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mercredi 29 juin 2022

PARKING FOCH: Gardena débouté, le traitement de faveur de l'État confirmé

 

BILLET DU 29 JUIN



JOIE EN MAIRIE

où l'on a appris récemment que le tribunal administratif avait débouté l'association de protection du Patrimoine GARDENA, le juge des référés ayant tranché en faveur de la commune le litige l'opposant à l'association (laquelle demandait une suspension des travaux du parking Foch).

Nous ne commenterons pas cette décision, que GARDENA estime - d'après SUD OUEST dans son édition du 29 juin - anormalement tardive (deux mois après transmission de la plainte) et plutôt "surprenante" sur le fond, mais dont la municipalité se dit, quant à elle, très "satisfaite".

LE CONFLIT PERSISTE POURTANT

et la @GaucheLuzienne, qui a soutenu depuis le début les associations (puis le collectif Stop.parking. Foch !) opposés au creusement d'un stationnement souterrain sur le port, estime nécessaire de rappeler que le dossier n'est nullement clos, sur le plan judiciaire, puisque la procédure traitant d'un recours contentieux déposé par GARDENA est toujours en train !

LE PROJET DANS SA TOTALITÉ POSE PROBLÈME

du point de vue des Socialistes Luziens, qui dénoncent de longue date le soutien indéfectible de la Ville - et des services de l'État - à un projet de rénovation dont le parking public n'est en réalité qu'une partie (certes pas la plus satisfaisante, comme l'absence avérée de toute solution de stockage des déchets de chantier le confirme). 

Pour nous,  se contenter de déplorer l'aménagement d'un parc souterrain municipal, c'est voir le dossier par le petit bout de la lorgnette (certains prétendus écologistes semblent se prêter au stratagème) alors qu'une vue d'ensemble reste de nature à interpeller l'opinion.  

Puisque, rappelons-le : il s'agit surtout de faire, au dessus de l'ancien garage Renault mais en débordant très largement les limites de la  friche une grosse résidence de standing de plus (partiellement hôtelière) dans le centre de Saint-Jean-de-Luz. Ce qui n'est pas caché au public, car de multiples affichettes publicitaires permettent  de vérifier sur place que nous n'inventons rien. Mais nous nous offusquons de ce que "Bizi Pozik" ("vivre heureux !" un nom charmant mais peu approprié pour un futur bloc de pied-à-terre pour touristes fortunés) sera construit pour près de la moitié de sa surface sur des terrains communaux, abandonnés par la municipalité  à des intérêts privés, dont les ambitions vont conduire à rétrécir le gabarit du boulevard Thiers. 

La Ville, par ailleurs, n'a choisi d'implanter son parking public sur le site que pour complaire aux promoteurs du projet privé (le parking de ces derniers étant imbriqué dans le parking public pour que ses accès soient "hors d'eau" et permettent à la préfecture de se montrer très conciliante).

Quant à l'état, il est de tout coeur avec les bétonneurs. Non seulement le gouvernement n'a pas répondu aux sollicitations des citoyens (La lettre ouverte à Mme Pompili n'a pas été lue par cette dernière, à moins qu'elle ait jugé préférable de n'y pas répondre ; quant aux tracts d'alerte signés par le PS et diffusés auprès de la population, ils ont été - carrément! censurés par un excès de zèle) mais encore la préfecture a, de son côté, battu des records de serviabilité : escamotant pour un temps le  plan de prévention des risques, et dispensant, en octobre 2020, le projet d'aménagement de l'îlot Foch (toute l'opération d'urbanisme, donc) d'avoir à réaliser une étude d'impact préalable.

