A LIRE
Mediabask résume aujourd'hui le contenu des communiqués faits par les diverses oppositions en réaction au propos de J-F Irigoyen et en souligne la convergence.
Mais le journal se trompe un peu en résumant l'affaire par la phrase d'entame suivante : "L’association Gardena a accepté d’abandonner toutes poursuites juridiques en lien avec le projet de l’îlot Foch en échange de places de parking et de 50 000 euros. C’est le maire, lui-même, qui a fait fuiter l’information". Car cette "information" est fausse, factuellement.. ou incomplète, en tout cas. L'association - et semble-t-il quelques particuliers - auraient en réalité reçu ces fonds et ces places de stationnement à titre de dédommagement des nuisances causées par le projet Foch. En contre-partie, ils se sont engagés à renoncer à saisir la Justice.
M. le Maire joue les procureurs, mais sur un mode grotesque car il ne dénonce, en fait, aucun délit : la procédure décrite est légale ; dans le cas contraire il lui aurait fallu du reste s'en prendre au pseudo corrupteur aussi bien qu'aux prétendus corrompus ! Donc à son partenaire (du groupe "Carmen" devenu "Hetzi").
Le procureur était en carton mais qu'en est-il de Jean-François Irigoyen le grand honnête homme ? Celui qui se place sur le terrain "de l'éthique et de la morale" : un "matamore" qui se permet de dénigrer "certains" opposants (des Luzien.nes. comme lui mais dont il trouve normal de les insulter - sans avoir le courage de les nommer - au motif qu'ils ont accepté une négociation financière avec la société présidée par M Daniel Hiribarren.) et d'affirmer entre autres gentillesses que "l'éthique et la morale ne font pas partie de leur vocabulaire".
L'implication du premier magistrat en tant que donneur de leçon arbitrant les débats internes à l'association Gardena (où, effectivement, la transaction semble avoir soulevé des critiques) est complètement déplacée : on ne voit pas ce que le Maire de Saint-Jean-de-Luz, agissant es qualité, est allé faire dans cette galère ; il n'est pas censé jouer les curés ni les professeurs de vertu, d'autant que sa conduite du projet Foch est sujette à des critiques récurrentes.
Pour les Socialistes, qui l'ont rédigée conjointement avec les Insoumis.e.s Luzien.n.es et ont publié dès hier le document sur le blog EZKER DONIBANDAR, une lettre ouverte était la réponse la plus appropriée, ne serait-ce que pour poser publiquement à la municipalité quelques questions toujours pendantes (même si l'on doute qu'on daigne nous répondre, il vaut la peine d'essayer).
Il est réconfortant que les autres forces d'opposition aient mis en avant certains argument proches des nôtres pour commenter le prétendu réquisitoire du maire, du moins si l'on en croit Mediabask. Tous ont jugé le propos "consternant" et ont bien compris qu'en diffusant délibérément "un parfum de scandale" et de "règlement de comptes" dans la cité des corsaires, M le Maire - qui se pose volontiers en sauveur du commerce local grâce aux futurs stationnements sous le port - a tenté "une diversion".
Coutumier des "coups médiatiques", il aime, écrit Herri Berri "se complaire dans le fait-divers" et, ajouterons-nous, nous donner à croire qu'il travaille alors qu'il rumine sa "rancune".
Peut-être au fond invente-t-il un scandale imaginaire pour mieux dissimuler les travers de la rénovation, qui créera plus de problèmes qu'elle n'apportera de solutions et dont il reste à prouver l'utilité sociale : la @GaucheLuzienne n'est pas seule en tout cas à revenir sur une connivence un peu trop manifeste entre la Ville et les promoteurs et à regretter le mélange des interêts privés et publics dans la rénovation de l'îlot Foch. Voilà qui nous semble, à nous, "moralement contestable" et relève, selon les mots des centristes siégeant au conseil municipal, d'un "mikado" dont "le caractère pour le moins confus" fait problème. On nous enlève les mots de la bouche !
