A C T U A L I T E S

AGENDA * ATELIER-DÉBAT DE LA GAUCHE LUZIENNE LE 18

18 septembre La restitution des réponses formulées au questionnaire "Saint-Jean-de-Luz : qu'en pensez-vous ?" sera l...

mardi 26 août 2025

Neuf mois de perdus pour la France?

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A peine désigné comme chef du gouvernement par son ami Emmanuel Macron, le maire de Pau s'était distingué par son aptitude à rallier les voix du RN, obtenant de durer (ce qui apparaissait comme son objectif premier à de nombreux observateurs).

Peu soucieux de se démarquer des extrêmes le prétendu bloc central (Macroniens) et LR auront flirté ouvertement avec les amis de Le Pen et Bardella au prétexte de contrer LFI ( lire le billet dédié en cliquant ici );

Les propositions du Premier Ministre pour réduire la dépense publique ayant toutes les caractéristiques de provocations destinées à le faire tomber tout en lui conférant la stature "d'homme d'état qui dit la vérité" (sic) beaucoup prédisaient qu'il cherchait à être renversé pour ne plus avoir à assumer une fonction qu'il n'avait pas les moyens de bien servir. D'autres redoutaient que le RN ne fasse le choix d'épouser complètement sa politique budgétaire voire accepte d'entrer dans son cabinet.

En posant la question de confiance (il en est bien temps) F Bayrou pousse l'extrême-droite à appuyer sur le bouton rouge. Le RN, prévisible, le fera ; l'opposition d'ultra droite et les gauches sont donc invitées par le chef du gouvernement en personne à mêler leurs voix pour mettre un terme à son éphémère et peu productive expérience.

Emmanuel Macron a beau dire qu'il ne désire pas dissoudre, on le voit mal accepter aujourd'hui le verdict des urnes de l'été dernier, appeler un premier ministre NFP et faire pression sur ses troupes parlementaires pour le laisser agir  ! Ainsi donc, la prophétie de notre député Peio Dufau, lequel avait évoqué un probable interim de neuf mois, pourrait se réaliser.

La presse considère que la France a perdu six mois du fait des atermoiements du Président, qui feint de gouverner sans pouvoir réformer depuis que le peuple l'a désavoué, à deux reprises, et que son camp n'a plus de majorité à l'Assemblée Nationale. Mais ce n'est pas entièrement vrai : des lois ont été votées grâce aux élus du NFP, notamment les députés du Pays Basque. Peio Dufau a notamment porté avec succès un texte fondamental pour protéger le foncier agricole.

La Gauche Luzienne  est fière d'avoir soutenu Peio Dufau (voir dans ce blog un aperçu de son bilan) ; elle se mobilisera aux côtés de ses alliés, comme elle l'avait fait en 2024, si un nouveau scrutin législatif est imposé par les circonstances.

samedi 16 août 2025

HALTE AUX CONTREFAÇONS ! et remerciements aux Luzien.nes

 2897 visites décomptées  en Juillet 2025

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Lire aussi : Méfiez-vous des imitations ! Démocratie contagieuse ; Les sept plaies

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MERCI à toutes nos lectrices , tous nos lecteurs

et rendez-vous en septembre

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COMMUNIQUÉ
de presse envoyé le 31 juillet


Méfiez-vous des imitations !

La GAUCHE LUZIENNE invite les citoyen.nes intéressé.es à réserver leur soirée du Jeudi 18 septembre 2025.
Une réunion publique de restitution des résultats de la consultation et d'explication de notre démarche citoyenne sera organisée ce jeudi-là 
de 18 h 30 à 20 h en la salle du Fronton Municipal (allée Perkains)


Nos remercions les nombreuses personnes ayant répondu au questionnaire rédigé et diffusé par la section locale du Parti Socialiste et ses sympathisants démocrates et républicains, réunis avec des personnes de sensibilité écologiste, féministe et sociale dans l'association des amis de la Gauche Luzienne.  

Celles et ceux des habitants de notre ville qui n'ont pas encore reçu le questionnaire peuvent toujours le trouver en ligne pour le compléter

LA GAUCHE LUZIENNE 
doit constater que la majorité municipale, qui a entrepris d'imiter ostensiblement sa démarche, et qui diffuse en ligne son propre questionnaire, use cependant de méthodes qui ne sont pas les siennes : imposant notamment aux répondants de livrer leur adresse électronique, mais leur demandant aussi de préciser s'ils sont ou non de vieux résidents, etc.  Tandis que ses militants présentent coutumièrement sur les réseaux sociaux le sondage rédigé par les Droites comme "un questionnaire produit par la municipalité". Ce qui n'est pas factuellement exact.