LE PRÉTEXTE DE LA PRÉFÈTE

est révélateur de sa complaisance. Comme le rapporte en effet le journal local, la préfète de Région, pour faire cette fleur aux partisans de la démolition-reconstruction-extension de l'îlot Foch, invoquait dans son arrêté en date du 20 octobre 2020, la situation favorable de ce quartier de la ville, lequel ne serait selon ses dires exposé qu'à un "aléa faible et moyen". Attention : cela signifie concrètement que M. le Maire avait tort quand il fulminait jadis à longueur d'interviews que son parking n'était pas en zone inondable et que ses contradicteurs mentaient (sic) comme il se trompait encore en concédant, plus récemment, l'existence d'un aléa faible. En réalité, l'exposition à un risque d'inondation est bien réel ("faible et moyen", cela ne signifie pas insignifiant, et , de plus - dès lors que des personnes y sont exposées - il ne faut plus parler d'aléa mais bel et bien de risque).

Il y aura bientôt deux ans que nous avions tiré la sonnette d'alarme : nous demandant "à qui jeter la pierre" ? Il nous faut aujourd'hui répondre : pas seulement aux notables locaux, mais aussi à celles et ceux qui les laissent faire au mépris de risques avérés et de dégâts environnementaux évidents.

gaucheluzienne@gmail.com

mardi 21 juin 2022

BIS REPETITA ?

 

Billet du 21 juin 2022


"L'HISTOIRE NE REPASSE PAS LES PLATS"

dit-on volontiers, ou bien, quand elle le fait, c'est (d'après Marx) "la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce". 

Le second mandat d'Emmanuel Macron est-il donc promis à devenir  le pendant du règne de Napoléon-le-Petit après que son premier quinquennat eût été vécu comme le "vol de l'Aigle" ? En l'occurrence, nous pensons plutôt que comparaison n'est pas raison, puisque le bilan du Président n'a pas de quoi ébouriffer l'opinion (qui, du reste, ne lui a pas accordé aveuglément sa confiance) et qu'il est un peu tôt pour prévoir la suite.


Tous les commentateurs (politiciens et journalistes) avancent que la situation est inédite, et affirment que les présidents (sauf cohabitation) auraient toujours disposé, avant 2022, d'une majorité absolue à l'assemblée. C'est tout simplement inexact, même en s'en tenant au passé récent et à la Cinquième République : on se souvient notamment comment Michel Rocard avait gouverné en s'appuyant tantôt sur les Communistes, tantôt sur le Centre, mais en recourant aussi parfois au fameux article 49-3 pour, au total, gérer très correctement les affaires du pays et mettre fin aux violences en Nouvelle-Calédonie. Un gouvernement ne disposant que d'une majorité relative n'est donc voué ni à l'impuissance ni à l'échec. Pas même en France, où la verticalité du pouvoir est une manie, encore renforcée sous le règne "jupiterien" du chef de l'état actuellement en place.

Le fait nouveau est ailleurs : précisément, dans la montée du front "Le Péniste", en passe d'avaler la Droite, réduite à portion congrue, quand l'Union des Gauches - qui se pose en principale force d'opposition -  doit encore faire la preuve de sa capacité à défendre dans la durée des positions communes et peut se féliciter d'avoir "sauvé les meubles" après une campagne des présidentielles plutôt calamiteuse, dominée par les diatribes "zemmouriennes". Quant à l'ingouvernabilité éventuelle du pays, la question se serait posée, quand bien même une majorité absolue aurait été obtenue par Ensemble! On ne voit pas en effet que cette coalition aurait été plus capable de rassembler les Français(e)s dans la soumission au chef que ne l'a été la défunte LREM, notamment chahutée par les gilets jaunes. Dans une nation relativement fracturée (entre générations mais aussi territorialement, car c'est à l'Est d'une ligne Le Havre-Perpignan plus exposée aux difficultés économiques et sociales que le RN réalise ses meilleurs scores) un effort de consensus, en tout cas d'écoute mutuelle, sera nécessaire.

Localement, les résultats sont globalement satisfaisants, marqués notamment par l'élection d'Inaki Echaniz ; bien des ténors de la droite traditionnelle ont par ailleurs tremblé, y compris sur le BAB, où Bayonne a, par exemple, voté pour la NUPES, au contraire de certaines de ses banlieues pourtant gouvernées, parfois, par des maires se réclamant de la gauche. 

