A C T U A L I T E S

AGENDA * RÉVEILLER L'EUROPE

17 mai : rendez-vous à MORCENX un grand rassemblement est prévu le 17 mai prochain dans le département des Landes, à 18H. Ce meet...

vendredi 23 septembre 2022

PROMESSES SUCRÉES ET ADDITION SALÉE : Vent de révolte à Alturan !

ÉCHO PUBLIÉ LE 23 SEPTEMBRE

La Police de M. le Maire est décidément partout. Hier, après avoir été placée en protection (intimidation ?) de la petite assemblée consultative convoquée par les citoyen(ne)s concerné(e)s après la Table Ronde initiée le 16 septembre par la @Gauche Luzienne, cette force zélée s'est apparemment déplacée vers la périphérie de la ville (à moins que ce ne soit le contraire, et que "la fièvre verbalisatrice" n'ait emporté dès le matin nos tuniques bleues). 

Toujours est-il que quelques habitants d'Alturan se sont vus infliger une amende pour stationnement illicite, et certains d'entre eux sont tout simplement furieux de cette addition très salée, dont la responsabilité, selon eux, incombe en effet, pour l'essentiel : à l'incurie municipale.

Il est vrai que, côté promesses, la municipalité luzienne n'a jamais été ladre. On avait notamment annoncé aux nouveaux résidents arrivant à Alturan (une combe humide, mais baptisée "hauteur" pour les besoins de la promotion immobilière) la création d'un éco-quartier (en réalité : son éloignement de tout centre commercial et de services, et l'impossibilité d'en sortir pour gagner la ville par un cheminement piéton ou cyclable protégé en font, au mieux, une éco-construction).

Pour pallier la difficulté, et sachant que c'est avec du miel qu'on attrape le plus d'abeilles, J-F Irigoyen avait maintenu ou inventé d'autres promesses (électorales) : le déménagement du refuge de l'APA, la mise en place de bus cadencés, la création d'un parc de stationnement...

Aucun de ces engagements, judicieux ou non, n'a été réellement tenu. Surtout pas celui d'offrir des stationnements supplémentaires. Or, la plaie du quartier réside, notamment, dans l'insuffisance des solutions pour garer sur place son (ou ses) automobile(s).  Une plaie aggravée par la construction récente d'un bloc résidentiel supplémentaire. A l'heure où la commune vient de réaliser à grand frais un stationnement "de prestige" - a priori inutile car sempiternellement vide, mais il faut bien faire semblant de vouloir dissuader la circulation en ville - dans le secteur de Layatz, et quand elle creuse un puits saumâtre pour loger les voitures des touristes à deux pas de la place Louis XIV, la pilule est amère pour les gens d'Alturan, dont certains sont en conséquence très remontés contre M. le Maire en personne, puisqu'il n'habite pas très loin, et qu'on le soupçonne évidemment d'avoir diligenté l'intervention de sa brigade. Celles et ceux que cette proximité flattait sont aujourd'hui très partagés sur l'intérêt d'avoir J-F Irigoyen comme "voisin".

Nous lui conseillerions volontiers de ne pas abuser du mépris caustique  (Voir le journal du Pied Tendre daté d'aujourd'hui) dont il fait preuve si souvent en cas d'interpellation par les dits voisins.  Ils sont gentils, mais un peu excédés.

jeudi 22 septembre 2022

PLUS DE MILITANTS QUE DE POLICIERS DEVANT LA MAIRIE CE JEUDI

 

BILLET D'HUMEUR ET D'HUMOUR DU 22 SEPTEMBRE

Les citoyen(ne)s ayant répondu ce Jeudi au rendez-vous impromptu fixé à l'issue de la Table Ronde de la @Gauche Luzienne le 16 septembre, rendez-vous donné dans l'intention de réunir un atelier en plein air pour esquisser une méthode de concertation en vue de pousser la Ville à écouter davantage les habitant(es)s et de réaliser enfin des aménagements plus "verts" (vivables et végétalisés)... étaient beaucoup plus nombreux que les forces de police municipales, martiales et déployées "en éventail" face au porche. Les gardes du corps du Bayle des corsaires (alias J-F Irigoyen) n'étaient que quatre, en effet, à stationner devant la mairie pour empêcher tout trouble à l'ordre public. Quatre, mais redoutables....

