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AGENDA * RÉVEILLER L'EUROPE

17 mai : rendez-vous à MORCENX un grand rassemblement est prévu le 17 mai prochain dans le département des Landes, à 18H. Ce meet...

mercredi 28 avril 2021

PLANÈTE VERTE : une histoire d'eau et d'algues

audience : 1538 vues cumulées en avril

BILLET D'HUMEUR DU 29 AVRIL 2021



LE BAL DES FAUX INCRÉDULES

Il aura suffi d'un article de presse (publié en version numérique, hier, par le quotidien du Pays Basque) sur le phénomène des algues vertes pour enflammer aussitôt la toile et susciter moult commentaires intéressés, ainsi que les sempiternelles dénégations habituelles de la part de certains internautes, lesquels, s'efforçant apparemment d'être aussi urticants que le "liga" gluant gisant sur nos fonds, se croient obligés de douter ouvertement que SUD OUEST ait fait une enquête scientifique (mais qu'on les rassure : l'université locale en a fait plusieurs) et n'estiment pas que la mer soit si sale que cela, ne croyant  parfois même pas que le système d'assainissement soit "sous-dimensionné" (sic).


UN DRAPEAU BLEU QUI VIRE AU CARTON ROUGE

Le fait est pourtant établi, il suffit de lire les rapports transmis par les délégataires et les services de l'agglomération pour constater que le problème est connu, depuis longtemps, et que des alertes ont été lancées à ce propos (par les surfers, les pêcheurs, ou plus récemment les candidats du Nouvel Élan lors des élections municipales luziennes en 2020). Évidemment, cela "la fout mal" au moment où les communes du littoral (certaines d'entre elles en tout cas) guignent un PAVILLON BLEU vraisemblablement destiné à "rassurer les touristes" ; c'est vrai qu'on en voit de moins en moins dans les parages et qu'il faut les rameuter à grands coups de publicité (?).


QUELQUES RIDICULES

La position de M le maire de Saint-Jean-de-Luz serait encore plus délicate si ses concitoyens n'étaient pas si angéliquement conciliants. Il n'avait pas hésité, en effet, à se poser en "Mr Propre" à la veille des dernières élections, soutenant d'abord contre l'évidence que "sa" station, d'épuration était aux normes et marchait bien, puis, ayant fini par admettre qu'elle débordait, parfois (très souvent en réalité)  se défendant en assurant qu'elle ne déversait pas ses eaux sales "dans la baie" (et c'était vrai : seulement au pied de la falaise de Sainte-Barbe, nuance ! enfin, sauf exception). Que dire aussi de certaines forces locales (pourtant alliées à des écologistes) qui l'avaient alors implicitement soutenu et prétendaient que seul le réseau posait problème mais que la step d'Artxilua  était conforme, préférant à cette occasion jouer avec les mots plutôt que dénoncer les maux causés par la pollution  et déclarant même que la dénonciation publique du problème des eaux noires (par quatre élus locaux)  risquait "d'occulter la vraie nature du problème" ? Il fallait oser ! Les mêmes se satisfont-ils aujourd'hui du futur transfert de la station (qui devrait être, malgré les lourdes dépenses faites pour réparer la falaise d'Erromardie et protéger sa canalisation, reconstruite plus au Nord, à Akotz) et des effets d'annonce de la CAPB ? 

Laquelle communauté d'agglomération aura bien du mal à financer les travaux aussi colossaux (des millions d'euros de dépenses sont prévues, mais pas encore engagées) qu'indispensables qui lui restent à conduire, d'autant qu'elle a d'autres priorités (son tram-bus, qui n'est ni l'un ni vraiment l'autre, divers projets structurants ou prétendus tels mais "en souffrance" et soutenus par les grandes communes) et que sa politique fiscale nourrit une fronde des entrepreneurs qui pourrait gagner la population tout entière si les prélèvements devenaient trop lourds (quid du prix de l'eau, dont M. de Lara, le seul candidat clair sur ces sujets en 2020, avait anticipé la hausse probable ?). 