Depuis sa création le collectif se mobilise afin de montrer son opposition au projet mais aussi pour informer le plus possible la population afin de mettre en lumière les réels enjeux économiques et dangers environnementaux que ce parking représente .
BILLET DU 19 JUILLET 2021
COURAGE, FUYONS ! (bis) En allant à la rencontre des manifestants d'U14 le jour de la Fête Nationale, M. le Maire a - ou aurait - pu apparaître comme faisant preuve de détermination, voire d'écoute. Mais s'agissait-il de sa part d'un vrai courage politique, dans la mesure où l'on parle (de part et d'autres) d'échanges d'invectives entre lui et les protestataires - dont, bien évidemment, nous ne partageons ni les méthodes ni les valeurs - plutôt que de dialogue serein ? L'affaire se solde dans un contexte de bousculade montrée par les médias audiovisuels, par une banderole arrachée "à mains nues" par l'édile , lequel s'est fait ensuite surprendre (de nombreuses captures vidéo circulent) en train d'adresser un geste obscène à la foule depuis le perron de la maison commune. On ne comprend pas pourquoi le premier magistrat, qui affirme aujourd'hui avoir été insulté (et giflé, malgré ses talents athlétiques) alors qu'il agissait en tant que représentant de l'État, annonce dans le même temps ne pas vouloir porter plainte. Des symboles républicains auraient pourtant été lésés : on aurait dérobé des drapeaux enlevés au monument aux morts et tenté d'arracher le pavillon tricolore flottant sur la mairie. Il ne s'agit pas de sa part, en tout cas, de faire montre d'une volonté (ré)conciliatrice ; il s'en prend tout au contraire (sur les réseaux sociaux) aux groupes minoritaires siégeant au conseil municipal avec sa coutumière véhémence. Ne ferait-il pas mieux de confier à la justice le soin de démêler les torts et de punir les éventuels fauteurs de trouble ?
ARCHIVES
BILLET DU 18 JUILLET 2021
COURAGE, FUYONS ! En déprogrammant le conseil municipal prévu ce vendredi et en tentant de surcroît, par une prise de parole dans le journal, de couper l'herbe sous le pied des organisateurs du rassemblement prévu sur la place Louis XIV ce soir, M. le Maire a fait preuve d'un esprit manoeuvrier beaucoup plus que téméraire.
Les oreilles de J-F Irigoyen auraient, à coup sûr, chauffé, s'il ne s'était avisé de se dérober aujourd'hui à la vindicte populaire. Les quelques centaines de Luzien(ne)s présents sur la place Louis XIV (ils se sont promis de revenir plus nombreux et plus bruyamment) n'ont eu de cesse, en effet de s'adresser à lui (sur tous les tons et en deux langues) pour lui reprocher de ne pas vouloir les écouter . Las, il n'est pire sourd que celui qui, ne voulant pas entendre, a déserté l'arène démocratique.
Quant aux déclarations édilitaires, qualifiées "d'effets d'annonce" par le collectif stop.parking.foch elles n'entamaient pas la détermination des citoyen(ne)s présent(e)s, résolu(e)s à dénoncer le flou sur les coûts, le dimensionnement et la qualité de la concertation autour du projet, et toujours persuadé(e)s que l'implantation (à 20 mètres du port, en zone inondable et en plein centre historique) justifiait une mobilisation massive des habitant(e)s.