Secrétaire de Section PS
Président de l'Association des amis de la GAUCHE LUZIENNE


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STREET ART : POUR UN CONCOURS DE POUBELLES DÉCORÉES À SAINT-JEAN !

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CHRONIQUE DU 16 AOÛT 2025

LE PIED TENDRE EST ENTHOUSIASTE ; IL SOUTIENT LA PROPOSITION QUE MME DEFERFORGÉE (D'APRÈS SES PROPRES CONFIDENCES, IL EST VRAI RECUEILLIES DANS LE CONTEXTE D'UNE FÊTE NOCTURNE) AURAIT L'INTENTION DE SOUMETTRE RAPIDEMENT AUX AUTORITÉS LOCALES. 

QUELLE BONNE IDÉE, EN EFFET : PEINDRE LES BENNES EN PLASTIQUE, NOMBREUSES ET MAL ODORANTES, MAIS AUSSI ABONDANTES DANS NOS RUES, FERAIT SANS NUL DOUTE OUBLIER LES RELENTS NAUSÉABONDS QUI INFESTENT LA CITÉ, NOTAMMENT EN ÉTÉ - QUAND L'ACTIVITÉ DES RESTAURANTS ET LA DENSITÉ DE POPULATION ATTEIGNENT "UN PIC". 

ET L'ON AMÉLIORERAIT AINSI L'IMAGE DE LA VILLE !

Voilà donc, pour le Pied Tendre, une suggestion qu'il faut effectivement porter à l'attention de nos élus municipaux, puisque leur politique alternative en fait de gestion des ordures (enterrer les bennes) semble vouée à l'échec ! Et dans la mesure où le goût de "Jeff de Luz" pour l'art contemporain (architecture brutaliste prétendument inspirée du modernisme de Pavlovsky ou Mallet-Stevens, et graffitis de l'ex auditorium Ravel) est par ailleurs avéré. Tout Luzien pourrait se voir remettre un pinceau et des couleurs pour personnaliser sa benne, et les écoliers se chargeraient dès septembre de barbouiller les conteneurs collectifs de leur quartier. A coup sûr, la cité serait américanisée d'un coup.

Car pour l'instant, chacun peut constater (pour la déplorer) la prolifération des déchets visibles, et notamment dans le quartier des halles : où les trois cheminements possibles, pour les voyageurs sortant du train et gagnant à pied le coeur-de-ville, n'offrent pas un aspect particulièrement accueillant. Ce qui changerait tout, c'est que les poubelles soient jolies à regarder.. ou du moins "rigolotes" comme le souhaite Mme Deferforgée.

Trois grandes poubelles vertes (mais laides) décorent coutumièrement la rue du Maréchal-Harispe ; deux bennes de la même couleur, plus deux jaunes (tout aussi moches) garnissent en outre régulièrement l'avenue Labrouche. Quant à la rue Chaho, là encore : deux grands conteneurs verts, et un jaune, affreusement banaux, saluent les visiteurs entrant dans notre "belle ville". Encore faut-il avoir la vue (et le nez) singulièrement bouchés pour ne pas remarquer la présence, la plupart du temps, de nombreux dépôts sauvages laissés à même le sol autour des poubelles proprement dites (cageots, cartons, sacs de déchets, etc.). 

"Que font toutes ces poubelles dans le paysage, alors que des conteneurs enterrés existent ?" se plaint Mme Deferforgée, qui travaille dans le quartier. Pour M Texaco, qui y réside, il y a là matière à scandale car la visibilité de ces détritus donne, selon lui "une très mauvaise image de Saint-Jean-de-Luz aux touristes de passage" et, de plus, toute cette saleté étalée sur la voie publique "incommode fortement les habitants". Tous deux pressent le Pied Tendre, qui participera à la réunion de rentrée de la Gauche Luzienne, prévue le 18 septembre, d'y souligner la portée de ces inconvénients.

