui plaisante : "on dirait qu'il s'agit de remplir les parcs souterrains payants ; on ne comprend pas bien non plus la logique de cette histoire de zone bleue provisoire à Urdazuri". Mais M Piedenlo se veut malgré tout conciliant ; il trouve les sens interdits mis en place au Lac satisfaisants, et compatit avec les policiers municipaux, chargés de distribuer des avertissements aux (nombreux) usagers stationnant par habitude sur les emplacements désormais interdits. Heureusement (pour nos gardiens de la Loi, pas pour les professionnels du secteur) la crise du tourisme se confirme cet été : il y a donc (un peu) moins de monde que d'habitude.

mardi 29 juillet 2025

DÉMOCRATIE CONTAGIEUSE

BILLET PUBLIÉ LE 23 JUILLET

à lire aussi J'ACCUSE / Déjà VU / le Maire fâché / et caetera

La droite locale semble très incommodée par nos efforts et a décidé de lancer son propre questionnaire (mais sans mentionner dans ses annonces qu'elle le fait pour nous imiter, et sans doute dans l'intention de nous "couper l'herbe sous le pied"). Mais quelle erreur : la démarche nous convient, tout au contraire. Tant mieux si, grâce aux socialistes et aux amis de la Gauche Luzienne, J-F Irigoyen et son équipe prennent le pouls de la population et améliorent leur méthode de concertation (un point faible de l'exécutif municipal, qui a d'autres qualités et compétences, mais n'a pas démontré - loin de là ! qu'il détenait  celle-ci / les premiers dépouillements de notre sondage l'attestent).

La réaction de la majorité en place face à la circulation de notre enquête semble malgré tout dénoter une certaine fébrilité de sa part.  D'autant que, si le questionnaire des Droites est seulement mis en ligne (nous diffusons le nôtre de la main à la main, ou le déposons dans les boîtes aux lettres) le lancement du dit questionnaire, dont la publicité est assurée par un article dans le site électronique de SUD OUEST, s'accompagne d'affiches collées un peu partout en ville.  Symptôme d'une étonnante nervosité ? Voire d'une grosse panne d'inspiration (car si la majorité en est réduite à copier les Socialistes... où va-t-elle ?).


Nous, qui participons de loin aux débats politiciens (ne siégeant pas, pour l'heure, au conseil local) et envisageons de rejoindre (éventuellement) une possible union de la Gauche dont les élus sortants se réclamant de cette orientation auront à prendre l'initiative,   considérons qu'il est indispensable de rebâtir le contrat entre la cité et ses dirigeants et d'intégrer notamment tous les citoyens qui, jusqu'ici, ne votent pas ni n'expriment jamais leurs besoins dans le cadre du débat civique. Tant mieux si la majorité en place s'inspire de cette attitude,  inclusive et militante, et s'adresse (enfin) aux gens AVANT d'agir. 

Une bonne idée a toujours vocation à être, sinon pillée, du moins partagée.

BILLET PUBLIÉ LE 23 JUILLET

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Le texte suivant à été transmis à la presse>>

COMMUNIQUÉ


La section locale du Parti Socialiste et des sympathisants démocrates et républicains, de sensibilité écologiste, féministe et sociale ont fait circuler cet été un questionnaire destiné à inaugurer un processus de démocratie participative avec les Luzien.nes, dans la perspective des futures échéances électorales, en 2026.

Nous incitons tou.te les habitant.es à bien vouloir nous faire part de leur réponse. 
Celles et ceux qui n'ont pas encore reçu le questionnaire peuvent le trouver en ligne
https://gaucheluzienne.blogspot.com/2025/07/quen-pensez-vous.html

Une réunion-débat sera organisée à la rentrée, probablement en septembre. A cet égard, nous attendons encore que la municipalité veuille bien nous indiquer le jour où la salle que nous l'avons priée de bien vouloir nous nous attribuer sera disponible.

LA GAUCHE LUZIENNE se réjouit en tout cas de constater que l'équipe aux manettes, peu portée à consulter effectivement la population (elle pourra constater que c'est le principal grief qui lui est fait par l'opinion publique locale) a décidé de l'imiter et de lancer son propre questionnaire. La démarche n'est pas spontanée mais la contagion de la Démocratie n'est pas une maladie !

