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lundi 24 avril 2017

BIJOUX DE FAMILLE : ENCHERES EN VUE !


Posté le 08/04

Le Conseil Municipal d'hier soir aura permis que M.le Maire sorte (enfin !) du bois. 
En réponse à une question d'actualité du groupe socialiste, Peyuco Duhart a en effet précisé, très officiellement et nettement, ce qu'il entendait en invoquant le nécessaire "alignement des façades" souhaité par lui pour le projet d'aménagement de l'îlot Foch.

Il  a reconnu

 - pour la première fois publiquement -  
(même si nous le savions depuis longtemps) 
qu'il souhaitait la vente du parking Jaulerry

donc la construction d'immeubles sur cette parcelle appartenant à la Ville. Ce n'est à l'évidence pas "un scoop" pour  nous, qui avions anticipé cette vente (annoncée comme imminente par toutes sortes de rumeurs courant en Ville)....  on se demande bien pourquoi certains ont cru bon d'évoquer un hypothétique "bail emphythéotique" à ce propos, alors

qu'il n'en est pas question  dans le discours municipal. 

DECISION HONTEUSE ?

On notera qu'il n'était donc pas utile, de la part de M Duhart,  de refuser de nous répondre sur la question du devenir de l'espace Jaulerry lors de la réunion publique de concertation 
tenue en décembre 2016 ; M. le Maire avait prétendu à l'époque que nous nous faisions "des films" !
Lui bâcle ses mises en scène !


DOUTE BUDGETAIRE
Avant cette précision de sa part nous nous étions abstenus sur le vote du budget primitif 
aux motifs que :

1°) les projets structurants prévus au budget n'étaient pas, à nos yeux, suffisamment hiérarchisés et ils demeuraient trop peu explicités. Sur 3,2 millions d'Euros d'investissements programmés au titre des dits projets, 1,3 M € vont en effet au réaménagement du centre-ville, (contre 135 000 € seulement pour le projet Harriet Baita !) sans que l'on sache exactement de quoi il retourne.  

Comme nous l'avons signifié à nouveau à M. le Maire, pour nous : en ces temps de contrainte budgétaire forte, le temps du "saupoudrage" est fini, il faut choisir lesquels des projets sont prioritaires.

2°) par ailleurs, l'autorisation de paiement concernant l'îlot Foch était de 0 € cette année 

comme pour les année suivantes ; alors que nous présumions des annonces imminentes sur le sujet 
(comme on l'a vu cette intuition a été confirmée).. un tel manque de transparence 
ne pouvait que susciter nos réserves !

3°) l'exécutif local n'a pas saisi l'occasion d'augmenter la surtaxe sur les résidences secondaires, ceci alors que M. le Maire promet une hausse "lissée et maîtrisée" de celle-ci dans les années à venir. Une augmentation du taux de surtaxation (bloqué à 20% par M. Duhart) aurait pourtant été un signal politique fort, compte tenu de l'urgence qu'il y aurait à déployer une politique plus ambitieuse en matière de logement à Saint-Jean-de-Luz.... 

Nous étions prêts à discuter d'une hausse progressive, elle ne nous a pas été proposée !

NOTA BENE : nous n'avons pas voté non plus le budget de la structure d'animation commerciale et événementielle mise en place pour anticiper puis pallier au transfert de la compétence tourisme à l'EPCI. Simple principe de précaution : les Socialistes ne siègent pas dans cette institution et ils ne peuvent donc en contrôler la bonne gestion.


audience en Mars : 1070 pages vues

COMMENTAIRES : Nous le pressentions depuis le début de la mandature (et avions évoqué les dits "bijoux" dès notre première interview commune par le Journal Sud-Ouest  - en novembre 2015) : pour sortir de la "quadrature du cercle" dans laquelle il s'est lui-même enfermé, en ne se décidant à agir sur la dette que tardivement (depuis 2014) malgré les objurgations de son opposition (on rappellera notamment les multiples avertissements formulés par Emile Amaro) sans toutefois renoncer à multiplier les investissements ni pouvoir comprimer les charges salariales ou enrayer la diminution régulière des dotations de l'Etat, M. le Maire va sans doute 

vendre "les bijoux de famille". Dans un premier temps, Jaulerry.
Controverses assurées en perspective, nous l'en avons prévenu.
Mais le parc immobilier de la Ville est riche : M. le Maire a insisté sur ce point. 
D'autres "rationalisations" sont-elles à l'étude ? Ce ne serait pas forcément idiot, si divers services étaient regroupés sur de nouveaux sites tels que celui de Harriet Baita. 
Mais enfin, comme d'habitude, la Mairie ne communique pas sur ses projets !