BILLET DU 25 MAI 2021
UNE TRIBUNE publiée le 07/02/21 co-signée par D. Marsaguet et P-L Vanderplancke, conseillers municipaux d'opposition durant la précédente mandature
PIEDS NUS DANS LE PARC : propagande et réalités entre la gare et l'Hôtel de Ville
ULTIME SONNETTE D'ALARME
A l'heure où les citoyen(ne)s Luzien(ne)s dégoûté(e)s par l'intention de la Ville de commencer à creuser ses "sept enfers automobiles" sous terre, entre le port et l'ancien garage Renault, ont lancé une pétition sur internet pour tenter de mobiliser l'opinion contre ce chantier, nous souhaitons pour notre part que le succès de leur démarche incite également les services de l'État à la vigilance, puisqu'ils doivent encore publier le PPRI susceptible d'établir définitivement (selon la thèse soutenue par J-F Irigoyen, qui n'en démord pas d'avoir obtenu de M. le Préfet l'autorisation de creuser "son" trou) que la prévention des risques d'inondation et de submersion est compatible avec l'édification d'un grand parking public sur un terrain nu, au bord de la Nivelle. Seule une non conformité au PPRI semble en effet susceptible d'entraver la construction du parking, localisé dans un secteur réputé en partie inondable, et très loin de marquer par ailleurs une "entrée de ville", contrairement au discours de M. le Maire, puisqu'il occupe tout au contraire un emplacement matérialisant bel et bien le centre de l'agglomération Cibouro-Luzienne (à tel point qu'il jouxte immédiatement la zone archéologique délimitée par le boulevard Victor-Hugo, dont le débouché sera fermé à la circulation automobile et rétréci pour permettre aux immeubles de déborder la friche Lamerain-Fraysse).
CLARIFICATION
La @Gauche Luzienne souhaite expliciter une dernière fois sa position sur le dossier, et donner son analyse sur le contexte politique dans lequel s'inscrit la rénovation de l'îlot Foch.
1°) Aucune force politique minoritaire ne semble plus actuellement être favorable au creusement du parking public Foch, quand, à certaines époques, une ambiguïté nous avait semblé demeurer, à tort ou à raison, sur ce plan. Nous tablons par conséquent sur une possible convergence pour prendre position sur ce dossier en appui aux élus hostiles au parking et opposer ainsi a minima une dernière résistance significative au "passage en force" de la municipalité en place.
2°) La majorité conservatrice prétend réaliser ce parking public pour éliminer les automobiles (alors qu'elle va au contraire les drainer vers "le coeur" de la cité, et surtout : que d'autres ressorts la poussent à agir, motivations que nous désapprouvons totalement).
Même "Le Piéton", enclin comme il l'écrit dans l'édition du 5 février de SUD OUEST à ne pas "donner son avis" personnel, note que le projet est seulement "censé lui faire la part belle" (émettant ipso facto un doute salutaire). En réalité, c'est d'abord pour obtenir que des promoteurs privés (lesquels ont imposé que cette réalisation soit une "clause suspensive" du contrat les liant à la Ville) lui achètent la place Jaulerry (dite aussi parking Verdun, et récemment orné de jolis urinoirs en sus d'une fresque - de plus grande qualité artistique il est vrai) que la municipalité veut à toute force faire un parking sur ce site. Une opération dans laquelle une partie de l'opposition a cru voir "une opportunité" mais que la @Gauche Luzienne, qui aurait préféré végétaliser la place, redoutant qu'une "dalle d'Argenteuil à la sauce basquaise" ne défigure le quartier, déplore excessivement. Raison pour laquelle le Parti Socialiste s'était rallié à la candidature du Nouvel Élan en 2020, très fermement décidée à ne pas faire le parking public : la @Gauche Luzienne acceptant d'emblée l'idée ne plus siéger au conseil municipal si les électeurs reconduisaient les sortants dès le premier tour et fermaient par conséquent la porte à une alternance très nécessaire (laquelle aurait d'ailleurs pu se produire, pensons-nous, en cas d'alliance tripartite en amont ou, au moins, de convergences explicites sur les programmes).
3°) Notre soutien à la pétition de Gardena contre le parking public est aujourd'hui total et nous approuvons tous les arguments publiés par cette association ; mais il faut signaler que, par ailleurs, c'est l'esprit de l'opération de rénovation dans son ensemble que nous, socialistes et militants de la Gauche Luzienne, désapprouvons.