Un tel déploiement de force a bien fait rire les personnes présentes, nettement en surnombre par rapport aux gardiens de l'ordre (sauf à comptabiliser les adjoints et autres chef de cabinet ou élu local délégué se promenant autour du kiosque). Elles n'avaient du reste nullement l'intention de manifester de manière agressive, et encore moins de forcer le passage pour envahir le bureau de M. le Maire (venu en personne saluer furtivement ses policiers et leur serrer la main). Loin de jouer à la "kale borroka" les militants (sympathisants et membres du PS et de LFI pour l'essentiel, ainsi que des Luziens sans affiliation) n'avaient pour ambition que d'alerter leurs concitoyens sur l'urgence à s'approprier les questions d'urbanisme pour faire pression sur les décideurs. Ce sont leurs rires et la longueur de leurs échanges qui, finalement, semblent avoir le plus ostensiblement dérangé certaine fonctionnaire pilotant de longue date les rénovations et les affaires d'urbanisme locales : elle a donc fermé la fenêtre donnant sur le kiosque (un malicieux a jugé que c'était pour ne pas risquer, sans doute, d'entendre répéter certains reproches dont sa conscience l'accablait déjà !). 

Pour nous, la modification du PLU actuellement projetée et l'aménagement de l'îlot Foch, comme l'extension programmée des constructions au détriment de la périphérie rurale (conduisant donc des raccordements supplémentaires à un réseau d'égouts et de stations d'épuration -STEP- pourtant inadaptés) mériteraient qu'on consultât mieux la population !

C'est à cet égard la permanence de la commissaire enquêtrice chargé d'instruire la révision (pardon : il ne s'agit que d'une modification) du Plan d'Urbanisme que cherchait justement à cibler notre atelier citoyen, destiné aussi à attirer l'attention sur une procédure inaperçue du grand public. Une délégation imposante (constituée... de deux Luziennes parmi les plus éminentes) lui a effectivement remis un texte détaillant nos craintes et rappelant nos réserves sur toutes les opérations immobilières "en extension" notamment celle prévue au dessus d'Urtaburu.

Car les citoyen(ne)s luzien(ne)s ayant participé à la table ronde organisée le 16 septembre, tenaient à lui transmettre des remarques générales avant d'intervenir sur le fond. 

^^une "photographie de famille" regroupant les^^ instigateurs de ce conseil citoyen, prise devant le seul exemple de concertation réussie par la municipalité : la bâche du kiosque, rouge de par la volonté du peuple, pour une fois consulté !  

Ci-dessous, le TEXTE remis 

Note destinée à l'enquête publique sur la révision du PLU

Le contexte dans lequel la révision du Plan Local d'Urbanisme luzien est réalisée nourrit nos inquiétudes, alors que nombre de maires du secteur expriment ouvertement le souhait d'un allégement des contraintes découlant de la loi Climat et de la Loi Littoral, et que les espaces naturels de la commune sont soumis à une forte pression.

L'opération prévue à Ur Mendi (OAP en extension de l'enveloppe urbaine) nous poserait tout particulièrement problème, si elle devait impliquer un agrandissement de la surface bâtie ou agglomération (alors même que la crise de l'assainissement local n'est pas solutionnée) et si elle menaçait les cônes de vue, les bois classés et les coulées vertes que le PLU engageait à préserver.