On relèvera que, dans l'ensemble du Pays Basque, les Abertzale d'EH-BAI ont fait le choix de ne pas soutenir la Gauche au second tour, notamment dans la sixième circonscription (celle de Saint-Jean-de-Luz) où Tom Robin-Dubois n'a cependant pas à rougir de ses 40% 

On peut regretter le sectarisme de ce mouvement, car le manque de dynamisme des députés de droite et du centre réélus sans opposition manifeste de sa part, ce week end, n'est un secret pour personne !

14 JUILLET MAUDIT ?

L'approche de la fête nationale est l'occasion pour le mouvement U14 de faire fleurir sur les murs de Saint-Jean-de-Luz des affiches rendant hommage au doigt de notre premier magistrat, doigt qu'il aurait brandi à la face de manifestants indépendantistes l'an passé pour les mettre à l'index et défier leur hostilité au drapeau

Faut-il redouter de nouvelles provocations le 14 juillet prochain ou la seconde saison du feuilleton "Monsieur le Maire de Saint-Jean-de-Luz contre les ennemis (?) de la République" sera-t-elle plus apaisée, sinon détendue ? On n'en sait encore rien.

Mais il est désolant de lire sur nos murs que les jeunes Basques n'auraient "rien à fêter" le 14 juillet au prétexte qu'ils ne seraient pas (nous dit le collectif U14) Français. 

La prise de la Bastille est, en effet, au delà d'un anniversaire choisi (longtemps après les faits, et sans que ceux-ci soient forcément aussi glorieux que ne le dit la légende) par la République pour célébrer l'unité nationale, devenu le symbole du peuple victorieux du féodalisme et de l'arbitraire : en somme, le 14 juillet 1789 est un événement perçu comme marquant l'avènement de la Liberté et de l'Égalité entre tous les citoyens. A ce titre, il peut être fêté universellement, par tous les Démocrates. 

gaucheluzienne@gmail.com



dimanche 12 juin 2022

Pays Basque sud, la Gauche au second tour.

Tom Robin-Dubois met en ballotage le sortant et assure la présence de l'Alliance populaire au second tour. Tout autre résultat aurait paru aussi injuste que décevant.
Reste à transformer l'essai et â gagner la sixième circonscription
C'est possible si toutes les Gauches, y compris la frange abertzale, jouent le jeu : M. Bru, pour se faire réélire, aurait besoin de voix venus des extrêmes dont nous doutons fort, du reste, qu'il ait envie de les rallier à son panache centriste.

lundi 6 juin 2022

PARKING FOCH: LE FESTIVAL (PAS ANDALOU) CONTINUE

 

B I L L E T    D U    6     J  U  I  N      2 0 2 2  - revue de presse et élections


VISITEZ BETONS-BAZCOCHE (LE NOUVEAU NOM DE DONIBANE)

La presse déchaînée continue de sévir qui, après avoir rendu compte de la nouvelle démarche d'alerte lancée par les opposants du collectif Stop.parking.Foch - lesquels ont demandé aux candidats aux Législatives se présentant dans la sixième circonscription leur avis sur le parking en zone inondable du maire LR de Saint-Jean-de-Luz, ose présenter le chantier... comme une sorte d'attraction touristique dont on devrait faire payer la visite pour financer l'équipement (sic) ! SUD OUEST joue en effet  la provocation et juxtapose l'information et le commentaire (volontairement ironique ?) du "piéton" sur une seule page dans son édition du 1er juin. En même temps, la quotidien semble s'inquiéter du coût : n'a-t-il pas encore compris que c'est gratuit ? La Droite locale, très friande "d'argent magique" - surtout quand ce n'est pas le sien - ne cesse pourtant de le lui répéter à cor et à cri.

La même source rapporte dans sa publication en date du 3 juin l'étonnement supposé d'une employée de l'Agence Régionale de Santé conviée à une formation à Saint-Jean-de-Luz - laquelle employée se serait offusquée, selon le journaliste, de l'existence d'opposants au parking. A coup sûr, cette personne a raison de s'occuper de soins ; mais ne devrait-elle pas commencer par sa propre vue ?