Ce désordre n'est certes pas nouveau, et la municipalité, qui s'était réfugiée un temps derrière le transfert de compétences à l'Agglomération, pour justifier sa relative inaction, a entrepris de le régler. Mais, visiblement " ce n'est pas (encore) une franche réussite" juge Mme Duchapeau, laquelle aimerait bien, également, qu'on trouve une solution moins agressive, au plan olfactif, pour ce qui concerne le stockage des résidus des poissonneries du marché public. Elle est aussi très sceptique à l'égard des conteneurs enterrés ("oui,ça pue" confime M. Geek, qui estime que la fermentation est d'autant plus forte que le délai des ramassages est plus long) ou plus encore des bacs de recyclage collectifs implantés dans certains quartiers dits populaires pour les déchets biodégradables : "un gadget" selon elle ; même si M Cyclopède n'est pas d'accord, lui qui adore se retrouver avec son voisinage autour d'un tas de compost... et de quelques pintxos.

M Texaco et quelques autres en appellent carrément à une intervention systématique de la police, car, pour eux, tout laissez-aller en matière de dépôts illégaux sur la voirie encourage les incivilités (la multiplication des dépôts sauvages d'encombrants, par exemple - sans parler des canettes, bouteilles, et autres résidus de pique-nique, laissés à même les escaliers de certaines résidences, voire sur le sable de la plage, quand ce n'est pas à la mer !). Le Pied Tendre entend ces doléances mais pense que les forces de l'ordre ont sans doute d'autres chats à fouetter

Pour lui, il faut vraiment que la commune, si elle est impuissante à gérer le problème correctement, se décide à faire du trash artistique... comme elle l'avait d'ailleurs fait jadis avec talent en installant des pissotières "écolo" et aux couleurs du Pays Basque. Ces oeuvres utiles avaient été exposées sur l'ancienne place Jaulerry - sous le balcon de M Texaco, lequel, malheureusement, n'avait pas saisi, à l'époque, le sens de la démarche ni aperçu son côté novateur (il ne s'en est toujours pas remis et avoue être, quant à lui, peu réceptif à la proposition artistique de Mme Deferforgée).

Ou bien il faut que J-F Irigoyen son équipe éliminent pour de bon les poubelles "de surface" en faisant plus de stockage souterrain, en s'occupant des déchets des professionnels de la restauration et du commerce avec plus de diligence, et en réprimant les dépôts sauvages. 

Faute de quoi, c'est vrai, le premier aperçu des visiteurs ou des habitants sur les rues de la ville resterait.. globalement répugnant. Or, vraisemblablement, ce n'est pas là l'objectif recherché, pour une commune aussi ouvertement spécialisée dans l'industrie touristique !


NOTA BENE : cette proposition de concours, c'est, bien sûr... une blague.

mercredi 13 août 2025

EN AOÛT, LE PIED TENDRE S'AMUSE

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Chronique du 13 août

Le Pied Tendre a passé une très bonne soirée, hier, grâce à la bonne volonté et aux talents réunis de nombreux chanteurs et musiciens, habitant, pour la plupart, la commune : des artistes amateurs ou professionnels qui se produisaient sur la scène du fameux restaurant-boîte de nuit (foodcourt avec animation) implanté sur le site de l'ancien garage automobile du centre-ville. Lequel était devenu jadis le bar à food trucks "chez Renauld" mais a été remplacé depuis par un très vaste bâtiment englobant notamment un complexe hôtelier et des boutiques, empiétant sur l'avenue Victor-Hugo et sur l'ancienne placette Jaulerry (espaces vendus aux promoteurs par la municipalité en 2019 malgré l'opposition des Socialistes et du groupe Herri Berri).

Invité à la fête par sa voisine préférée, Mme Deferforgée, le Pied Tendre ne s'est pas dérobé, malgré la méfiance qu'il éprouve d'habitude à propos de tout ce qui est lié à la rénovation Foch ; ceci sans doute à force d'avoir lu dans le blog de la Gauche Luzienne l'exposé des nombreux motifs de scandale générés par le réaménagement "au forceps" de cette zone urbaine sensible : il en est resté, sinon traumatisé, du moins quelque peu circonspect ! Et quand, par exemple, M Cyclopède lui dit que le site est tout de même "plus présentable" que la friche industrielle existant auparavant, ou que Mme Desécoles lui assure que la modernité brutale de l'architecture nouvelle lui plaît, cela l'agace beaucoup. 