[pour trouver davantage d'informations relatives au Budget, 

lire nos commentaires dans la page DETTE]

VOTE ORIGINAL - premier tour des présidentielles 2017

PREMIER TOUR 
DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES DU 23 AVRIL 2017 

Saint-Jean-de-Luz, comme la plupart des communes du Sud-Ouest de la France, se démarque singulièrement de la tendance nationale.
La poussée du FN est ici contenue (même si Marine Le Pen obtient un résultat à deux chiffres : 11,16 %).

On notera le score relativement décevant (pour la Droite et le Centre, dont Saint-Jean-de-Luz est un "fief" historique) du candidat François Fillon, ici au coude à coude avec Emmanuel Macron, qu'il ne devance que d'une courte tête sur l'ensemble de la commune  (27,61 contre 26,67).
Ce dernier arrive toutefois en première position dans six des onze bureaux de vote luziens.
Les prédictions concernant un record probable des abstentions ou votes blancs ont été démenties (la participation est forte).

A Gauche, le score de Jean-Luc Mélenchon est élevé (16,73) mais semble comparativement moins flamboyant qu'ailleurs, puisque le candidat de la France Insoumise arrive globalement en seconde position dans la Région "nouvelle Aquitaine".


Les commentateurs soulignent après coup l'opposition manifestée par le verdict des urnes, entre une France qui irait bien (Paris, où le candidat d'En Marche ! flirte avec les 35 % alors que Le Pen est à moins de 5) et une France "qui souffre". Dans ce contexte, nous regrettons que le candidat du PS n'ait pu rassembler davantage de voix malgré son effort pour promouvoir des solutions innovantes....

607 Luziens ont voté Benoît Hamon, dont le score local est meilleur que la performance nationale.


Résultats nationaux partiels



samedi 15 avril 2017

SURTENSION IMMOBILIERE SUR LA CÔTE BASQUE

 Billet posté le 15/04

Sud-Radio est venue enquêter dans notre ville et aux alentours le 11 avril dernier, dans le cadre d'un reportage sur "le logement sur la Côte Basque" ;  25 à trente personnes seraient  ici en attente, à chaque fois qu' un logement T2 se libère dans le secteur du logement social - c'est huit à dix fois plus qu'à Pau !


A propos de la surtaxe des résidences secondaires, les journalistes, après diffusion de l'interview qui leur a été accordée par Peio Etcheverry-Ainchart, partisan déterminé de la majoration à 60% et candidat aux législatives futures pour "Euskal Herria Bai"  jugent, paradoxalement, que la disposition n'est guère efficace ! Le système ne fonctionnerait "pas vraiment". Comme les recettes "ne peuvent être fléchées"... ce serait en effet "compliqué".

Laissons-leur la responsabilité de cette appréciation.

Mais signalons  au passage que la majoration de la taxe sur les résidences secondaires n'est possible, depuis 2014,  que grâce à  une loi votée par la majorité socialiste, comme l'augmentation de la surtaxe (jusqu'à un taux maximal de 60%) est une latitude laissée à l'appréciation des communes depuis un amendement tout récent, socialiste également.  Il est donc un peu rapide de faire des Abertzale les seuls  promoteurs de mesures d'abord mises en oeuvre... par la Ville de Paris, loin du Pays Basque ! Ce qui n'enlève rien au fait que certains, ici, militent de longue date en faveur d'une politique destinée à réduire le niveau des résidences secondaires (près de 50 % aujourd'hui) à une proportion plus raisonnable. Nous, socialistes, partageons ce souhait.

Quant au principal argument qui fait douter "Sud-Radio" (et l'émission "Prenez la parole" !)  de la pertinence de la majoration des taxes sur les résidences secondaires, c'est essentiellement le fait qu'elle serait utilisée par les communes, pour "boucler leur budget" et non pour construire des logements sociaux. M. Duhart ne s'en cache d'ailleurs pas, pour ce qui concerne Saint-Jean-de-Luz, puisqu'il écrit voir dans la surtaxe une compensation à la baisse des subsides de l'Etat. ! Nous (élus PS Luziens) avons déjà formulé la demande, en conseil municipal, que cette manne financière soit exclusivement utilisée pour la production de logements de type HLM. Et regretté que M. le Maire n'ait pas proposé une hausse de ladite procédure de surtaxation en 2017. Nous n'avons pas réclamé, toutefois, pour notre part, le passage en force et immédiat de la surtaxe au taux maximal de 60% dans la mesure où, justement, nous ne voulons pas que les recettes nouvelles  soient distraites et utilisées pour combler l'endettement, ce qui créerait de l'injustice sans résoudre aucun problème (voir dans la page DETTE ce "noir soupçon" qui nous habitait dès le 26 février dernier).