Nous profitons de l'enquête publique en vue de la révision (dont nous doutons de la nécessité impérieuse) du PLU pour dire notre opposition à l'extension de l'agglomération et à toute forme d'artificialisation outrancière des sols, et nous formons le vœu que ladite enquête en cours soit respectée dans ses conclusions (lors de l'adoption du PLU, certaines revendications, eu égard à la protection de la biodiversité notamment, ne l'ont pas été : s'agissant par exemple de protéger les hirondelles présentes sur la commune) et qu'elle n'entérine pas des faits accomplis détestables comme ce fut le cas à d'autres occasions (le déclassement des terrains communaux en vue de leur vente à des promoteurs pour construire sur et au delà de l'îlot Foch n'a pas été empêché, malgré une enquête publique ayant conclu en mai 2021 à l'absence de « toute utilité publique » de ce projet, tandis que la vente d'une portion du boulevard Victor-Hugo était qualifié dans l'avis rédigé par le commissaire-enquêteur « d'ajustement » déjà validé par le conseil municipal, tandis que son trottoir était décrit comme étant de facto déjà « privatisé par la terrasse » d'un restaurant et « obstrué »).

Les signataires : pour la NUPES

LFI (Les Insoumis) – PS (section de Saint-Jean-de-Luz)


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Le blog de la @Gauche Luzienne

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 Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale   

samedi 17 septembre 2022

22! VOILA LE PEUPLE..... un événement citoyen prévu en septembre

RAPPELS : 

Chaque jour de la semaine , la chronique du PIED TENDRE est publiée sur la page du même nom (cliquez ICI ou dans la colonne côté tribord

Si vous cherchez de très anciennes publications (avant 2020) et que l'on vous dit que la page n'existe plus : écrivez "gaucheluzienne" à la place de l'expression "élusPS luziens" dans la barre d'adresse

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La TABLE RONDE citoyenne consacrée à la protection du patrimoine foncier, environnemental et culturel luzien a réuni une vingtaine de personnes de toute tendance ce vendredi soir.


1 Le PS local a,  dans un premier temps, présenté son analyse de la situation, et le contexte ayant conduit la @Gauche Luzienne à provoquer cette réunion.

Tant la révision annoncée du PLU (Plan local d'Urbanisme) que les cessions réalisées dans un passé récent lui semblent menacer le patrimoine foncier de la ville, qui tend à "déclasser" systématiquement (les bâtiments hier, les bois demain ?) censément protégés pour "valoriser" (en gros : pour vendre aux promoteurs, comme sur l'îlot Foch ou le gros "Bizi Potz" sera bâti sur une surface issue pour moitié de la cession de terrains publics : une place et la moitié d'une avenue !). Elle s'inquiète beaucoup des ambitions immobilières de la municipalité sur les hauts d'Urthaburu (opération UR Mendi, notamment) qui menacent les cônes de vue, augmentent la pression sur le système d'assainissement défaillant et ne sont pas forcément compatibles avec les lois (climat / artificialisation des sols / protection du littoral). Elle avait du reste demandé, jadis, avec d'autres acteurs, mais sans l'appui de toutes les oppositions, un moratoire sur les "OAP" (c'était lors du vote du PLU et cela englobait toutes les OAP, synonymes d'augmentation de la pression démographique alors que la crise de l'assainissement n'est pas réglée).

Les intervenants dans le cadre de la Table Ronde ont convenu du manque de lisibilité de la politique d'urbanisme municipale, qui tend à densifier l'existant (à Fargeot, par exemple) ce qui peut du reste effaroucher une part des habitants, mais est conforme aux objectifs de resserrement fixés au niveau national, tout en continuant à étendre les limites de l'enveloppe urbaine au détriment des espaces ruraux. L'augmentation continue du taux de résidences secondaires, et le fait que la production de logements exclue de facto les personnes et plus encore les familles les plus pauvres (car ceux des locaux qui en ont les moyens n'ont pas de problème) ont été dénoncés. Le bail réel solidaire a été cité parmi les outils possibles pour éviter - sans qu'il s'agisse d'un moyen idéal à tout point de vue -  la spéculation par les bénéficiaires de l'accession à la propriété en HLM ; une réglementation plus stricte liée au nécessaire développement de compétences spécifiques octroyées à la CAPB a été largement souhaitée, encore que le volontarisme de celle-ci dépendra de qui est élu pour la diriger.