En effet, si l'insertion des constructions dans le paysage urbain  et l'opportunité de faire un hôtel et des résidences de standing ont ému l'opinion et peuvent encore donner lieu à des débats, c'est d'abord le mépris des risques environnementaux et des procédures de précaution habituelles qui a posé problème. Sans parler de la très mauvaise qualité de la concertation avec les habitants, et de l'imbroglio du parking public - concédé, pour ce qui concerne sa gestion, à des intérêts privés, mais, de plus, implanté sur le port (et pas ailleurs) pour complaire aux investisseurs de l'îlot Foch, dont le parking clientèle avait besoin d'une rampe d'accès "hors d'eau" et donc d'un stationnement public complétant le leur (ceci en raison du caractère inondable du secteur : un risque avéré en dépit des dénégations de J-F Irigoyen).

Bref, Le Pied Tendre a laissé hier de côté ces questions irritantes et a bien profité du moment, en compagnie de quelques amis. "L'endroit me rappelle vraiment l'ancien garage" a cependant persiflé d'emblée Mme Duchapeau, car "l'acoustique du nouveau bar est presque aussi épouvantable que celle du vieil atelier de mécanique" ! Mais le bruit de fond des conversations y est très amorti, par rapport à ce qu'il était. N'empêche, que "ça ne me plaît pas. Ce n'est pas l'esprit de Saint-Jean"  a grommelé M. Vrombissant, tout juste rentré d'un périple à moto dans la péninsule ibérique - où tout est beaucoup moins cher ! et qui reste par ailleurs nostalgique de l'ancien garage, trouvant le nouvel endroit "trop chicos".

Pour M Cyclopède, il y a un peu de mauvaise foi de la part des commentateurs les plus négatifs. Car, pour ce qui concerne la perennité d'un lieu convivial où l'on puisse chanter, voire danser, tous ensemble : tout le monde est pour, et en premier lieu les artistes du crû ! Le Pied Tendre ne lui donne pas tout à fait tort et rejoint ainsi l'avis de son blog préféré, lequel redoute un manque de rentabilité du lieu et, en conséquence, une longue période de fermeture hors-saison, voire pire, au cas où les Luziens ne "s'approprieraient pas" l'endroit. Si le dancing restait l'apanage des seuls touristes de passage en été, et que l'ombre du losange continuait de planer sur le site, ce serait en effet un échec pour la ville ! 

Le Pied tendre se promet quant à lui d'y revenir, pour encourager les musiciens et donner de la voix quand il s'agit d'entonner Hegoak ou tout autre hymne nocturne, et faire vivre les infrastructures, maintenant qu'elle sont là (certes : sans forêt urbaine, mais avec les bouchons et les nuisances afférentes, que la Gauche Luzienne avait anticipées et qu'on aurait pu corriger - ce fût notamment le cas s'agissant de l'édification d'une bâtisse prévue à l'origine sur la place Foch proprement dite, construction qui devait mener à la destruction du pavillon Pavlovsky ; le projet, envisagé à l'origine, avait été annulé après sa  révélation par les élus socialistes ; hélas, après cet épisode, l'affaire avait été présentée comme "celle de la majorité municipale, seule" qui, très décidée à passer en force, avait exclu l'opposition de gauche, et elle seule ! du comité de pilotage, ceci dans le but explicite de lui fournir le moins d'informations possible - sic).

Mme Duchapeau, ironique, a jugé les bonnes résolutions du Pied Tendre sans faire montre de beaucoup de complaisance à son égard. "S'agit-il d'une excuse pour sortir davantage ?" a-t-elle émis. Et de se demander si le Pied tendre escomptait se mettre à dessiner des graffitis, histoire de donner quelque utilité à l'ancien auditorium Ravel, désaffecté et laissé tel un champ de ruines, au beau milieu de la Pergola.

jeudi 7 août 2025

MÉFIEZ-VOUS DES IMITATIONS

Publié le 1er août 

Le blog de la Gauche Luzienne s'autorise une pause en Août, mais ses militants continueront de distribuer le questionnaire 

QU'EN PENSEZ-VOUS ? 

diffusé de la main à la main ou dans les boîtes-aux-lettres depuis le début du mois de juillet.

Vous pouvez le compléter en ligne... et vous préparez d'ors et déjà à participer à notre réunion de rentrée prévue en septembre.


Mais faites attention aux contrefaçons

car si la Droite municipale a décidé de copier notre démarche, ce qui lui a déjà valu d'être ridicule (et ce jusque dans les colonnes de SUD OUEST) et si les questions qu'elle pose sont en partie les mêmes que les nôtres (nous verrons donc facilement la sincérité du travail de dépouillement de nos concurrents, en comparant les résultats qu'ils voudront bien publier à vos réponses) elle a sa conception vraiment très particulière de la démocratie participative : 

La GAUCHE LUZIENNE ne vous force pas à vous identifier, mais la Droite, si (son questionnaire ne s'ouvre que si vous déclinez l'adresse de votre compte Google !). 