L'information encourageante vient de l' OP64 et de son président, lequel, lui aussi, prend la parole durant le reportage. Il pointe le retard de la Côte Basque mais souligne une amélioration : le rythme des constructions de HLM augmente globalement. Longtemps contenu à 300, il serait proche de 500 chaque année pour 2016-2018. L'intervenant confirme donc la prise de conscience récente des opérateurs locaux, qui acceptent de coopérer pleinement et ont maintenant bien compris la nécessité d'une maîtrise d'oeuvre publique pour réussir à loger les classes moyennes autochtones. Faute de quoi, on produit des logements.... mais on gonfle d'autant le parc immobilier secondaire. Ce qui s'est passé cette dernière décennie à Saint-Jean-de-Luz ! Au grand dam de la population et, sans doute, de l'Exécutif local, qui affiche des ambitions louables dans le domaine de la mixité sociale de l'habitat mais peine à freiner des évolutions globalement défavorables, et a tardé à prendre les mesures d'autorité qui sont possibles.

Des projets comme celui de Trikaldi, consensuel, dans lequel Mme Sylviane Alaux, députée PS de la VIème circoncription, a notamment pris toute sa part,  aux côtés de notre Maire, nous semblent assez exemplaires de ce qu'il faut à présent réussir à généraliser. Sur cette question sensible, il faut rechercher des convergences et des solutions rapides, encourager par conséquent M. Duhart à intensifier l'effort entrepris... 
essayer, pourquoi pas ? d'appliquer au PLU les mécanismes nouveaux que les élus de la liste Herri Berri ont proposé de mettre en place à titre expérimental.

ENCORE PLUS DE TAXES A SAINT-JEAN-DE-LUZ

Billet posté le 15 avril

"Le Maire ne ferme pas la porte à une augmentation des impôts avant la fin du mandat" écrit le quotidien local. Autant dire que d'après Sud-Ouest M le Maire envisage très sérieusement d'augmenter les impôts pour "continuer à investir" ; ne nous a-t-il pas déjà promis une "hausse lissée et maîtrisée" de la taxe d'habitation  sur les résidences secondaires? Dans la lettre même où il annonçait ne pas la mettre en place dès cette année.

Choisir la dette plutôt que la fiscalité n'est, du reste, plus guère possible. Pas alors que l'on s'efforce de déstocker la dette (avec quelques succès apparents, quoique limités : on peut en juger en examinant le compte administratif  2016) sans parvenir pourtant à la résorber significativement, dans un moment où la dotation de fonctionnement diminue (stagnation de la population et réduction des efforts de l'Etat se cumulant)...

Dès lors, que nous propose exactement M. le Maire ? 

De renoncer à investir ? Mais cela contrarierait tout son discours, voire sa pratique en tant qu'ordonnateur de dépenses publiques (de l'avis général, il serait plutôt large, sinon munificent) ! Ou bien, tout au contraire, d'augmenter les prélèvements ? Même s'il s'y est ostensiblement refusé lors de l'adoption du budget 2017, telle semble bien être son intention. On peut penser que, de toute manière, il ne tardera pas à préciser sa philosophie.

Plutôt que de hiérarchiser ses projets comme nous le lui avons demandé ...et de réaliser les meilleurs (c'est-à-dire les plus utiles au bien-être de la population)  il paraît en effet vouloir tout mener de front, ce qui est irréaliste et a une fois encore suscité nos réserves et notre vote en abstention sur le budget 2017... Surtout, il ne renonce pas à remodeler le centre-ville, cela sur la base des "invariants" qu'il a posés avant même la consultation publique diligentée au second semestre de l'an dernier, invariants qui sont fortement contestés. Les aménagements envisagés sont pourtant ruineux. Du coup, on ne voit pas que les Luziens puissent échapper à une augmentation des impôts, quand bien même la commune vendrait-elle certains biens.



jeudi 13 avril 2017

FANFARONNADE EN CENTRE-VILLE. UNE RUE CHANGE DE SENS !

Billet posté le 13/04/17, modifié le 20

Il est pour le moins excessif d'évoquer la mise en place d'un  "nouveau plan de circulation" pour le coeur de Ville. 

En réalité, deux constats s'imposent en effet :

1°) on attend toujours le résultat de la réflexion censément menée sur le sujet des mobilités urbaines, pour remédier aux bouchons et faciliter les déplacements dans la ville historique...
Le succès n'est pas garanti !