BIENTÔT UNE DÉCHARGE POUR ACCUEILLIR LES DÉCHETS LUZIENS (MAIS AILLEURS, TROP PETITE ET MÊME... GÉOLOGIQUEMENT INSTABLE : bref, la totale !)

Le journal relate par ailleurs (le 2 juin, cette fois) les soucis du syndicat Bil ta Garbi avec la décharge d'Urrugne, menacée par des glissements de terrain, mais surtout, selon la gazette "victime de la lenteur de la justice" (il faut oser l'écrire) et note que les énormes déblais du projet Foch sont censés y être accumulés à partir de la rentrée, mais tout en précisant de surcroît qu'il y en aura trop, vu le volume à enlever, pour qu'ils soient totalement absorbés par ladite décharge, trop petite (oui, mais alors, où iront-ils ? à la mer ?). Les riverains d'Orio et La-Croix-des-Bouquets et les défenseurs des paysages naturels locaux, comme les habitants du quartier luzien défiguré, apprécieront demain toute l'ampleur des dégâts. Sans parler des usagers de la RD 910 bientôt coincés dans une noria de camions. En attendant, le site urrugnar est décrit (avec un culot d'acier) comme un "exemple tangible de la politique que le syndicat compte mener sur la problématique des déchets inertes": 

eh bien, cela promet !


OU SONT LES VERTS ?

L'État, dans cette affaire, n'a pas levé le petit doigt : ni pour modérer l'emprise de l'espace public vendu à un promoteur privé, ni pour faire respecter le principe de prévention des risques, encore moins celui du stockage de tous les résidus de construction par les entreprises de BTP, puisque le sous-dimensionnement du site dédié est manifeste. 


Une raison de plus pour en changer la direction et voter pour la NUPES et son candidat, Tom DUBOIS-ROBIN, qui a résolument pris parti contre cette pseudo-rénovation, quand d'autres n'ont montré aucun empressement à s'engager sur le dossier malgré nos sollicitations - celles de la @Gauche Luzienne (PS) et d'autres mouvements, mais aussi celles des associations de défense du patrimoine en janvier dernier.

A ce propos, l'humour journalistique apparaît là encore pris en défaut, qui veut voir du "chauvinisme" (cf la dernière livraison de la rubrique "Brouillarta") dans les espoirs placés, à Hendaye, envers le candidat de la NUPES ou, à Biarritz, dans la candidature dissidente LR soutenue par Mme Duhart et la bonne bourgeoisie luzienne (encore qu'on la dise encline à préférer un certain porteur de képi). Il ne s'agit pas en effet de soutenir le "régional de l'étape" : le clivage est politique, non géographique. 

samedi 4 juin 2022

UNION POPULAIRE : LES 98 (?) RAISONS DE S'ENGAGER ET DE VOTER A GAUCHE

 

billet du 4 juin 2022

La sixième circonscription voit proliférer les candidatures de Droite, partagées notamment entre LR historique et "dissidents" (l'un de ces derniers est fermement soutenu par Mme la veuve de l'ancien maire luzien Peyuco Duhart, ce qui met dans l'embarras l'actuel maire LR de la cité des Corsaires, officiellement "neutre" face à ce pugilat). 


Il y a aussi pléthore de marcheurs plus ou moins centristes, le député sortant semblant très contesté, notamment par un jeune candidat luzien, lequel a au moins le mérite d'avoir pris position, en tant que candidat sur la liste du Nouvel Élan, contre la sottise que représente le chantier du parking Foch.

On voit aussi candidater un militaire à le retraite se flattant de ses attaches familiales, notables autour de notre baie, mais proche du très inamical et très virulent Éric Zemmour, donc d'une droite extrême xénophobe (pour le moins) qu'il nous faut évidemment combattre.

Cette situation représente une belle opportunité pour les électrices et électeurs de Gauche. Car, s'ils ne dispersent pas leurs voix, en cédant par exemple aux sirènes des Abertzale, la présence au second tour du candidat de la NUPES est très vraisemblable : et la circonscription est par conséquent gagnable (comme le prouve l'exemple donné par  la députée socialiste Sylviane  Allaux qui l'avait arrachée jadis à Mme Alliot-Marie).