La dégradation de la qualité des eaux de baignade et l'absence de toute entreprise en faveur d'une amélioration de l'assainissement sont un autre sujet de désaccord, de notre part, avec la municipalité de notables en charge des affaires : ni le déplacement de la station d'épuration ni la construction de nouveaux réservoirs d'orage, promis par M. le Maire, n'ont été esquissés. Par ailleurs, la gestion des déchets est très mauvaise.

La conversation a permis de rappeler que, sur la question de l'eau, la ville avait été attentiste, espérant "refiler le bébé" à l'agglomération. Laquelle, compte tenu du montant faramineux des travaux et de la mauvaise gestion de ses finances (mise en oeuvre d'un faux tram ruineux et pour l'instant inefficace, tensions entre l'intérieur et le littoral, petites et grandes villes) a différé toutes les interventions attendues. L'impuissance à agir de la CAPB aurait sans doute pu être en partie surmontée, si la commune avait entrepris de participer à l'effort en faveur de cette compétence "transférée". Quant aux résidus de chantier : les déchets du projet Foch représentent à eux seuls un volume supérieur aux capacités de la nouvelle décharge d'Urrugne, d'ailleurs située en terrain instable : l'agglomération est donc en situation d'exporter ses déchets "à l'étranger" (Lesaka) ce qui n'est pas l'indice d'un comportement responsable et à la mesure des enjeux !  Tout au contraire, la commune s'est contenté, sur le plan environnemental, de baptiser "prairie urbaine" ou "forêt" quelques plantations dérisoires : déracinant des arbres (qui sont presque tous crevés depuis, plusieurs palmiers "historiques" notamment) et multipliant les jardins de pierre, très mal venus dans le contexte de lutte contre le réchauffement climatique, et d'ailleurs interdits par de nombreuses collectivités. La ville a été très inefficace, en outre, s'agissant de la dissuasion des véhicules en "entrée de ville" : elle cherche en réalité à les attirer au centre (vers le futur parking sur le port, qui n'a rien d'un stationnement périphérique mais qui jouera le rôle d'aimant redouté depuis le début par les opposants au projet). L'échec du parking-relais de Layatz était lui aussi programmé : la ville n'a pas de parking de délestage et co-voiturage à proximité de l'échangeur autoroutier, malgré des demandes très anciennes (elle a préféré favoriser l'implantation de la marque Leclerc sur le site jadis disponible) ni d'aire en entrée d'agglomération, vers Akotz (cet équipement serait "dans les cartons". Les intervenants ont par ailleurs noté la contradiction entre le discours édilitaire sur la nécessité du retrait du trait de côte et sa mise en pratique réelle : d'une part, seul Erromardi semble être concerné (ailleurs, et même en zone inondable, la commune feint de croire que ni l'érosion ni la hausse du niveau ne sont redoutables) ; d'autre part, même dans ce secteur : des millions ont été dépensés pour refaire le tuyau de la STEP sur la corniche, une digue a été implantée sur le sable pour protéger la guinguette, et la zone prétendument verte a connu tout l'été une sur-fréquentation désastreuse : invasion de tables par le restaurant, transit automobile des clients des campings et riverains, passage des navettes reliant le parking de Layaz à ce secteur "favorisé" par M. le Maire, également chargé de présider le syndicat des mobilités du Pays Basque (mais les véhicules, trop petits, n'étant pas en mesure de transporter plus d'une ou deux familles à la fois : ils n'ont pas servi à grand chose).

La cohésion de la cité paraît, par ailleurs, devoir souffrir du mode de gouvernance vertical caractérisant l'action municipale. Au moment où les réunions de quartier sont présentées comme un instrument de démocratie locale pertinent, force est de constater que le nouvel aménagement du quartier Aïce Errota a été imposé aux habitant(e)s sans que les délégués de quartier ni les élus du secteur n'aient joué le rôle de médiation attendue, au point que certains se sont demandés s'ils avaient été eux-mêmes correctement informés ! 