D'abord parce que nous sommes très hostiles à une part non négligeable des éléments concrets de l'opération (Ces fameux "invariants" posés en préalable par la Mairie). Ce qui ne signifie pas que nous aurions désiré que la friche restât en friche, mais simplement qu'une rénovation différente soit entreprise. Nous sommes, en résumé : toujours fermement "contre le parking, mais pas que" comme l'avait relevé le quotidien local, quand nous lui avions exposé notre point de vue (c'était.. en 2018). Et nous sommes encore les seuls à ce jour, il faut bien le dire, à nous être exprimés pour nier que le projet de reprise de la friche soit, en l'état, une "opportunité" et à en avoir réclamé un autre, plutôt que quelques retouches cosmétiques au plan quasiment imposé en décembre 2015.
4°) Nous attendons la publication du PPRI qui peut encore (c'est notre souhait) conduire à un énième rebondissement et continuerons à jeter un regard critique sur les événements locaux, mais nous ne sommes pas simplement "des spectateurs" de la vie politique locale.
Quoique les luzien(ne)s aient confié à d'autres, pour cette mandature, la mission de les représenter, et que ce soit naturellement à ces élu(e)s du Peuple d'agir directement sur les dossiers en cours, la sensibilité socialiste réformiste continuera d'exister à Saint-Jean-de-Luz, portée ou non par les mêmes personnes. Cette gauche social-écologique et démocratique sera attentive à ce que des solutions compatibles avec le développement durable soient mises en oeuvre (liaison douce avec la rive gauche de la Nivelle, pistes cyclables sûres, eaux de baignade propres, assainissement conforme, etc.) et à ce que les projets de la Ville soient si possible améliorés (rénovation Foch, pôle culturel ou site des Récollets, gare routière : autant de sujets de mécontentement et de réalisations décousues et mal financées, mais aussi toujours très en retard).
FOCH : PROPAGANDE ET RÉALITÉS
Dans les faits, l'entreprise "de rénovation" comprend le déplacement du rond-point de la gare et présente quelques (très) gros défauts de circulation (dont on trouvera un résumé en ligne en cliquant ici)... sans que ces dernier soient ses seuls défauts !
Divers indices donnent à croire en ce début d'année en l'imminence des travaux de dérivation des réseaux dans le centre-ville, ceci pour permettre le creusement des sept niveaux souterrains désirés par la mairie au long du port (sous l'actuelle avenue de Verdun). Nous aimerions bien que M. le Maire patiente avant de dépenser l'argent public (que le Conseil Municipal l'a autorisé à investir dans ce chantier) peut-être inconsidérément, compte tenu que l'autorisation d'urbaniser ne semble pas lui avoir été donnée ; c'est du reste impossible puisque le PPRI n'a toujours pas été définitivement publié. D'où notre alarme, et notre constat : J-F Irigoyen a tendance à prendre, dans ce dossier, quelques libertés avec la vérité.
texte transmis aux médias locaux
1 - Notre premier magistrat a soutenu pendant toute la campagne électorale que M. le Préfet avait "validé" son projet de parking sous le terrain adjacent, c’est-à-dire sous l'actuelle avenue de Verdun.
Ce n'était pas l'exacte vérité : puisque les services de l'État ont fait savoir durant l'été que la finalisation du PPRI - le Plan de Prévention des Risques, dont nous avons toujours pressenti qu'à moins d'une révision spectaculaire, il ne permettrait pas aux projets de la ville d'aboutir sans une refonte complète de ces derniers - ne serait pas prête avant la fin du premier trimestre 2021 (dans le meilleur des cas). Tout confirme donc que, contrairement aux allégations de la municipalité, le projet de parking Foch n'est pas forcément compatible avec les risques constatés sur le terrain, lesquels sont toujours en cours d'évaluation... il n'a, en tout cas, nullement été « approuvé » pour l'instant.
2 - Notre premier magistrat n'a cessé de marteler, y compris dans la presse locale, que son parking n'était pas en zone partiellement inondable, et que ceux qui prétendaient le contraire "ne connaissaient pas le dossier" ou bien qu'ils mentaient pour "faire peur" .