Quoique ne partageant certes pas toutes les positions assumées aujourd'hui par les élus du Centre Luzien, ce qui est bien normal, nous  ne regrettons pas, même si désormais la page est tournée, d'avoir fait cause commune avec ces concitoyen(ne)s venu(e)s d'autres horizons pour tenter, notamment, d'initier la politique différente (et non dilatoire) qu'il aurait fallu assumer pour améliorer tout de suite la qualité des eaux de baignade. Le sujet est encore négligé, dans les faits, par beaucoup de monde.

mardi 20 avril 2021

UN EXEMPLE VENU DE LOIN (OU PAS TANT QUE CELA)

 BILLET D'HUMOUR DU 20 AVRIL 2021


TROU BÉANT

La presse locale s'intéresse, dans son numéro du jour, à un chantier en cours de réalisation sur l'autre versant des Pyrénées, dont les déboires  pourraient bien inquiéter les partisans du creusement du Parking Foch à Saint-Jean-de-Luz, après l'évacuation forcée de deux immeubles du front de mer sur la baie de Saint-Sébastien (dont le fameux Hôtel de Londres, si emblématique). Désireux de prolonger la ligne du "topo" entre Amara et la "contxa", les autorités ont en effet entrepris de creuser à la limite de la plage, avec un résultat aussi spectaculaire que prévisible : un effondrement de terrain suite à la libération d'une importante "colonne d'eau de mer" causée par les travaux de ce qu'il est convenu de baptiser "le métro de Donostia".


PRINCIPAUTÉS

Or, quand il ne nous inflige pas la comparaison avec le tunnel sous la Manche (sic) notre ci-devant et toujours Maire, fondateur putatif de la dynastie des princes-plongeurs luziens, est souvent prompt, pour argumenter en faveur du parking public sous l'avenue de Verdun, à donner en exemple la métropole voisine. Reste que les parcs de stationnement souterrains de la capitale du Guipuscoa ne sont ni si profonds ni si proches du front d'eau que ne le serait ce "trou" qu'on ambitionne de creuser à deux pas de la Grillerie du port luzien. En Europe, seule la principauté des Grimaldi a, à notre connaissance, foré si profondément et dans un but aussi prosaïque. Encore "le rocher" de Monaco, comme son nom l'indique, est-il fait d'un autre sous-sol que celui des marécages de Saint-Jean. Et puis, les autorités monégasques disposent sans nul doute d'une légitimité et de moyens sans proportion avec ceux du Bayle des Corsaires (dont la zone F n'est en rien comparable à son homologue méditerranéenne).

POLITIQUE

Comparaison n'est certes pas raison, car les données géologiques locales ne sont pas semblables à celles relevées ailleurs, pas plus que les types de chantier évoqués ne sont similaires. C'est la municipalité luzienne qui devrait, d'ailleurs, s'en souvenir, et assumer le fait qu'elle désire faire un parking en zone sensible alors que des alternatives existent, sans pouvoir mesurer le coût exact du projet ni ses risques ! Mais SUD OUEST ne fait aucun parallèle entre les dégâts subis par les édifices de la Contxa et les problèmes posés par le parking Foch : il préfère consacrer sa page locale à un article sur la non candidature de Manuel de Lara aux élections départementales. On apprend à sa lecture, entre autres révélations, l'identité du binôme qui devrait représenter le courant abertzale aux susdites élections...

jeudi 15 avril 2021

LES LUZIENS S'ÉCHARPENT (c'est en tout cas le point de vue de la presse)

 

BILLET DU 15 AVRIL


VIOLENCE SUR LA VOIE PUBLIQUE

C'était dans l'édition numérique du quotidien local  hier en fin d'après-midi, [et SUD OUEST le répète dans son édition papier du jour - note ajoutée le 16 avril] parlant de "s'écharper" à propos des tensions existant entre Herri Berri et le Centre Luzien. Les deux parties semblent avoir du mal à adopter une attitude cohérente et concertée face au projet de parking Foch, auquel les deux groupes se disent pourtant opposés (lire dans notre page VU DANS LES MÉDIAS) . Les élus des deux bords ont tour à tour investi la future esplanade Foch pour communiquer leurs points de vue. Sans surprise, d'après SUD OUEST, Herri Berri se dit "stupéfait" mais "renvoie la balle" dans le camp centriste.... 