Des tables rondes comme celle-ci, voire des rassemblements plus conviviaux, pourraient permettre aux citoyen(ne)s de se saisir en amont des problèmes et d'agir pour que la concertation municipale soit plus qu'un rite "formel" dont les élus s'acquittent par obligation : les personnes présentes ont exprimé l'intention d'en tenir de nouvelles. Beaucoup ont dénoncé l'absence de communication , tant de l'Éxécutif vers les habitants, qu'entre conseillers municipaux : la plupart des élus, même dans "le camp" majoritaire, sont tenus dans l'ignorance des décisions avant qu'elles ne soient prises et qu'ils soient sommés de les soutenir. On a pu se demander dans quelle mesure les élus les plus anciennement présents, dans la majorité ou non, pouvaient servir l'intérêt général dans le cadre d'un fonctionnement aussi systématiquement mauvais. Le bilan de l'adjointe en charge de la proximité (celle-là même qui a détruit le "stationnement diffus" censé, d'après le défunt Peyuco Duhart, permettre aux usagers du futur pôle culturel de se garer) a été perçu comme désastreux.

2 Le débat a souvent pointé le scandaleux saccage du secteur Foch, où, pour permettre à un promoteur de réaliser un hôtel et des immeubles de standing (des choses qui manquent, apparemment, dans notre cité !) la municipalité lui a complaisamment vendu des terrains communaux, l'administration l'a laissé construire en zone inondable, et un parking public a été creusé dans un sous-sol gorgé d'eau - ceci pour que la rampe d'accès aux stationnements privés soit partagée avec le stationnement "public" (en fait, géré par la multinationale INDIGO).

[voir nos billets dédiés à cette question, dans les archives et/ou à paraître - le rétrécissement du boulevard et l'édification d'un bloc massif, la diminution de la surface du giratoire face à la gare font présager une enlaidissement et des difficultés de circulation accrues ; le syndicat de la Baie doit en outre récupérer la maitrise des zones encore gelées par la CCI et "défendues" par les pêcheurs, un projet pour atténuer les nuisances devraient en conséquence émaner des usagers et riverains]

3 En conclusion, les participants à la TABLE RONDE ont résolu de soutenir les initiatives prises par les groupes et les personnes proposant une autre politique, plus respectueuse des gens et de la planète, en allant au delà des clivages partisans utilisés par la mairie pour diviser les contestations.

La VELORUTION convoquée le 25 septembre par le mouvement BIZI doit être soutenue, car la question du vélo dans son usage quotidien est mal prise en charge et la sécurité sur la route et en dehors n'est pas traitée sérieusement (aucune présence policière, par exemple, pour dissuader les incivilités sur la promenade de la plage, que de très nombreux cycles empruntent malgré leur interdiction et le danger pour les piétons). 

L'initiative de citoyens désireux de porter un projet "viable, vivable et équitable" pour le secteur Foch, en dépit des effets négatifs de la rénovation en cours, qui - entre autres problèmes - va imposer la mise en place d'une immense une dalle de béton désactivé, sera soutenue. La Table Ronde se conclue par un appel à participer à l'atelier de réflexion prévu le 22 septembre (rassemblement sur la  place Louis XIV). Les présents s'apprêtent à faire suivre à la presse le communiqué suivant par lequel ils expriment leur souhait de porter un projet d'aménagement durable de la ville et invitent les personnes désireuses de participer à sa rédaction à se rassembler le 22 septembre sur la place Louis XIV à 13 h 30. 


"Les citoyens souhaitant porter un projet urbain vivable, végétalisé, pour Saint-Jean-de-Luz, invitent à se retrouver  le 22 septembre  à 13 h 30 sous le kiosque devant la mairie"

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Le blog de la @Gauche Luzienne

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 Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale  

mercredi 14 septembre 2022

QUAND LE PETIT VÉLO DE BIZI! VOIT ROUGE...