Secrétaire de Section PS
Président de l'Association des amis de la GAUCHE LUZIENNE




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Allons de l'avant, ensemble si possible, et formons une équipe solidaire ! Pour changer la vie des Luziens, rendre son âme à la cité. 

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Une friche et des trolls (NOTRE SITE FACE AUX FAKE NEWS)

 AUDIENCE : 2500 visiteurs décomptés le 29 juillet au matin 

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MERCI à toutes nos lectrices et à tous nos lecteurs pour ce beau succès, qui montre que nos commentaires et les informations que nous partageons intéressent toujours nos aimables concitoyen.nes. 



Le blog DONIBANEKO EZKERRA s'apprêtant à pratiquer une pause en août (sous réserve que l'actualité ne nous contraigne pas à l'interrompre inopinément) et il est agréable à ses rédacteurs de mettre entre parenthèses leurs publications dans un contexte globalement porteur.


Il y a cependant un revers à la médaille : car la large diffusion de nos articles semble fâcher, certains n'ayant pas apprécié, notamment, que nous "révelions" au public l'existence d'une grande friche sur le Front de Mer ni que nous interrogions les habitant.es. sur ce qui va (ou ne va bas) dans la gestion de la commune. 

Dans les deux cas, c'est cependant la majorité municipale qui, de son propre chef, a renforcé l'intérêt des médias pour nos remarques et initiatives. Car c'est la Ville qui a prétendu faire une exposition de street art en pleine saison touristique sur le site dévasté de l'ancien auditorium Ravel, dont elle a fait connaître ainsi qu'elle ne l'avait pas vendu - comme prévu (et annoncé à tort aux Luzien.nes) à des opérateurs privés. Et ce sont les amis de J-F Irigoyen qui, en voulant copier notre QUESTIONNAIRE participatif, ont déclenché la rédaction d'un communiqué dans lequel nous commentions avec ironie ce suivisme, communiqué qui s'est trouvé largement repris par le quotidien local !


Il est dommage que les soutiens les plus passionnés de notre premier magistrat ne se contentent pas de ne pas nous lire ou de nous ignorer mais que quelques uns d'entre eux en viennent trop souvent à nous accabler de leurs arguments "tout faits" voire hors de propos, pour tenter de nous faire perdre du temps  (à nous-mêmes ou à nos lecteurs). Cette posture, malheureusement assez typique du pourrissement des débats sur les réseaux sociaux consiste à provoquer ou irriter ; elle est désignée sous le nom de "trollage". 

Nous en sommes régulièrement les victimes sur notre page GAUCHE LUZIENNE (Facebook) : ainsi nous a-t-on récemment accusé de "désinformation" (sic) parce que nous signalons à celles et ceux qui l'ignoreraient que le parking public sur le port est situé en zone partiellement inondable.

VOIR CI-DESSOUS

 


Le fait est pourtant  indubitable, comme chacun peut aisément le vérifier en consultant le plan de prévention de riques ou PPRI (celui dont l'application a été opportunément suspendue avant les travaux sur la zone). Mais c'est un fait que n'ont hélas pas hésité à nier dans le passé les plus hauts porte-parole de la majorité, y compris par voie de presse ! Ce qui prouve au passage que les réseaux sociaux n'ont pas l'apanage de la désinformation (traditionnellement tolérée en politique, avec les tristes conséquences que l'on sait sur la confiance des citoyens envers leurs élites).

Pour notre part, nous avons fait connaître de très longue date notre étonnement, notamment à l'égard de l'attitude laxiste de l'État... sans obtenir, certes, aucune réponse convaincante, mais pas non plus de démenti.

Le mutisme souvent méprisant des autorités, comme d'autre part les allégations sans fondement de leurs soutiens inconditionnels, sont, pensons-nous, de nature à tendre les débats. On regrettera donc ici la persistance de ces pratiques... 

Y compris dans les réponses à notre questionnaire "Qu'en pensez-vous" ; certaines assertions feront sans doute bien rigoler l'auditoire, au moment de la restitution des résultats (entre autres, une accusation grave, mais anonyme : "vous défendez votre bout de pain". Kezako ?)