2°) à part le changement de sens de la rue Marion-Garay, rien n'est modifié par ailleurs !
Nouveau plan, c'est donc vite dit !

Bref, pour résumer : on a utilisé un peu de peinture pour matérialiser une voie cyclable à contre-sens (alors que la circulation a contrario des automobiles est, de toute manière, autorisée pour les cyclistes en zone Trente, sauf arrêté du maire pour l'interdire)... et ainsi préparé la fermeture du Boulevard Victor-Hugo. C'est-à-dire la mise en oeuvre (prochaine ?) du plan de la Municipalité pour l'îlot Foch.

Qu'il y ait un plan, peut-être..
mais de circulation ?
C'est là que le bât blesse.
Disons qu'on s'efforce de résoudre le problème du terminus cyclable de la Grillerie. 
Et peut-être de lutter indirectement contre le stationnement en double-file, qui est devenu fréquent depuis que le boulevard Hugo ne communique plus que dans un seul sens.
C'est déjà pas mal. 

Mais pour le reste, attention, aux effets d'annonce !
Et aux réactions des usagers.
On n'a pas osé fermer le boulevard, ce qui reste pourtant dans l'intention de M. le Maire... 
Mais ce projet a de quoi laisser sceptique tout Luzien motorisé, confronté, d'Avril à Octobre, à des embarras de circulation récurrents.

Ajouté le 20/04/17

Les premières réactions à la mise en place de la bande cyclable du boulevard Victor-Hugo sont mitigées . Il nous paraît que cette réalisation est une plutôt bonne initiative, dès lors que cette artère demeure en sens unique (une option discutable, selon nous !) et que les cyclistes ne vont pas volontiers faire le détour par la gare et l'ex RN 10 pour circuler du Sud vers le Nord ! D'autant que, pour une fois, l'aménagement n'est pas ruineux. Mais une bizarrerie dangereuse nous interpelle, devant La Poste : pour déposer un courrier, l'implantation de la boîte aux lettres impose en effet, depuis quelque temps.... de se trouver au beau milieu de la chaussée. C'était déjà périlleux pour le piéton. Mais c'est devenu carrément idiot. L'automobiliste qui n'est pas doté d'un bras télescopique de 2,5 m est bien obligé de s'arrêter sur la piste cyclable pour utiliser cette boîte ! Ce détail aurait pu être anticipé. Voilà qui rappelle d'autres "petto" ayant contribué aux critiques contre la voie cyclable de Chantaco et aux travaux supplémentaires qui ont concerné cet axe ; on observe d'ailleurs que, malgré ces "reprises",  le passage piéton implanté au sortir du tunnel sous le pont de Gaulle (vers la Grillerie quand on vient de l'avenue Larramendy, du point de vue du vélo) demeure potentiellement accidentogène, vu le manque de visibilité sur ce croisement.
ET PUIS qu'attend-on pour poser des panneaux indiquant aux automobilistes abordant le boulevard par l'une des rues perpendiculaires l'arrivée possible, au carrefour, de cyclistes par leur gauche ?


mercredi 12 avril 2017

L'ÂNE DE SAINTE-BARBE EXPULSE CE MERCREDI


Billet posté le 12/04/17

Le fou rire du "piéton" lui a-t-il été fatal ? En tout cas, la police a convaincu aujourd'hui l'âne, jusqu'ici paisiblement installé aux abord de la pile-d'assiettes, ou plus exactement son propriétaire, de vider les lieux !
Sa présence pouvait, certes, paraître quelque peu incongrue en ville....

Mais rappelons que l'intervention des socialistes en conseil municipal portait sur le délabrement du site, où il y a belle lurette qu'aucun nénuphar ne s'épanouit plus à la surface de bassins limpides... et qu'elle ne visait nullement à dénoncer la présence  de campeurs illicites. Tout au plus avions-nous marqué quelque étonnement. Puisque, pour la majorité, dont, suivant le journal Sud-Ouest, un membre nous avait "recadré" en soulignant la qualité de pélerin du dit campeur, il s'agissait de "jacquets"... pourquoi diable ne pas les avoir laissés tranquilles ?