VAGUES HYPOTHÉTIQUES

Un autre sujet de discorde récurrent : celui de la vague artificielle défendue par la municipalité contre des oppositions très hostiles par principe (HB) ou sceptiques voire très circonspectes mais attendant d'en savoir plus (le PS). La mise en ligne, hier, par la @Gauche Luzienne (sur Facebook) d'un appel d'offres émanant de Boardriders n'est pas passée inaperçue. SUD OUEST mentionne à ce propos une "hypothétique publication" alors qu'il s'agit bel et bien d'une communication existante, comme il le relève par ailleurs, et datée qui plus est du 3 mars 2021. Cela fait donc (à moins d'une erreur de la part du site professionnel ayant publié le message) plus d'un mois que le missile a été tiré par "le géant du Surf". Largement le temps de se rétracter s'il s'était agi d'une bévue. Personne, à part M. le Maire et ses amis, n'approuve a priori ce projet de piscine (lire notre article explicatif) car il se trouve situé en extension de la zone agglomérée (alors que les réseaux et systèmes d'épuration sont déjà insuffisants) et parce que la vague artificielle ne respecterait pas non plus les principes du développement durable (en tout cas : aucun dossier n'a été monté ni montré pour nous prouver le contraire).


LIFTING SUR LE PORT

Une autre dispute est-elle en voie de se régler ? On n'ignore pas que des conversations - parfois un peu difficiles - ont eu lieu entre la municipalité et les usagers du port luzien, depuis que la Ville a entrepris de rénover le secteur proche de l'îlot Foch, la commune convoitant au départ l'espace réservé aux professionnels, et ces derniers défendant leur pré carré. La victoire des usagers contre la Ville semble aujourd'hui complète, et confirmée par l'intervention du propriétaire : le département. Une opération est en effet prévue, financée par le Conseil Départemental, pour que "le port se refasse une beauté" assez rapidement. Cette rénovation là risque bien d'être terminée avant que les projets de la mairie à proximité n'aient même connu un début d'exécution (nous pensons aux Récollets, où les travaux sont prévus par le Syndicat de la Baie mais souffrent d'être très mal financés, et à la place Foch et ses abords). Le public n'a guère été informé jusqu'ici des détails de ce grand lifting portuaire, dont on ose espérer qu'il ne conduira pas à une restriction des accès publics vers les quais.

Suivez aussi la @Gauche Luzienne sur Facebook et sur Twitter

mercredi 14 avril 2021

SURF PÂQUES : LE RETOUR DE LA PISCINE à VAGUES ?

BILLET DU 14 AVRIL


FAUX HYMNE A LA JOIE ?

Le projet de Surf Park porté par Boardriders (Quiksilver) semble aujourd'hui "mort-né" dans l'opinion publique locale. Tant parce que les porteurs de la pétition rédigée contre cet aménagement, galvanisés par son succès, sont tout heureux et sûrs de leurs forces, persuadés d'avoir imposé l'abandon de la vague, que parce que, d'un autre côté, l'entreprise n'a donné jusqu'ici aucun détail confirmant ses intentions, Monsieur le Maire allant jusqu'à se plaindre publiquement (sic) de ne pas être correctement informé des suites données au projet.

Cette quasi certitude est peut-être infondée. Un internaute nous a en effet transmis la capture d'écran suivante :




VIEUX TUBE

Les Socialistes, opposés à cette construction éventuelle, comme à toute extension de l'enveloppe urbaine, au moins tant que les performances du réseau d'assainissement local n'auront pas été sensiblement améliorées, ne sont par ailleurs pas convaincus, sur le fond, de la pertinence de l'implantation de cette vague artificielle sur un tel site. Ils relèvent qu'il s'agit là d'une proposition émise il y a plusieurs décennies, quand les finances de la firme et le contexte environnemental portaient encore les décideurs à une certaine irresponsabilité écologique. Bref, que c'est un projet daté sinon obsolète.