Plus généralement, il semble que nos décideurs aient pris le pli, depuis quelques années, de se dérober sytématiquement quand il s'agit s'assumer leus responsabilités, les communes refilant trop souvent "la patate chaude" aux collectivités territoriales dès qu'elles le peuvent (ce qu'elle sont fait en matière d'assainissement et de qualité des eaux de baignade) quand elles ne se réfugient pas derrière le contrôle de légalité que les préfectures sont en principe conduits à mettre en oeuvre ; mais ces dernières n'agissent pas toujours .. ou pas avec la rapidité (douze  ans de délai s'agissant de la STEP !) que les citoyens les plus zélés attendent.

C'est de ce point de vue, en particulier, qu'une rupture avec les méthodes habituelles, donc une alternance politique, nous paraît très souhaitable. Il est indispensable, de l'avis de la Gauche Luzienne, que les élu.es écoutent bien davantage l'expertise d'usage des citoyens et les fasse participer à leurs décisions. 

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Écoutons ce que dit la population !

Essentiellement : qu'il ne faut plus attendre la répétition d'accidents graves voire irréparables pour prévenir les risques, mais plutôt répondre concrétement et rapidement aux demandes des gens, et que l'on doit soutenir au moins moralement les salariés en lutte et autres lanceurs d'alerte plutôt que de prôner sytématiquement une confiance aveugle envers les puissants - avec la perspective d'être contraint, a posteriori, à dénoncer leur désinvolture (comme c'est arrivé à M. le Maire dans le dossier des Urgences).

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Allons de l'avant, ensemble si possible, et formons une équipe solidaire ! Pour changer la vie des Luziens, rendre son âme à la cité. 

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dimanche 27 juillet 2025

LES SEPT PLAIES (DES CÔTES BASQUES & LUZIENNES)

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Après l'irruption de la pluie (assez normale, sous nos latitudes et dans un climat océanique) et la multiplication des malaises dus à l'algue toxique (ostreopsis ovata, une invitée récente mais désormais prégnante : voir "la grippe en été "dans notre page MEDIAS) voici que les physalies s'invitent en masse sur le littoral basque. Les fermetures de plage s'enchaînent donc, et ce n'est vraiment pas de chance pour la classe politique locale! 

Car ces trois aléas (passagers, espérons-le) semblent démentir l'optimisme officiel des décideurs basques et  raviver au contraire, à Saint-Jean-de-Luz, trois blessures d'amour-propre concernant notre premier magistrat (nous faisions déjà allusion à l'égo contrarié de "M Propre" dans un billet daté du 2 juillet)



Notre maire, par ailleurs, est confronté à d'autres soucis, moins conjoncturels. 

- Il ne peut plus guère contester le fait, devenu évident pour tous :  sa station d'épuration n'est pas calibrée mais contribue à polluer les eaux de baignade (le fait est avéré depuis treize années, au moins, et avait été dénoncé par les Socialistes et leurs alliés du Nouvel Élan en 2020).

- Il faudra bel et bien, de plus, que la Communauté d'Agglomération (donc : les contribuables du Pays Basque) paie pour la reconstruire et la délocaliser, contrairement à ce que la majorité avait prétendu en amont des récentes élections municipales.

-  Rien n'assure que la situation sanitaire soit actuellement en voie de s'améliorer, au contraire, et l'obtention par la ville de Saint-Jean-de-Luz de "pavillons bleus" censés laver l'honneur de J-F Irigoyen, prétendument bafoué par des opposants de mauvaise foi, s'est révélée, comme prévu, impossible. 

Au vu de ces trois échecs qui, s'ajoutant aux difficultés de ce mois de juillet, sont autant d'épines dans le pieds de notre Bayle, nous nous permettrons de conseiller à M. le Maire de calmer à l'avenir les ardeurs de certains de ses supporters et conseillers, sans doute de bonne volonté, mais qui ont été très mal avisés de lancer le "défi des pavillons bleus" à la face de l'opinion publique, comme de lui avoir choisi, il y a six ans, un surnom certes très ambitieux, mais déceptif.