De ce que nous en savons, ni les riverains ni les promeneurs ne se plaignaient de ce voisinage, et après tout Homme et Animal entretenaient le site !
Aussi bien, puisque  les parages ne méritent plus l'étiquette de parc paysager, on pourrait prévoir d'implanter en contrebas de ce rebord de falaise une station sur la route de St-Jacques-de-Compostelle : sinon quelques cabanes, à coup sûr : une auge... Enfin, c'est la suggestion que ce brave âne, en route vers des pâtures plus hospitalières,  nous a faite ce soir.
Nous sentant un peu responsables de son déménagement, nous relayons sa demande... et, plus sérieusement, souhaitons qu'on requalifie cet espace vert, quelle que soit la destination finale assignée aux  lieux par la Commune (incorporation à l'espace naturel préservé du littoral ? ou promenade plus urbaine ?)



lundi 10 avril 2017

PLAN LOCAL : CONFIRMATION DU PROJET FOCH


Posté le 12/04

La réunion du comité de pilotage du Plan Local d'Urbanisme (PLU) du 11 avril a été l'occasion de débattre des OAP (orientations d'aménagement et de programmation) que la Ville pourrait incorporer à son plan d'urbanisme. Ce qui a permis de faire le bilan des différentes zones concernées, la plupart du temps des secteurs à urbaniser (chaque fois, d'ailleurs, avec le souci louable de promouvoir la mixité sociale que ce soit au Fargeot, à Ur Mendi ou à Balcoin ; on espère que cette ambition sera atteinte dans les faits).  

On a également fait le point sur les secteurs où l'implantation d'activités économiques est envisagée (avec des logements, sur les Hauts de Jalday, ou sans : à Jalday IV, sur la route d'Ahetze). Les discussions ont été intéressantes et parfois techniques (par exemple à propos de règles locales à mettre en oeuvre dans les zones constructibles situées hors du périmètre de valorisation du patrimoine - ex AVAP)  ou en ce qui concerne les espaces proches du Littoral, pour lesquelles la législation (et la jurisprudence) imposent des contraintes spécifiques.


SUR l'ÎLOT FOCH
Plus question ici de mixité sociale.

Une OAP devrait reprendre le projet (sans changement par rapport à ce qui a été rendu public après la "consultation" menée par Neorama). Il s'agit bien d'urbaniser la friche Lamerain et ses abords, y compris le parking Jaulerry. Des stationnements souterrains seraient construit dessous, qui pourraient déborder sous l'actuel boulevard Victor-Hugo, fermé à la circulation à son extrêmité Sud (les flux étant détournés par la rue Marion-Garay, dans la logique du changement de sens récemment imposé). Et les voiries seront "requalifiées". Visiblement, M. le Maire tient à son projet, à sa grande dalle mélangeant piétons et automobile... et n'a guère amendé ses plans depuis février 2016... la Commune a besoin d'argent.

On croit comprendre que le principal (et seul ?) obstacle à la réalisation de cette grande affaire tient à la prise en compte du risque d'inondation. Dans le cadre du plan de prévention global actuellement à l'étude, des prescriptions particulières vont en effet  être édictées. Or, le centre-ville, de la Grillerie aux Halles, est une zone submersible en bleu foncé ci-dessus, et rouge "hachuré" dans le jargon des urbanistes - ce qui veut dire inconstructible en principe mais de facto aménageable compte tenu du contexte de l'urbanisation existante sur le site ou aux abords immédiats.
Le projet est donc suspendu aux préconisations du PPRI, lesquelles pourraient menacer la rentabilité de toute l'opération (dont nous avons écrit qu'elle nous paraît dangereuse dans son principe, surtout que la transgression marine n'est pas a priori particulièrement prise en compte dans l'évaluation des aléas mais qu'on s'intéresse essentiellement aux crues de la Nivelle).

On peut s'attendre, au minimum, à ce que faire du logement en rez-de-chaussée soit interdit, préconisation mise en oeuvre au Fargeot et Urdazuri pour les constructions nouvelles. On sait par ailleurs, puisque M. le Maire nous l'a souvent dit, que son parking ne sera possible qu'à condition de mettre la rampe d'accès en place côté gare. 
Cette précaution est-elle une garantie ?


LISTE DES VOTES EN ABSTENTION OU OPPOSITION - année 2017

***
Conseil Municipal du 22 décembre 2017

Les deux élus socialistes n'ont pas souhaité s'exprimer lors de l'élection du nouveau maire, une affaire qui regardait avant tout, de leur point de vue, la majorité sortante, laquelle s'est mise d'accord pour confier la responsabilité de la Ville à Jean-François Irigoyen, jusqu'ici premier adjoint. 

De la même manière la Gauche Luzienne s'est abstenue à propos de la désignation des adjoints (ils restent les mêmes, en charge des mêmes affaires, M. Irigoyen ajoutant à ses fonctions de Maire la responsabilité des dossiers qu'il a suivis en tant qu'adjoint depuis 2015).  Ils ont en revanche approuvé la constitution des commissions, dans la mesure où, là encore, elle est du ressort de l'Exécutif et, conformément aux exigences de la Loi, leur permet de siéger dans les différentes instances.