Comme quoi il faut se méfier des GAFAM, on vous avait prévenus !

LA GAUCHE LUZIENNE ne dissimule pas qu'elle est une association politique (elle en est fière et regroupe des militants socialistes ainsi que de des personnalités encartées ou non,  écologistes, féministes, social-démocrates et républicaines) alors que la Droite présente souvent son questionnaire comme émanant "de la municipalité" ou de "la mairie" - comme s'il était produit par la commune et non par le groupe SAINT JEAN PASSIONNÉMENT, soutien de M. le Maire.

Un exemple de communication trompeuse :


Nous dédaignerons de faire tout un plat de cette distorsion de la réalité assez problématique, comme nous ne nous appesantirons pas ici sur certaines questions insidieuses du questionnaire des Droites, qui demande notamment au répondant de préciser depuis combien de temps il habite à Saint-Jean-de-Luz, sans doute dans l'intention de mieux distinguer entre "vrais et faux luziens". 

Ceci pour ne pas gâcher notre été ni offrir aucun prétexte d'énervement supplémentaire aux trolls du maire, qui deviennent lassants, ou à notre premier magistrat lui-même, que l'on l'observe polémiquant sans relâche ces derniers temps, y compris avec la victime d'une bactérie mangeuse de chair sévissant dans notre baie (il a eu le culot d'assurer hier, dans la presse, avoir fait accompagner la personne ayant souffert de cette pathologie par les services de la Ville.. ceci au lendemain même de la parution d'un article dans lequel la famille de ladite victime lui reprochait "son manque de compassion").

Dans ces cas là, on fait plutôt profil bas.. ou l'on s'excuse.


VOIR NOTRE COMMUNIQUÉ, adressé à la presse locale le 31 juilllet : en cliquant ici

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Allons de l'avant, ensemble si possible, et formons une équipe solidaire ! Pour changer la vie des Luziens, rendre son âme à la cité. 

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LA GAUCHE LUZIENNE / sociale, démocratique, écologique et européenne 

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POUR UNE ALTERNANCE MUNICIPALE

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"MONSIEUR LE PRINCE" ET SES GENS D'ARMES

Chronique du Pied Tendre, le 7 août 2025

Notre premier magistrat, alias "Jeff de Luz", a visiblement bien mérité d'accoler une particule à son nom.

Du moins si l'on en croit certains MNS de la Grande plage, qui, facétieux, ont pris l'habitude, dans leur message rituel annonçant la fin de la surveillance, d'évoquer "la Principauté" de Saint-Jean-de-Luz (au lieu de la commune).

Représentant élu de son peuple, J-F Irigoyen, de part sa fonction, assume également de représenter l'État à l'échelon local. Il détient donc  au moins quelques oripeaux de ces fonctions régaliennes, si chères à la Droite (dans les discours de celle-ci au moins). Si nous sommes censément en République, on peut, par fantaisie, feindre d'imiter l'Ancien Régime et décorer notre Bayle (le maire, suivant l'ancienne terminologie locale) d'un titre seigneurial montrant qu'il exerce la protection de ses administrés !


Mais le bât blesse à cet égard, et le Pied Tendre, qui a participé à la diffusion du questionnaire de la Gauche Luzienne, se demande s'il ne faudrait pas en informer "M. Le Prince".

Il a eu l'occasion de constater, en parlant avec ses concitoyen.nes que beaucoup sont, d'une part, assez surpris de voir se balader des touristes torse nu (ou pire) notamment dans les petites rues du centre-ville et au vu de tou.tes. La mansuétude des forces locales à cet égard n'est pas toujours bien comprise par des citoyens qui se demandent, dès lors, pourquoi la municipalité prétend interdire des pratiques qu'elle va tolérer ensuite de factoDans la même veine, Mme Duchapeau se plaint que les cigarettes soient seulement déconseillées sur la plage. Mais la même ne s'offusque pas vraiment de la présence de canidés sur le sable (interdits toute l'année, d'après les panneaux) car elle aime beaucoup les animaux ! Ce n'est vraiment pas simple, se dit le Pied Tendre, de gouverner une population aussi paradoxale.