MAIS C'EST LA MÊME CHANSON

La @Gauche Luzienne avait redouté d'autre part que l'ampleur de la polémique sur le Surf Park ne nuise directement à l'efficacité de la mobilisation nécessaire contre le Projet Foch - et, finalement, on a annoncé 60 000 signatures contre le projet de piscine à vagues, jamais présenté, mais seulement autorisé en principe par le PLU, contre 2000 pétitionnaires environ (selon nos sources, pas forcément réactualisées) dénonçant le parking public Foch. 

Il nous apparaît aujourd'hui que la campagne anti Surf Park a non seulement affaibli de facto la voix des récalcitrants hostiles au désastre écologique et patrimonial annoncé dans le centre-ville, mais encore que "Boardriders" n'a pas forcément renoncé à porter son projet de vague artificielle. Un appel d'offres a été, en tout cas, publié début mars à ce propos (visible sur le site MarchésOnline.com). Nous nous étonnons que cette mise en ligne - importante à nos yeux, car nous avions quelques raisons de douter des ambitions réelles de la marque "Quiksilver" en la matière (la presse ayant évoqué la mise à l'arrêt du projet en décembre dernier) - n'ait pas été relevée, et notamment que la Ville ne l'ait pas commentée, dans la mesure où la municipalité semble très favorable au projet, à propos duquel les opposants décidés mais aussi tous(te)s les citoyen(ne)s désireux de se former une opinion fondée en raison aimeraient avoir plus de renseignements !

Une autre politique locale, plus durable, n'est-elle pas indispensable et ne faudrait-il pas agir pour fédérer les énergies des oppositions (et porter des propositions alternatives) sur ce sujet ?  Nous le croyons.

dimanche 4 avril 2021

QUAND SAINT-JEAN SE MET EN COLÈRE !?

 INFORMATION AJOUTÉE le 11 AVRIL

Vers un autre projet de rénovation urbaine ?


[note ajoutée le 9 mai 2021 / pas encore de certitudes sur l'avenir d'une action concertée contre le parking public, les parties prenantes ne parvenant pas à s'entendre] - Le groupe Herri Berri appelait le 10 avril à la constitution d'un "comité transpartisan" en vue de s'opposer à la réalisation du parking Foch et de demander une autre requalification pour le centre-ville. Il se rallie à l'idée d'une grande manifestation, comme l'association de Manuel de Lara (U.N.É.) en annonçait l'organisation prochaine tout récemment. Une réunion publique aurait lieu dès le 7 mai (si les mesures de protection sanitaires le permettent).

[note ajoutée le 9 mai 2021 : on parle à présent du 21]

  L'idée semble a priori séduisante pour peu que le groupe puisse s'entendre avec l'ensemble des mouvements qui ont appelé à signer la pétition de Gardena (ce qui ne fût pas d'emblée son cas) lesquels mouvements ne semblent pas avoir été consultés en amont (?).

Un seul bémol : nous ne considérons pas pour notre part que "tous les freins administratifs ont été levés et que le chantier peut débuter" comme l'assure crânement SUD OUEST en présentation de l'initiative du groupe abertzale (et sans dire si ce commentaire reflète le point de vue du journaliste ou celui d'Herri Berri). Le PPRI n'est en effet pas encore publié et la mairie elle-même n'envisage pas de commencer le creusement de son puits automobile avant l'automne prochain.

Les Socialistes espèrent encore que les services de l'État voudront  réaffirmer l'irrégularité d'un tel parking souterrain en zone partiellement inondable. Ils apporteront volontiers leur modeste contribution à l'élaboration d'un projet urbanistique alternatif et "transpartisan", si on la sollicite.


BILLET DU 4 AVRIL 2021

 Un récent communiqué de l'UNÉ (Union pour un Nouvel Élan) mérite, croyons-nous, de recevoir l'attention de nos concitoyen(ne)s. Manuel de Lara, qui, comme on sait, appuie le recours déposé par  l'association GARDENA en vue d'obtenir l'annulation du permis de construire du parking souterrain Foch  y déclare que ledit permis "comporte de nombreux vices de forme et de fond qui pourront être légitimement contestés devant le juge administratif". 