Les élus PS ont voté contre l'autorisation donnée aux commerces alimentaires d'ouvrir certains Dimanche après-midi. Cette prescription est paradoxalement présentée au vote des élus locaux chaque année : il nous semble pourtant qu'un gouvernement soucieux de laisser le dialogue social se développer au niveau de l'entreprise ne devrait pas demander aux municipalités d'exercer un encouragement sinon une pression indirecte sur les salariés par ce type d'incitation. Ce premier argument avait justifié notre vote en abstention l'an dernier. Compte tenu du contexte actuel de dérégulation tous azimuts (et malgré les promesses faites par M. Soreau à l'élue d'opposition Y. Debarbieux d'exercer toute sa vigilance afin de vérifier que les syndicats et les employeurs sont d'accord) nous avons décidé de nous opposer au texte proposé, qui, d'ailleurs, ne présentait pas tous les détails censés y figurer. Sur le fond, il nous paraît que, si la qualité de station balnéaire de notre Ville peut justifier des ouvertures exceptionnelles des commerces le week end, on ne voit pas bien en quoi il faudrait  absolument que celles-ci concernent les commerces alimentaires le Dimanche après 13 h . Nous redoutons que les salariés, confrontés à l'érosion de leurs revenus, ne soient victimes  par dessus le marché d'une dégradation de leur vie de famille !

Abstention aussi sur la modification du règlement intérieur de la structure "Saint-Jean-de-Luz Animation". Comme toujours, et par principe, nous ne voulons pas nous mêler d'un établissement dans lequel nous n'avons aucun représentant. 

***
Conseil Municipal du 10 novembre 2017

La gauche Luzienne a voté en abstention à propos de la hausse des tarifs du stationnement payant sur la voie publique (nous n'apprécions ni cette augmentation du péage ni son existence même sur un certain nombre de sites de notre ville). Le vote était couplé à la création, obligatoire, d'un forfait destiné à remplacer les amendes pour stationnement excessivement prolongé. Nous aurions pu voter contre la hausse des tarifs et pour la création du forfait dit de post-stationnement si les votes avaient été disjoints mais ce n'était apparemment pas possible. 

***
Conseil Municipal du 22 septembre 2017

POUR MAIS CONTRE 

Le Pôle Culturel
Le groupe PS s'est trouvé contraint de voter contre le projet HARRIET BAITA, la municipalité étant incapable de présenter un plan de financement clair et réaliste, et le niveau alarmant de notre dette ne nous permettant pas de jeter par la fenêtre cinq millions d'euros sur trois ans ! 
Deux élus de la Majorité nous ont imités. Comme nous, ils auraient souhaité un report du vote à une autre séance, vu l'impréparation du dossier, constatée et dénoncée par un important délégué du Maire.
Nous avons eu quelques regrets à devoir nous opposer à ce qui reste, sur le papier, un beau projet. Mais il arrive que l'on aperçoive en vitrine un beau produit, sans pouvoir l'acheter ! Rien ne serait pire que de nous lancer sans réflexion dans un nouveau désastre (après celui de la Médiathèque lors du précédent mandat de Peyuco Duhart).
Lancé malgré nous, le projet sera piloté par un comité dans lequel siégera Daisy Marsaguet, un poste d'observation stratégique.

Nous avons aussi voté contre deux autorisations de paiement, les numéros 38 (concernant le projet évoqué dans les lignes précédentes) et 37 (des dépenses encore, pour l'Arlésienne du réaménagement du centre-ville, un dossier dont on ne voit pas les contours et qui comprend parfois la place Louis XIV, revenant sans cesse dans l'opacité la plus grande).

Nous avons en revanche approuvé la révision du plan local d'urbanisme (PLU) donc le changement de zonage de la parcelle supportant  l'annexe de l'Hôpital sur l'avenue Larreguy. L'enquête publique semble démontrer que le legs Harriet a été respecté, et le CHCB veut vendre un terrain détaché de la propriété sur laquelle il a implanté son service Gériatrie (la maison de retraite Udazkena) pour contribuer au financement de l'opération Trikaldi, l'une des belles réalisations soutenues par la Municipalité. 