Six motifs de contrariété ne suffisaient pas à gâcher son été, voici qu'une autre plaie s'est ajoutée aux précédentes :  l'illisibilité persistante de la politique municipale, s'agissant du trait de côte, est à présent dénoncée face à l'opinion. Il s'agit d'un sujet crucial à Saint-Jean-de-Luz, où l'interdiction d'ensemencer la grande plage avec du sable importé (pratique courante jusqu'à ces dernières années) représente une menace très sérieuse, à moyen terme, pour la sécurité du  coeur-de-ville, ceci alors même que la commune a laissé construire en zone inondable, sur le port, et que l'on ne comprend pas bien la nature de ses intentions à Erromardi et Akotz (rappelons-nous, entre autres péripéties, le bon accueil fait dans cette zone - où le recul du littoral est en principe au programme ! au projet de restaurant de plage à Lafitenia, ceci malgré les réserves des riverains, puis l'éviction de cet investisseur et la fermeture de l'établissement).

Nous avons souvent relevé, pour notre part, cette absence de dessein clairement établi, quand d'autres se sont interrogés sur la légalité des concessions d'occupation du rivage.

A présent, c'est Mediabask qui se demande publiquement, en enquêtant sur l'évolution du quartier Erromardi, si la commune entend vraiment réaménager le secteur ou bien si elle se contentera d'un simple lifting. Le média estime que, de toute manière, le secteur (celui de la fameuse guinguette et des campings) est "en sursis" compte tenu de la force de l'érosion observée sur place.


Concluons sur ce qui se révèle comme l'un des problèmes de notre belle région : les communes y sont très majoritairement administrées, parfois depuis toujours, par des forces conservatrices peu soucieuses des enjeux environnementaux,  voire sceptiques à l'égard de certains phénomènes (tels que le réchauffement climatique) mais par ailleurs laxistes quand il s'agit d'extension de l'urbanisation et "suivistes" à l'égard des grandes tendances en matière d'aménagement (cf l'épisode récent de la ZFE). Demeurées attentistes durant des années, trop confiantes dans le providentiel transfert de compétences à venir, elles ont souvent pris du retard en matière d'assainissement, en pensant que l'Agglomération s'en chargerait, et n'ont pas saisi l'ampleur ni la rapidité de certains phénomènes écologiques.

Ostensiblement tournées vers la défense des intérêts économiques et commerciaux, ces équipes ont paradoxalement fait preuve d'imprévoyance... elles sont indirectement responsables d'une part des  "coups durs" encaissés en ce moment par l'activité touristique locale (au moins Saint-Jean-de-Luz,  relativement protégée des méduses et autres bestioles du fait de sa situation au fond de baie et de filets flottants est-elle, c'est une veine, un peu moins durement impacté que la reine des plages, sa voisine). 

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A l'avenir, il faudra probablement développer d'autres types de loisirs (et non plus vivre seulement de la rente balnéaire) et trouver des équilibres conciliant les aspirations des habitants, la nécessaire préservation du patrimoine naturel et les projets des entrepreneurs. Un changement de civilisation, en somme. Indispensable pour ne pas subir de nouvelles "punitions" attentatoires à la santé et à la prospérité des populations.


ajouté le 28/07>>

Un Fait Divers largement médiatisé vient encore compliquer la tâche des "rassuristes" de la CAPB et ternir l'image de "plage propre" promue par la municipalité : il s'agit des mésaventures d'une baigneuse victime de la "bactérie mangeuse de chair", lesquelles sont narrées par SUD OUEST. L'histoire a bien failli mal tourner pour la personne concernée l'été dernier, victime, entre parenthèses, de la congestion de la Polyclinique locale.

Le récit de "son calvaire" (une anecdote qui avait déjà fortement rafraîchi l'ambiance lors de l'opération "non aux idées reçues" implantées au Select le 4 juillet) tourne en boucle sur les réseaux depuis que le quotidien aquitain lui a consacré un article, hier :  c'est l'occasion de rappeler à tout le monde "qu'il ne faut surtout pas aller à l'eau" dès lors qu'on est blessé ou griffé, et même quand le dommage paraît superficiel. 
C'est, en effet, une pratique potentiellement très dangereuse. Le risque de subir une contamination et de développer une "fasciite nécrosante" est avéré en France, où cette maladie infectieuse - dont les formes sévères restent heureusement relativement rares - se propage en raison d'une prolifération de la bactérie Vibrio vulnicus, prolifération qui pourrait être en rapport avec le réchauffement (par dessus le marché, signale "Le Figaro" : l'ingestion de mollusques contaminés peut également conduire à développer la pathologie !)... 
SUD OUEST revient en outre sur l'avis d'experts et lanceurs d'alerte, lesquels ne sont hélas pas assez écoutés
 