Là encore, ce n'était pas la vérité : car les services de l'État n'auraient aucune raison de différer aujourd'hui la modélisation finale du PPRI si la zone n'était pas inondable (crues de la Nivelle) voire potentiellement exposée aux submersions marines (proximité du port). Ils n'auraient pas exigé non plus, et de longue date, que tous les accès et aérations du parking prévu soient rehaussés (un rehaussement dont la nécessité a fini par être reconnue timidement lors du conseil municipal de juillet dernier). Le fait même qu'il y ait un doute (sur l'intensité et les limites spatiales du risque) nous paraît suffire à invoquer le principe de précaution pour remettre en cause la rationalité de cet aménagement souterrain.
Aujourd'hui, les Luzien(ne)s ne savent toujours pas si les travaux sur la friche, en marge du centre-ville, sont ou non imminents. Une fois encore, les citoyen(ne)s peuvent constater que la parole des décideurs locaux a manqué de sincérité et que le calendrier du Projet Foch a, de nouveau, spectaculairement « glissé » !
Dans ces conditions, la @Gauche Luzienne interroge.
Monsieur le Maire peut-il indiquer à la population la date à laquelle il attend la finalisation du PPRI, et préciser quand il espère obtenir les autorisations d'urbaniser lui permettant de délivrer les permis de construire en vue de faire « son parking » (puisque, de toute évidence, les autorisations de l'État lui manquent encore) ?
Peut-il garantir par ailleurs que la ville ne va pas se lancer dès à présent dans une dérivation des réseaux (ruineuse et compliquée techniquement) sans avoir l'assurance que le projet sera validé ?
La @Gauche Luzienne, constatant que ce projet pourrait, sinon tomber à l'eau, du moins faire "pschitt", dans la mesure où le PPRI définitif est encore susceptible de déboucher de facto sur son interdiction, réitère son opposition à l'implantation d'un parking public souterrain sur le port, car dangereux, mal conçu et localisé. Elle souhaite apporter par avance son soutien à celle(s) des organisations politiques locales, siégeant ou non au conseil municipal qui voudront bien exprimer les fortes réserves qu'une part importante du public formule à l'égard de cet aménagement.
POUR LA SECTION PS : Émile Amaro (secrétaire) et Pierre-Laurent Vanderplancke
En pièce-jointe et pour rappel (le parking Foch avait été l'un de nos thèmes de campagne) :
ÎLOT FOCH : UNE FAUTE SUR MER. Quand M .le Maire se vantait en point d'orgue du conseil municipal d'avoir reçu le feu vert de M. le Préfet
ÎLOT FOCH : UNE FAUTE SUR MER (QUAND LE MAIRE SORTANT SE HÂTE DE TROUVER UN DÉLÉGATAIRE PRIVÉ POUR SON PARKING...
Publiée par Gauche Luzienne sur Mardi 11 février 2020ÎLOT FOCH : UNE FAUTE SUR MER (QUAND LE MAIRE SORTANT SE HÂTE DE TROUVER UN DÉLÉGATAIRE PRIVÉ POUR SON PARKING...
Publiée par Gauche Luzienne sur Mardi 11 février 2020
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La victoire, à Ciboure, de la liste d'union des gauches : socialiste, écologiste et régionaliste (avec à sa tête le leader local d'EH Bai !) l'aurait-elle laissé sans voix ? Manuel de Lara s'étonne en tout cas du silence de J-F Irigoyen depuis le premier Conseil Municipal de la mandature (un véritable marathon qui s'est déroulé le 12 juin).
M. le Maire avait en effet promis ce soir-là aux élus de la liste du Nouvel Élan (groupe : Nouveau Centre Luzien) de répondre de manière détaillée à leurs questions (précises) sur la gestion de l'épidémie et ses conséquences sur les ressources humaines municipales.
Incapable de répondre sur le moment (air connu) le premier magistrat avait en effet promis de donner rapidement des informations : Manuel de Lara doit constater dix-sept jours plus tard "qu'il flotte comme un air de vacances" et que les réponses annoncées sont demeurées informulées (autre air connu).
Publiée par Gauche Luzienne le Mardi 11 février 2020
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