Pour nous, les réserves des riverains pourront être levées si M. le Maire confirme bien 
que toutes les règles d'urbanisme imposées dans le quartier (celles de l'AVAP en particulier) 
resteront inchangées pour ce terrain. 
Dommage que la révision du PLU n'ait pas été l'occasion d'augmenter la proportion de logements sociaux imposée aux promoteurs (une proposition de nos collègues d' Herri Berri que M. le Maire assurait étudier avec attention et qu'il rejette à présent sans nuance... mais nous souhaitons qu'il change d'avis, ce qui n'est peut-être pas exclu). 


***
Conseil Municipal du 16 juin 2017

BIS REPETITA PLACENT !
Les mêmes raisons conduisant aux mêmes effets, le groupe PS s'est aussi  abstenu sur le compte financier de la structure Animations et Commerce, mais a approuvé son rapport d'activité.
***

Conseil Municipal du 7 avril


Budget Primitif : abstention sur le budget principal, vote favorable sur les budgets annexes. L'endettement prévu est trop lourd et l'on ignore comment la municipalité a l'intention de faire face au problème (nouvel emprunt et/ou vente d'une partie du patrimoine foncier ?). Par ailleurs nous avons au moins trois motifs de désaccord sur le fond.

Budget de la structure "Saint-Jean-de-Luz Animations et Commerce" fondée en 2014 et ayant acquis une nouvelle importance suite au transfert de la compétence tourisme à l'EPCI unique. Nous ne siégeons pas dans les instances de cet organisme ; donc, nous ne pouvons approuver son budget, par principe.
Le citoyen curieux remarquera qu'il lui en coûtera 9,9 € pour se procurer le compte rendu des activités de cet établissement !
http://www.societe.com/documents-officiels/st-jean-de-luz-animations-et-commerces-782366850.html#fullficheshop



samedi 8 avril 2017

UN BUDGET PUDIQUE ET DES OPPOSANTS LUCIDES

Posté le 09/04

Le Budget primitif 2017 a été voté lors du Conseil Municipal du 7 avril.
On a noté lors de ce conseil un trait plaisant. 
Le fait que le rapport de présentation du budget omette de calculer
le niveau de la capacité d'autofinancement brute. 
Il "sera à apprécier lors de l'approbation du compte financier 2017" nous dit-on, c'est-à-dire en 2018.
En fait, la capacité de désendettement inscrite au budget est repassée au dessus de dix ans !
Mais on se garde bien de la citer précisément...

Evidemment, les oppositions n'ont pas été dupes de cette présentation désinvolte.
M Duclercq, pour Herri Berri,  a signalé comme en passant que la capacité de désendettement
se trouverait en zone rouge, si le budget était appliqué tel quel.
M. le Maire a alors entamé un commentaire sur le contexte global (en mode déploratif) mais
 sans répondre directement à sa question.
Personne n'a cru bon d'insister, et  Mme l'Adjointe aux Finances
a paru fort heureuse de n'être pas accablée...


Mais nous anticipons que, du côté des recettes comme des dépenses,
les chiffres devront bouger.
Pour ce qui concerne les élus socialistes,
- nous nous sommes abstenus, dans la mesure où les marges de manoeuvre de la Commune
 sont très faibles, et que c'est davantage la communication que la gestion qui nous
paraît poser le plus problème -
on se reportera utilement à la page DETTE de ce blog pour voir
ce que nous pensons des 
MATHEMATIQUES SOUTERRAINES
pratiquées par l'Exécutif local !
Elles ne sont probablement pas sans lien avec l'annonce de la vente de l'espace Jaulerry.

Pas de véritable surprise pour nous....
Qui avions levé ce lièvre bien plus tôt.

Question d'actualité : toujours zéro euro budgété pour l'îlot Foch... alors que des décisions imminentes sont annoncées !

Question d'actualité du groupe socialiste
Conseil Municipal du 7 avril


                                          Monsieur le Maire,


Dans l'autorisation de programme n° 37  « aménagement du centre historique » 
on remarque, à propos de la répartition des crédits de paiements prévus au budget prévisionnel 2017, qu'il n'y a pas aucun montant d'autorisation de paiement pour le réaménagement de l'îlot Foch dans votre tableau.
Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur la procédure prévue pour  ce projet
et aussi nous éclairer précisément sur le devenir du Parking Jaulerry ?




La réponse de M. le Maire a été moins équivoque que d'ordinaire. Il va vendre ce parking et il défend le principe d'aligner les façades, ce qui revient à confirmer qu'on construira sur cet espace un immeuble aussi haut que ses voisins.
A part le renoncement à la construction d'un bâtiment à usage économique sur la place Foch, M. Duhart déroule pour l'instant son programme initial, énoncè dés février 2016 ; ceci malgré toutes les critiques que ces intentions ont suscité et le fait que sa "concertation volontaire" ait esquivé le débat en présentant les points essentiels du projet comme des invariants.