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LA DROITE ÉTALE SES CONTRADICTIONS... MAIS PENCHE VERS LES EXTRÊMES

TRIBUNE DU 27 JUILLET

Le Biarrot Max Brisson peine ce jour à expliquer comment LR peut être "en même temps" au gouvernement et dans l'Opposition. La Droite aurait pu, en effet, s'il s'était seulement agi d'empêcher "la gauche mélenchonisée" (sic !) de gouverner, imiter le RN (en laissant faire les Macroniens, mais sans briguer de maroquins !). A vrai dire, il est assez comique quand, ce matin, sur BFM, il dénonce le Macronisme et (tout justement) le "en même temps" !

Bruno Retailleau, chef de file des LR, s'apprête-t-il (au vu d'un bilan plus que médiocre)  à quitter le navire gouvernemental (dont tout laisse à penser qu'il prend l'eau et coulera de toute manière à l'ocasion du débat budgétaire) ? De telles prises de parole pourraient le faire penser.

Saint-Jean-de-Luz aura, en tout cas, été le paysage choisi ces derniers temps pour mettre en scène (à coup de poignées de main) les divisions (rélles ou prétendues ?) de la Droite française - qui ne craint pas de revendiquer qu'elle "est allée à la soupe" (pour paraphraser de Gaulle) au prétexte, c'est culotté ! de s'opposer à la souveraineté nationale (car, une fois encore, qui l'avait emporté lors des récentes législatives sinon le NFP ? Pas les amis de Max Brisson ! encore moins ceux de François Bayrou).


La vérité est que le centre et les Droites rivalisent -ensemble- dans les concessions faites au RN, voire à la mouvance zemmourienne, et que ce n'est pas nouveau, même si le MODEM a parfois, choisi de "faire le gros dos".





P-L VANDERPLANCKE
 GaucheLuzienne@gmail.com


samedi 26 juillet 2025

J'ACCUSE ! (le ton est donné)

La presse a rapidement relayé notre communiqué aux médias, en date du 23 juillet, par lequel nous invitions les Luzien.nes à participer à la grande consultation que nous avons lancée cet été ; le questionnaire "Qu'en pensez-vous ?" est en effet en cours de diffusion dans les boîtes aux lettres des habitant.es de la cité des corsaires depuis le début du mois juillet, et l'on peut répondre en ligne à notre enquête (depuis le 5 juillet très précisément).

Dans ce communiqué, nous relevions l'initiative prise par le groupe majoritaire (Saint-Jean Passionnément) d'annoncer le jour même le lancement d'un sondage en ligne imitant le nôtre, mais déplorions par ailleurs que la municipalité n'ait pas encore répondu à notre demande de réservation d'une salle pour décrypter les résultats du questionnaire en septembre... le délai était (et reste) inhabituellement long !


SUD OUEST a retenu de notre communiqué que nous accusions M. le Maire et ses amis... d'être des imitateurs. 

Telle n'était pas la teneur exacte du propos, mais il est clair qu'une autre interprétation des faits serait difficile. Le grand quotidien régional n'a pas hésité, par ailleurs, à placer l'information dans sa rubrique "élections municipales 2026". Ceci bien que La Gauche Luzienne n'ait pas encore décidé de constituer une liste distincte, mais qu'elle se soit engagée dans une démarche de rapprochement avec les forces "populaires" et "démocratiques" participant au débat public conjointement avec des mouvements de gauche ou conduisant des opérations de terrain avec le groupe Herri Berri dont elle considère qu'il s'agit a priori d'alliés naturels avec lesquels construire une liste unitaire serait souhaitable.

A celles et ceux qui, sur le Net, et souvent protégé.es par des pseudonymes, moquent notre démarche (pourtant pillée par la majorité - mais nous ne nous en offusquons nullement car cette contagion-là n'est pas celle d'une maladie, au contraire)  ou s'interrogent sur "ce que peuvent bien peser encore le PS et/ou la Gauche Luzienne" : nous les renvoyons à la réponse, certes indirecte, mais probante, donnée par la coalition des Droites locales.