L'Union de la Gauche récemment réalisée, si elle a mise en évidence ses convergences de point de vue sur de nombreux sujets,  n'a pas encore, il est vrai, été en mesure de présenter une véritable plateforme de gouvernement. Mais là n'est pas l'essentiel. La dérive "pro business" du dernier quinquennat et les restrictions aux libertés qui l'ont caractérisé sont là pour nous rappeler les risques de prolonger une aventure politique très personnelle menée par Emmanuel Macron au nom d'une ligne "ni de gauche, ni de droite" pourtant marquée par une régression sociale et économique évidente et débouchant sur des tensions très vives entre Français ainsi que sur un déclassement de la puissance nationale. 

Par ailleurs, en Pays Basque, l'élection de députés de Gauche serait un signal fort aux pouvoirs élus, lesquels brillent par leur absence de sensibilité à l'égard des faibles et ne font pas preuve d'une compétence époustouflante : ainsi, sur le dossier du transport scolaire, où le syndicat des mobilités propose une hausse considérable des frais imposés aux familles par rapport à l'ancien système géré par la département. L'Union Populaire serait, elle, unanimement favorable à l'adoption d'une solution gratuite pour les parents d'élèves.

Bref, de très nombreuses raisons peuvent être alignées pour convaincre Socialistes, Écologistes, Communistes et Réformistes de voter pour le candidat de la NUPES, et poursuivre cette énumération jusqu'à en trouver 98 serait fastidieux. 

Pourquoi ce nombre a-t-il inspiré le titre de notre billet ? C'est que l'on veut infliger à la rentrée prochaine aux familles tributaires du réseau de ramassage scolaire un tarif de 98 € annuel, soit  une augmentation d'environ 980 % dans le pire des cas  [taux rectifié le 7/6 après relecture du communiqué de la NUPES ; nous avions indiqué 50% par erreur ] totalement injustifiable à nos yeux, et typique d'une gestion de Droite, hostile à la gratuité par principe et très mauvaise gestionnaire de l'argent public. Celle de la CAPB, où les électeurs ont pour l'instant donné une majorité sinon tout le pouvoir à des caciques locaux  conservateurs.

Notre réaction devant cette hausse des tarifs imposée aux familles :

- il ne faut pas faire payer les transports scolaires mais défendre (et étendre si possible)  le principe de gratuité ; pour nous : le remplacement d'un service départemental par un service rendu par l'Agglomération Pays Basque ne doit pas être le prétexte à une régression sociale pénalisant davantage encore celles et ceux des élèves qui  n'ont pas, à proximité immédiate de leur domicile, un établissement d'enseignement adapté à leur besoins (par exemple les jeunes d'Hendaye et Urrugne scolarisés à la cité scolaire Maurice Ravel).

- le principe du transfert de compétence à la CAPB n'est pas, en lui-même scandaleux, mais il débouche sur une exigence formulée par le réseau Txik-Txak, qui, elle, est scandaleuse : rien n'indiquant en effet que le Pass illimité proposé aux familles correspond à leur attente.

- la mauvaise gestion du dossier des mobilités par l'agglomération est révélée par cette mesure. Trop d'argent  a été gaspillé  (le fameux tram-bus du BAB, notamment, ne dessert que très partiellement l'agglomération littorale et se révèle coûteux et peu efficace) et les efforts pour développer les dessertes entre la côte et l'intérieur sont contrariés par une politique contradictoire de drainage des automobiles vers les coeurs-de-ville où les projets de parkings continuent de fleurir, notamment à Saint-Jean-de-Luz, dont M. le Maire est par ailleurs Président du syndicat des mobilités basque.


Médiatisation


Ce blog est un moyen d'expression en ligne à l'attention des militants et sympathisants socialistes et républicains de Saint-Jean-de-Luz, dans un esprit d'ouverture à toutes les contributions de citoyens progressistes et réformistes. Il a été créé en mai 2020 (et contient les archives du blog des élus PS ayant existé entre 2015 et 2020).


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