Billet du 17 juillet 2017
Une mission d'assistance à maîtrise d'ouvrage concernant la réalisation du projet d'aménagement urbain du secteur Foch a été attribuée ce Lundi 17 juillet.
L'avis d'appel public et la lettre de consultation ne sont plus en ligne et nous avons signalé la grande difficulté à les "voir" sur les plateformes institutionnelles. Ces documents peuvent être consultés en mairie au service des marchés publics et appels d'offre.
L'heureux bénéficiaire de l'appel d'offre est un groupement qui apportera son expertise financière et juridique (cruciale dans les premiers mois) mais aussi ses compétences en matière d'urbanisme et
d'ingénierie : le groupement SEPA/SAMAZUZU/IMS. Il serait également chargé d'assurer "la publicité" du projet.
La société d'économie mixte SEPA a conduit depuis un demi siècle de nombreux projets d'aménagement et de renouvellement urbain dans tous les pays de l'Adour et possède une expertise en matière des études d'amont (faisabilité, financement) : elle serait éventuellement "le chef d'orchestre" de l'opération.
L'Agence SAMAZUZU regroupe des architectes urbanistes de Donostia et dispose d'une antenne à Biarritz : elle est fréquemment associée au développement de projets locaux (Camieta à Urrugne notamment).
Le bureau d'étude "I.m.s." est basé à Bayonne et spécialisé dans les aménagements urbains et la VRD (voirie et réseaux divers) : il a réalisé certains des giratoires luziens.
La société d'économie mixte SEPA a conduit depuis un demi siècle de nombreux projets d'aménagement et de renouvellement urbain dans tous les pays de l'Adour et possède une expertise en matière des études d'amont (faisabilité, financement) : elle serait éventuellement "le chef d'orchestre" de l'opération.
L'Agence SAMAZUZU regroupe des architectes urbanistes de Donostia et dispose d'une antenne à Biarritz : elle est fréquemment associée au développement de projets locaux (Camieta à Urrugne notamment).
Le bureau d'étude "I.m.s." est basé à Bayonne et spécialisé dans les aménagements urbains et la VRD (voirie et réseaux divers) : il a réalisé certains des giratoires luziens.
Nous avons demandé lors de la commission chargée des appels d'offre que les documents annexes de la consultation publique (réalisée grâce a l'outil CARTICIPE) et des réunions et entretiens gérés par Neorama soient, si possible, mis en ligne et donc à disposition du public, car le site de la ville ne permet en l'état l'accès qu'au seul rapport final de la "concertation".
D'après les fonctionnaires compétents, il n'est pas certain qu'une enquête publique soit diligentée, puisque son opportunité dépendra de la stratégie adoptée (et qu'elle ne serait pas nécessaire nous dit-on, si le PLU n'était pas modifié)... pour un premier coup de pioche, au plus tôt, dans un an.
Nos doutes sur ce chantier sont balayés tant par les élus de la majorité que par les services de la Ville. Les premiers font mine de plaisanter et estiment que seules "une ou deux personnes" (sic) s'intéressent a cette affaire (pourtant, la distribution récente de flyers par une association de défense les chagrinent). Les seconds ne s'inquiètent pas des prescriptions, pourtant très dures, du futur PPRI et croient que le problème de la rampe d'accès au parking étant réglé (les automobiles devront entrer et sortir côté gare et par une voie surélevée, hors d'eau), tout le reste l'est également, par conséquent.
Peut-être la limite de stationnement de 24 heures ne s'imposera-t-elle qu'à la partie publique du parking souterrain, et construira-t-on sans qu'aucun obstacle juridique soit évoqué sur l'espace Jaulerry, au prétexte qu'avant d'être un parking de surface le terrain fût autrefois (disons-plutôt jadis, voire naguère) un terrain bâti ? Mais dans ce cas, les contraintes réelles générées par le classement en zone rouge hachurée (Rcu) se révéleraient dérisoires, et le contournement des prescriptions censées prévenir les risques apparaîtrait aussi flagrant que facile !
Le thème de la pérennisation de la buvette (dite "éphémère") ouverte sur le site du garage automobile désaffecté semble être devenu un argument de promotion pour le réaménagement de l'îlot Foch porté par la Ville (l'argument n'est pas brandi officiellement, mais fait l'objet de rumeurs persistantes) du moins auprès de la jeune génération et des "festayres". Mais il ne semble pas qu'un établissement de ce type puisse fonctionner aisément hors-saison (compte tenu de la pyramide des âges locale mais plus encore de la dépopulation hivernale) et il serait intéressant à cet égard de savoir si un entrepreneur soutient ou non pour de bon ce type de projet dont la rentabilité semble a priori hasardeuse.
On relèvera que les bars et/ou boîtes de nuit (?) susceptibles d'être implantés en rez-de-chaussée des futurs ensembles immobiliers seraient de toute manière de taille plus modeste que l'établissement saisonnier fonctionnant actuellement dans les locaux de l'ancienne concession Renault ; les nuisances liées à ce type d'activité risqueraient en outre d'impacter défavorablement la valorisation et la commercialisation des logements sur site.
Le thème de la pérennisation de la buvette (dite "éphémère") ouverte sur le site du garage automobile désaffecté semble être devenu un argument de promotion pour le réaménagement de l'îlot Foch porté par la Ville (l'argument n'est pas brandi officiellement, mais fait l'objet de rumeurs persistantes) du moins auprès de la jeune génération et des "festayres". Mais il ne semble pas qu'un établissement de ce type puisse fonctionner aisément hors-saison (compte tenu de la pyramide des âges locale mais plus encore de la dépopulation hivernale) et il serait intéressant à cet égard de savoir si un entrepreneur soutient ou non pour de bon ce type de projet dont la rentabilité semble a priori hasardeuse.
On relèvera que les bars et/ou boîtes de nuit (?) susceptibles d'être implantés en rez-de-chaussée des futurs ensembles immobiliers seraient de toute manière de taille plus modeste que l'établissement saisonnier fonctionnant actuellement dans les locaux de l'ancienne concession Renault ; les nuisances liées à ce type d'activité risqueraient en outre d'impacter défavorablement la valorisation et la commercialisation des logements sur site.
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