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si le blog 

Donibaneko Ezkerra "accuse", en effet, la majorité sortante... 

c'est d'avoir démontré à quels points les sociaux démocrates et écologistes réformistes comptent dans le paysage politique luzien, au delà de simples apparences. Prendre pour un casus belli le simple fait que le PS et ses amis consultent les gens (avec des résultats qui promettent d'être instructifs) et les copier, c'est, au delà du ridicule relatif de la posture, faire du PS et des démocrates progressistes de la Gauche Luzienne des challengers.  

Est-ce très futé ?

Allons de l'avant, ensemble si possible, et formons une équipe solidaire ! Pour changer la vie des Luziens, rendre son âme à la cité. 

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LA GAUCHE LUZIENNE / sociale, démocratique, écologique et européenne 

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UN FRONT UNI POUR UNE ALTERNANCE MUNICIPALE

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IMPRESSIONS, SOLEIL COUCHANT (sensations de "Déjà Vu" à Saint-Jean-de-Luz)

 

Déjà Vu

Les Luzien.nes sont souvent des "vieux de la vieille" ; et sont donc porté.es, par là, à une certaine forme de nostalgie. Quand "l'Histoire bégaie", il est en tout cas difficile de leur dissimuler le fait ! Or, c'est arrivé le 25 juillet 2025, notamment dans les colonnes de SUD OUEST... le journal local illustrant un article publié ce vendredi à propos de la Gauche Luzienne et des futures élections locales de 2026 en recyclant une très vieille photographie, antérieure à 2020, de ses anciens conseillers municipaux (Émile Amaro, Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke)

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En ce mois de juillet pluvieux, une promenade vespérale et culturelle en ville, orientée par les conseils de la municipalité  peut vous conduire, en ce moment, à la rencontre d'artistes peintres locaux (à la Rotonde, lieu dont la vocation semble se pérenniser et la qualité des oeuvres présentées se confirmer au fil des années) mais également vers l'exposition d'art par "Lek et Sowat" très bien fléchée.

RETOUR À LA PERGOLA

Les Luzien.nes intéressé.es par le street art et "l'exploration urbaine" retrouveront alors d'anciennes sensations en montant l'escalier menant au ci-devant auditorium Ravel. Ils l'empruntaient et y faisaient la queue jadis, quand certains spectacles payants délivraient les billets d'entrée au niveau supérieur ; ils reverront alors la vaste halle  où nombre de spectacles de fin d'année ont réuni les enfants de tous âges - et leurs parents - pendant des décennies. Plus saisissant encore, tel "trou" dans les murs porteurs leur rappellera la présence de l'ancien local technique (où officiait tel ou tel de nos directeurs de troupe théâtrale bien connus). Ce n'est pas sans nostalgie qu'ils pourront enfin indiquer où se trouvaient la scène, les gradins et les coulisses de ce site emblématique, dont l'accès à la terrasse dominant la plage était un atout majeur, de même qu'ils pourront faire remarquer à la personne gardant le site qu'elle est installée là ou se trouvait le comptoir ("buvette et sandwiches pour financer la bonne cause"). Séquence souvenir assurée, pour les autochtones observant le coucher de soleil depuis le grand balcon ouvert sur la baie (mais le charme n'opère pas forcément sur les visiteurs "étrangers" : le Pied Tendre en a fait l'expérience en se rendant sur place hier, en compagnie d'un ami venu du Nord, M. Girondin - lequel butor lui a froidement fait remarquer que les lieux de l'exposition lui évoquaient "les bunkers sur la plage de Soulac" - sic).

L'OMBRE DU LOSANGE

L'Hôtel récemment installé entre la rue Marion-Garay et la place Foch inaugurait, hier également, une boutique en forme de galerie d'art. Une bonne idée qui renforce le réseau déjà très etoffé des galeries luziennes. C'était l'occasion pour le flâneur d'approcher la forêt urbaine promise par M. le Maire (elle n'existe guère que dans son imagination) puis d'observer le grand espace de convivialité chic ouvert sur le port et la place Foch : impossible, là encore, de ne pas comparer l'ambiance, un peu plus feutrée de nos jours, avec celle de l'ancien garage Renault (à l'acoustique grinçante, mais si populaire et tellement vintage -car il s'agissait de l'atelier historique du concessionnaire Lamerain). A présent, les food trucks ont disparu, remplacés par des bars à tapas, mais des aubettes ont été placées, vers la grillerie du port, pour compléter l'offre de restauration.