Il estime de plus, comme nous-même d'ailleurs, qui souhaiterions qu'on attende au moins la publication du PPRI définitif, que "l'enquête publique pour obtenir le déclassement de ces emprises foncières avant leur vente au groupe Carmen Immobilier est une procédure pour le moins précipitée et malvenue dans ce contexte contentieux". 

Il annonce enfin son intention d'appeler à une grande manifestation de rejet du projet Foch, dès la sortie du troisième confinement. Les Socialistes ne peuvent qu'approuver cette initiative à laquelle ils espèrent que d'autres forces voudront bien participer ! Et ils profitent de l'occasion de ce billet pour inciter les Luzien(ne)s à s'informer à propos de l'enquête en cours.

Lire la notice de l'enquête publique 

(à propos du déclassement d'une partie du domaine public, que M. le Maire veut vendre à des promoteurs) est un exercice instructif. 

D'abord, parce qu'on y lit en toutes lettres la raison de la vente du parking Verdun : laquelle est due au fait que "deux promoteurs se sont associés pour développer un projet dépassant les strictes limites de leur propriété" (les friches Lamerain et Fraysse). C'est pourquoi la Ville, complaisante, se propose de leur céder une part de son patrimoine pour favoriser la réalisation de tels rêves de grandeur immobilière.

C'est bien, en effet, pour satisfaire aux désiderata des entrepreneurs privés que la commune a "prévu d’intégrer plusieurs emprises foncières, propriétés de la commune appartenant à son domaine public, au projet immobilier voisin".

La municipalité soutient que son objectif est "de permettre la recomposition de l’îlot Foch dans un principe d’alignement des façades" alors que, en réalité, lesdites façades ne seront pas vraiment alignées, sauf, partiellement, sur l'avenue de Verdun (mais le nouvel immeuble -massif- se terminera par une façade courbe). Quant au boulevard Victor-Hugo, on l'amputerait d'une "bande de terrain" qui "correspond actuellement à un trottoir". Pour compenser quelques centimètres carrés perdus côté Marion-Garay (la petite rue, devenue seul exutoire du centre-ville, serait en effet élargie).

Les Luzien(ne)s encore sceptiques peuvent donc vérifier que les principaux reproches faits (depuis longtemps) par la @Gauche Luzienne à ce projet d'aménagement urbain reposent sur des faits bien établis :

- la logique de la rénovation voulue par la commune s'adapte aux ambitions et initiatives des promoteurs (qui ont notamment besoin d'un parc de stationnement public souterrain sur zone, pour obtenir un accès facile à leur propre parking privé).

- la vente d'espaces publics permet au projet immobilier d'atteindre des dimensions excessives.

- le boulevard Victor-Hugo perd son débouché sur le port et est rétréci, ce qui est un choix discutable sur le plan des circulations ou même de l'aménagement paysager.

- le "Jardin" de M. le Maire se réduit à un rideau d'arbres, pour l'essentiel autour des accès aux parkings.

Bref, on aurait pu faire des constructions moins hautes et moins grandes, aérer le secteur par l'implantation d'un vrai square - au lieu de poser une dalle de béton sur un sarcophage automobile dont les rampes mangeront la moitié Sud du quartier. En tout cas, si la priorité des autorités luziennes avait été, réellement, la poursuite d'"une politique ambitieuse d’aménagement urbain visant à redynamiser le centre-ville tout en préservant son identité"


Mettre le parking public ailleurs, ne pas vendre la placette : tout ceci aurait pu être discuté. Au lieu de cela, il s'est agi d'invariants posés en amont, par le Maire actuel comme par son prédécesseur, qui n'auront renoncé au total qu'à une seule de leurs intentions de départ (celle de faire un bâtiment économique sur la place Foch elle-même). Concession minime pour une phase de "concertation" bien longue et un calendrier qui n'a jamais été respecté - malgré de nombreux reports. Il est temps que le Peuple se mobilise s'il veut empêcher une erreur historique de se concrétiser.

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Ce blog est un moyen d'expression en ligne à l'attention des militants et sympathisants socialistes et républicains de Saint-Jean-de-Luz, dans un esprit d'ouverture à toutes les contributions de citoyens progressistes et réformistes. Il a été créé en mai 2020 (et contient les archives du blog des élus PS ayant existé entre 2015 et 2020).


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