 

S'ils n'en sont nullement les instigateurs et ont appris la chose en lisant "les nouvelles"  les Socialistes Luzien(ne)s ne peuvent que se réjouir devant la mobilisation du collectif militant Basque pour dénoncer la dangerosité des parcours urbains à Saint-Jean-de-Luz et s'opposer au "tout voiture" (municipal). Ils et elles vous invitent donc à soutenir moralement, et même, si vous le pouvez, à participer à la VÉLORUTION prévue le Dimanche 25 (départ à 15 heures depuis le square Verdun, nous dit SUD OUEST : on suppose qu'il désigne par là les abords du monument aux morts, la place Verdun, alias parking Jaulerry, étant devenue un chantier sinistre depuis qu'on l'a vendue aux promoteurs).



La @Gauche Luzienne partage totalement le constat de Bizi! tel que le journal local le retranscrit dans son édition du 13 septembre à propos du schéma cyclable de la commune, ambitieux dans ses annonces mais en retard dans l'exécution. Elle approuve que soient "mis en accusation" la municipalité de J-F Irigoyen (que dire, par exemple, de l'itinéraire cycliste entre le Port et les halles via l'ex-garage Lamerain ? encore pire dans son état actuel, mais passablement dangereux depuis sa mise en place) mais aussi le Département (dont les plans de la passerelle devant relier les deux rives sont, paraît-il, prêts de puis longtemps, sans aucun commencement de réalisation) pour ne pas parler de la piste prétendument partagée côté Ciboure, vers Socoa. 

Pour sa part, elle ajouterait bien à la liste des coupables l'administration de l'État, qui laisse construire et fouir sur un site inondable et en friche pour attirer plus de bagnoles encore en centre-ville !


samedi 10 septembre 2022

PROJET FOCH : UN SCANDALE DE PLUS ? DU FIASCO A LA HONTE!


Alors que nous avons déjà signalé à quel point la décharge "improvisée" à Urrugne par les autorités locales pour se débarrasser des gravats et autres saletés issus du "Fiasco de l'îlot Foch" était inadaptée (le site retenu, au dessus d'Orio, est instable au plan géologique, et beaucoup trop petit pour absorber jamais l'ensemble des déblais compte tenu de l'immense trou à creuser en zone inondable près de la mairie de Saint-Jean-de-Luz pour édifier deux parkings - dont l'un est municipal mais géré par INDIGO -  et un énorme building construit pour moitié sur des terrains municipaux cédés aux promoteurs) HERRI BERRI pointe un autre scandale.

Il dénonce une catastrophe écologique qui, si elle est avérée, pose à nouveau le problème de la passivité complète de l'Etat dans ce dossier, où le moins que l'on puisse dire est que les citoyens ont l'impression qu'on laisse spéculateurs et édiles prendre de grandes libertés avec la Loi !


On ne peut décidément compter que sur l'Opinion Publique dans cette affaire et seule et une mobilisation des" vrais gens" pourrait ramener à la raison nos décideurs, lesquels se sentent pousser des ailes depuis les récentes "décisions de justice" (sic) favorables à leur cause et la réélection triomphale (?) de la municipalité sortante.

Aux citoyen(nes) intéressé(e)s : nous rappelons que la @Gauche Luzienne organisera le 16 septembre une Table Ronde sur la protection du patrimoine foncier, environnemental et culturel (voir notre AGENDA).

Médiatisation


Ce blog est un moyen d'expression en ligne à l'attention des militants et sympathisants socialistes et républicains de Saint-Jean-de-Luz, dans un esprit d'ouverture à toutes les contributions de citoyens progressistes et réformistes. Il a été créé en mai 2020 (et contient les archives du blog des élus PS ayant existé entre 2015 et 2020).


La Gauche Luzienne est présente sur twitter depuis la fin du mois de septembre 2019 et a diffusé une "Lettre des élus" (thématique, éditée à raison d'un à deux numéros par an) pendant la mandature précédente. Elle possède sa propre page facebook.