FRICHES INDUSTRIELLES EN PERSPECTIVES ?

Au delà d'avoir plongé dans quelques souvenirs, le contribuable luzien devra s'interroger, tant sur le délabrement actuel de l'espace dédié au célèbre compositeur né à Ciboure - et dont, ironiquement, la mémoire est rappelée par un affichage massif, 150ème anniversaire oblige - que sur le devenir de l'îlot Foch.

Au moment du lancement du projet de Centre Culturel (la salle Tanka) la Ville lui avait fait croire en la transformation imminente de l'ex auditorium Ravel en salle de séminaire, et avait profité de la confusion, pour le public, entre cette transformation hypothétique et les travaux de réaménagement opérés à l'époque par l'hôtel-thalassothérapie. Force est de constater que, dix ans plus tard, le lieu est une friche... dont la commune est toujours propriétaire ! On croit comprendre qu'une partie de l'équipe de Peyuco Duhart, en rupture de ban, depuis lors, avec la majorité, aurait souhaité un investissement public pour développer des activités de congrès sur site, mais que J-F Irigoyen et la majorité actuelle ont préféré attendre qu'un investisseur privé veuille bien racheter les lieux pour les rénover -or, nous constatons qu'il est difficile d'espérer qu'un opérateur privé veuille assumer seul de tels investissements, en vue de se lancer dans  une activité dont la rentabilité n'est pas assurés. Le tourisme luzien reste en effet très saisonnier (de Pâques à l'Automne, avec un pic estival) ; la commune devrait pourtant contribuer à son développement hivernal, ne serait-ce que pour éviter que l'îlot Foch ne devienne un désert hors-saison ; une gageure ! Car comment envisager que les restaurants de plein air sur l'esplanade puissent fonctionner sous un climat froid et arrosé ? et comment ne pas redouter des taux de remplissage insuffisants pour les hébergements cossus de la prétendue "auberge de jeunesse" locale, si aucune activité de séminaires et de congrès ne vient les soutenir aux périodes impropres au tourisme balnéaire ? On l'a déjà dit, le risque existe que ce secteur pourtant central ne devienne une friche (au moins saisonnière, tout y étant fermé l'hiver) : ce qu'il faut absolument éviter, maintenant que les aménagements ont été faits - sans tenir compte des réserves exprimées par riverains et habitants mais en fonction d'invariants imposés en amont ! et que les Socialistes avaient pris l'initiative de révéler dès 2016, obtenant sans doute par là, grâce à leur mobilisation et à celle du public, qu'aucun édifice ne soit finalement construit sur la Place Foch elle-même, comme il en était question au départ, mais ne parvenant pas à dissuader par ailleurs la commune de laisser construire en zone partiellement inondable et sur terrain nu, ni de faire un parking souterrain dans le cadre d'une rénovation pensée pour le tourisme et non pour les résidents (et conçue pour servir le tourisme estival, uniquement).

IN DREAMS

Nos craintes ne sont pas pure spéculation : nous savons notre ville capable du meilleur comme du pire, et pouvons observer certains gaspillages d'argent public légendaires, parfois réalisés "en réunion" (avec des partenaires, pour le dire autrement). Car si la rénovation des Récollets, conduite avec Ciboure et longtemps différée, est unanimement considérée aujourd'hui comme un succès, les travaux très onéreux sur le site du Fort de Socoa ont débouché sur la livraison... d'une autre friche magnifique. La destination de ces locaux, à présent rénovés, n'ayant toujours pas été fixée.



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Médiatisation


Ce blog est un moyen d'expression en ligne à l'attention des militants et sympathisants socialistes et républicains de Saint-Jean-de-Luz, dans un esprit d'ouverture à toutes les contributions de citoyens progressistes et réformistes. Il a été créé en mai 2020 (et contient les archives du blog des élus PS ayant existé entre 2015 et 2020).


La Gauche Luzienne est présente sur twitter depuis la fin du mois de septembre 2019 et a diffusé une "Lettre des élus" (thématique, éditée à raison d'un à deux numéros par an) pendant la mandature précédente. Elle possède sa propre page facebook.