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PROMOTION D'UNE ANTICIPATION
Mais elle va forcément faire le "buzz" puisqu'elle est assortie de jolis dessins et de promesses vantant un équipement dont les sortants n'ont pourtant pas été en mesure d'initier les travaux. J-F Irigoyen en est donc réduit à faire la publicité des "non réalisations" de son mandat alors qu'il avoue ne pas savoir quand dans le futur (ou dans un passé alternatif) elles pourraient se réaliser concrètement ! Le journal est bien gentil de marquer son étonnement par un simple point d'interrogation, sans faire aucun commentaire désobligeant.
UN RENONCEMENT DE PLUS
Une chose est claire en tout cas et ce genre d'annonces devient une manie : le chantier de rénovation de l'ancien couvent sur la presqu'île reliant les deux villes de Ciboure et Saint-Jean-de-Luz va subir un (très) gros retard. Il est différé à la mandature ultérieure par les sortants, dépassés, qui n'ont pu produire par ailleurs aucun plan de financement sérieux de leurs projets sur l'îlot Foch, à Harriet Baïta ou en matière d'organisation de congrès.
La requalification des Récollets est donc ajournée, comme l'avait été, déjà, l'aménagement du fort de Socoa - dont on a pu même lire que le centre de formation universitaire était reporté aux calendes grecques, du fait de l'hostilité du maire de Saint-Jean-de-Luz (et ceci au grand dam de son homologue cibourien).
Une chose est claire en tout cas et ce genre d'annonces devient une manie : le chantier de rénovation de l'ancien couvent sur la presqu'île reliant les deux villes de Ciboure et Saint-Jean-de-Luz va subir un (très) gros retard. Il est différé à la mandature ultérieure par les sortants, dépassés, qui n'ont pu produire par ailleurs aucun plan de financement sérieux de leurs projets sur l'îlot Foch, à Harriet Baïta ou en matière d'organisation de congrès.
La requalification des Récollets est donc ajournée, comme l'avait été, déjà, l'aménagement du fort de Socoa - dont on a pu même lire que le centre de formation universitaire était reporté aux calendes grecques, du fait de l'hostilité du maire de Saint-Jean-de-Luz (et ceci au grand dam de son homologue cibourien).
UNE COOPERATION DECEVANTE
Nos lecteurs et lectrices comprendront dans ces conditions notre scepticisme relatif à l'égard du syndicat de la baie, dans lequel certains feignent de voir une solution d'avenir en fait de coopération intercommunale, mais qui n'est pas forcément l'outil performant ni l'instance paritaire que les citoyens aimeraient voir œuvrer pour valoriser les héritages culturels de notre région.
Nos lecteurs et lectrices comprendront dans ces conditions notre scepticisme relatif à l'égard du syndicat de la baie, dans lequel certains feignent de voir une solution d'avenir en fait de coopération intercommunale, mais qui n'est pas forcément l'outil performant ni l'instance paritaire que les citoyens aimeraient voir œuvrer pour valoriser les héritages culturels de notre région.
UN LABEL QUI SE MERITE
Le report dans le temps de la construction d'un centre d'interprétation du patrimoine, puisque c'est de ce projet qu'il s'agit, pourrait poser problème. C'est sans doute ce pourquoi J-F Irigoyen PROMET aujourd'hui dans SUD OUEST la réalisation des travaux après l'été 2020, tout en précisant que "c'est lui qui le dit" mais qu'on n'a aucune certitude (sic) et que la parole de l'actuel Président du syndicat ne vaut donc pas engagement formel (re-sic).
Le report dans le temps de la construction d'un centre d'interprétation du patrimoine, puisque c'est de ce projet qu'il s'agit, pourrait poser problème. C'est sans doute ce pourquoi J-F Irigoyen PROMET aujourd'hui dans SUD OUEST la réalisation des travaux après l'été 2020, tout en précisant que "c'est lui qui le dit" mais qu'on n'a aucune certitude (sic) et que la parole de l'actuel Président du syndicat ne vaut donc pas engagement formel (re-sic).
La mise en place d'un CIAP est en effet l'une des conditions du maintien de la labellisation "Arts et Histoire" et certaines collectivités ont d'ailleurs tout récemment fait le choix, en Béarn par exemple, de renoncer au dit label en raison du coût de construction faramineux de leur centre d'interprétation.
Telle n'est pas l'intention des élus autour de notre baie, qui ont déjà englouti d'importants investissements mais en sont à accuser les prestataires d'être trop chers. Disons le crûment, peut-être nos décideurs ont-ils vus trop petits ou bien ont-ils été légers dans la phase des études préliminaires, s'ils s'avèrent incapables de trouver preneurs quand ils en sont à proposer des marchés aux professionnels du bâtiment ?
Il faut aussi se souvenir que le label Arts et Histoire n'a été octroyé aux deux cités jumelles de l'estuaire de la Nivelle qu'à la condition d'associer le pays alentour. Or, rien n'a encore été fait à cet égard, qui aurait peut-être permis de réunir de nouveaux acteurs et les fonds correspondants. Mais l'exécutif Luzien, chez lui au syndicat, dont il assure tout à la fois présidence et vice-présidence, n'a pas saisi l'intérêt d'une démarche plus globale !
Il n'a pas commenté non plus la proposition récente (datée du 5 décembre) de J-F Larralde, bien connu dans le monde associatif, d'entreprendre des démarches en vue d'une inscription au patrimoine de l'UNESCO.
Des retards et un silence paradoxaux de la part d'une majorité prompte à prôner la valorisation tout autant, voire davantage, que la protection, et qui ne peut ignorer les retombées touristiques probables d'une reconnaissance confortée du patrimoine local.
Une piste à creuser d'autant plus que sa politique de préservation du potentiel balnéaire de la baie est devenue moins crédible.
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