C'est la RENTRÉE !

 LOCALEMENT, la Gauche Luzienne attend tou.tes les répondant.es le 18 septembre pour lire et commenter les résultats de l'enquête : "Qu'en pensez-vous ? diffusée en juillet-août - et encore accessible en ligne, pour peu de temps !

Il s'agit de connaître les attentes et aspirations des habitant.e.s et de préparer une équipe de militant.es socialistes et Luzien.nes, entouré.es de  sympathisant.es ou de progressistes prêt.es à s'engager sur une liste d'Union Citoyenne (si possible : dans le cadre d'une alliance avec les forces de gauche locales, en confirmation de pourparlers entamés depuis plusieurs années - avec en particulier les mouvements présents au conseil municipal).

RÉGIONALEMENT, la Gauche Luzienne participera à la rentrée fédérale organisée ce samedi 6 septembre à Oloron

Les membres du PS ont rendez-vous samedi prochain après midi à la salle Bedat d’Oloron à partir de 15H pour une demi-journée d’échanges, d’ateliers et de mobilisation. Ce sera l’occasion de  retrouver les camarades du 64, de faire le point sur les actions  des socialistes et de préparer ensemble les prochaines étapes, également de soutenir les élus Oloronais : Bernard, Marie-Lyse et Iñaki! 
Un temps convivial est proposé lors de la Garburade, sur place, à 13h.

NATIONALEMENT, le CAMPUS 2025 organisé à Blois a tenu toutes ses promesses

Le binôme luzien présent a préparé un compte-rendu des ateliers auxquels il a participé ; ces résumés seront prochainement partagés ici (dans le blog DONIBANEKO EZKERRA).

Le parti a décidé de ne pas se livrer au Jeu de premiers ministrables, "sous l'oeil goguenard du Président" (Faure) et n'exigera ni la dissolution ni la destitution (l'expérience vécue l'été dernier prouvant que le chef de l'État peut faire ce qu'il veut, compte tenu de la posture des Droites, et même du RN, en la matière... quoique le parti de Le Pen et Bardella ait feint d'adopter depuis quelques jours une posture plus revendicative qu'en 2024 - rappelons qu'il avait refusé la perspective de gouverner, au prétexte qu'il ne disposait pas à l'époque d'une majorité absolue ).

Il est cependant excu de ne pas voter la censure le 10 septembre (si Bayrou demande un vote de confiance ce jour-là, bien que n'ayant pas saisi l'opportunité d'un compromis quand on le lui a proposé, et assumant de surcroît d'imposer "une purge" au pays en défendant un projet de budget désastreux et injuste).

C'est dans cette optique qu'il faut comprendre la position du PS : aller au gouvernement si on y est appelés, et rechercher dans ce cadre des compromis avec nos adversaires ou alliés potentiels (puisque nous ne sommes pas majoritaires) en s'engageant concrétement à ne pas utiliser le 49-3.

Mais Emmanuel Macron préférera sans doute laisser pourrir la situation et faire s'opposer BLOQUEURS et RÉACTIONNAIRES qui s'agitent, quand beaucoup de Françaies.es. se désolent, face aux dégats de la "grenade dégoupillée" (cette fois, par le maire de Pau)...