Quant à la milice princière, les habitants ne sont par ailleurs pas tous persuadés que son armement (lequel a fait l'objet d'un débat... très expéditif) soit absolument nécessaire. Mais certains Luziens voudraient la voir davantage sur le terrain (armée ou non) pour réprimer quelques abus : par exemple, au niveau du contrôle des deux-roues motorisés, accusés de nuisances sonores - parfois nocturnes - au pied de certaines résidences comme aussi en centre-ville. Ou pour éviter que certains quartiers de la ville : rue Gélos, depuis assez longtemps, les parcs de stationnement du quartier Ichaca plus récemment, ne soient considérés comme des aires de camping alternatives (et du reste parfois signalées comme telles par des sites internet dédiés au camping carisme !). 

Enfin, les investissements dans un parc de caméras important, notamment en front de mer, ne font pas non plus l'unanimité : cette surveillance vidéo ne décourageant pas les vols par ruse et autres cambriolages, dont on a l'impression d'une recrudescence, d'après les "on-dit".

Le Pied Tendre a aussi bavardé avec M. Piedenlo, son camarade pelotari, qui sévit au Quartier du Lac, mais prend le temps, entre deux parties endiablées, de lire le BERRIAK municipal. Il a bien rigolé, lui qui n'était pas au courant et qui, distrait, s'est retrouvé prendre la rue à contre-sens, en apprenant que les aménagements récents (nouveaux sens uniques, sationnements, etc.) avaient été réalisés dans ce quartier, selon notre premier  magistrat, "à la demande des riverains". 

"Mais lesquels" ? a soupiré M Piedenlo, auquel on a promis la réalisation prochaine de travaux d'assainissement, qu'il attend toujours... mais qui n'a pas été consulté à propos de la voirie. Il suppute que seuls  "quelques amis co-optés par le conseil municipal" ont été dûment informés et estime que l'on n'a pas tenu compte du "fiasco d'Andenia"  (où un sens unique mal étudié impacte très défavorablement l'activité économique du centre commercial). En attendant, faute d'un ralentisseur à la sortie de la rue du Docteur Schweitzer : quelques patrouilles supplémentaires de la police municipale y seraient les bienvenues, d'après lui, pour faire respecter les nouveaux "stop !" implantés au bas de l'avenue Lambrigot. Peu respectés ! Dommage aussi, à son avis, de n'avoir pas fait, dans le haut de la voie, le même aménagement qu'à l'entrée de l'avenue Lambrigot (où un seul côté de stationnement est autorisé,  ce qui règle pas mal de problèmes). 

La ville a préféré, dangereuse manie,  faire des chicanes, comme dans la rue Cépé, et bien sûr, les automobilistes en profitent là aussi pour déborder en dehors des zones où ils ont le droit de se parquer, rendant difficile les croisements, et dangereuse la cohabitation avec les cycles et les autobus, quand les trottoirs ne sont pas carrément envahis (au diable les manants ! entendez : les piétons). De même, elle a supprimé du stationnement gratuit rue du Lac au profit d'une bande pour les marcheurs, peinte sur la chaussée. "Il eût été logique de réparer plutôt le trottoir" ! se moque M Piedenlo, qui plaisante : "on dirait qu'il s'agit de remplir les parcs souterrains payants ; on ne comprend pas bien non plus la logique de cette histoire de zone bleue provisoire à Urdazuri". Mais M Piedenlo se veut malgré tout conciliant ; il trouve les sens interdits mis en place au Lac satisfaisants, et compatit avec les policiers municipaux, chargés de distribuer des avertissements aux (nombreux) usagers stationnant par habitude sur les emplacements désormais interdits. Heureusement (pour nos gardiens de la Loi, pas pour les professionnels du secteur) la crise du tourisme se confirme cet été : il y a donc, paraît-il(un peu) moins de monde que d'habitude.



Médiatisation


Ce blog est un moyen d'expression en ligne à l'attention des militants et sympathisants socialistes et républicains de Saint-Jean-de-Luz, dans un esprit d'ouverture à toutes les contributions de citoyens progressistes et réformistes. Il a été créé en mai 2020 (et contient les archives du blog des élus PS ayant existé entre 2015 et 2020).


La Gauche Luzienne est présente sur twitter depuis la fin du mois de septembre 2019 et a diffusé une "Lettre des élus" (thématique, éditée à raison d'un à deux numéros par an) pendant la mandature précédente. Elle possède sa propre page facebook.