REMARQUE AJOUTEE le 1er octobre 2017
On s'étonne a posteriori du silence de M. le Maire sur l'appel d'offres concernant l'AMO passé à l'époque pour le projet Foch (les candidatures devaient être déposées le 15 mai). Notre question, posée publiquement, suffit à démontrer que nous-même n'étions pas au courant !




samedi 1 avril 2017

Des promesses "à prendre avec des pincettes"



Posté le 23/03/17

Le Journal local semble douter aujourd'hui, très ostensiblement, sinon insolemment,  des annonces faites par M. le Maire durant les conseils municipaux.  Rapportant que Peyuco Duhart  aurait déclaré, à propos du calendrier de validation du grand projet d'urbanisme censé remodeler le centre-ville et l'îlot Foch, qu'un débat se tiendrait à la fin du premier semestre ou au début du second 
(donc en Juillet ? voire pendant les fêtes patronales ? 
si l'on suit bien la pensée de notre premier magistrat).

Sud Ouest écrit  en effet "qu'il convient de prendre cette annonce avec des pincettes" et  déplore que le calendrier ait "tellement glissé depuis le début du mandat".
C'est le moins que l'on puisse dire. Car en matière de crédibilité, ce n'est plus une glissade 
mais une chute ! 

On se souvient que M. Duhart avait annoncé - déjà - qu'il montrerait des plans 
et des maquettes de son projet après Pâques, en 2016 !
Presque un an plus tard, on a seulement vu quelques posters et un logo, pour "vanter" une consultation qui a permis à 500 Luziens de dire leurs inquiétudes... ou leur confiance (aveugle).
Bref, nous ne sommes plus les seuls à douter des promesses faites sur ce sujet !

A l'heure où le destin d'un bloc de béton délicatement déposé sur un rocher par la houle a suscité l'intérêt du bon peuple Luzien, d'autres informations tout aussi délicatement imprimées ne sont-elles pas également à prendre "avec des pincettes" ? Les lits du service de Gériatrie de Trikaldi sont-ils bien transférés à Udazkena, par exemple, comme on le lit dans la presse ? Ou bien seulement une partie des lits, ce qui change tout ? [En fait, le projet Trikaldi débouche sur un transfert sans perte de lits, a quelques unités près, mais une trentaine de lits vont être  délocalisés en Bayonne, en application d'une vieille décision... qui avait été jusqu'ici remise a plus tard - remarque ajoutée le 30/03] Le pôle "petite enfance se fait-il attendre" ou bien, globalement, tous les grands projets du Maire, faute de fonds suffisants et de choix politiques clairs ?

Nous nous permettons d'inviter les citoyens et citoyennes à conserver toute leur  lucidité !
Qu'il s'agisse du spectacle des grands débats nationaux, de la présentation des finances locales ou de la politique d'urbanisme Luzienne, le doute est permis, voire salutaire.

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Une précision ajoutée le 24/03

Une des têtes pensantes de l'équipe municipale nous a confirmé :
1°)  qu'on espère, du côté M. le Maire, régler le dossier aux dates indiquées dans le journal
(elles restent de facto imprécises).
2°) que "les invariants" définis en février 2016 seront maintenus.
(Mais la Ville a justement beaucoup varié, jusqu'ici, sur leur nature exacte :
imposés avant la "consultation", puis présentés après celle-ci comme de simples propositions, 
voici qu'ils refont surface... y compris sans doute le fameux "alignement des façades" ?
La liste exacte des invariants ayant changé au fil des saisons, 
 l'on ne s'y retrouve plus que difficilement !)
3°) que l'Opposition ne sera pas associée à la réflexion.
(Une punition, sans doute : mais c'est la population qui doit être associée, 
pas le petit cercle des élus, d'autant que le Maire a refusé 
notre proposition d'un référendum populaire 
pour trancher sur un projet qui ne sera dévoilé aux habitants qu'in extremis
contrairement aux discours lénifiants de la majorité).


Se connecter avec les Luziens

Les socialistes veulent se connecter avec les Luziens


Et Sud-Ouest le leur fait savoir par un article daté du 1er avril.

Mais (s’agit-il d’un poisson ?) le journaliste paraît avoir mal compté le nombre des assistants à la table ronde du 30 mars : ce n’était certes pas un meeting, car il s’agissait simplement d’échanges entre les élus et la population, mais les citoyens et citoyennes présents étaient, contrairement à l’affirmation du Journal, beaucoup plus qu’une quinzaine !

Cette première rencontre « avec les gens » a somme toute été positive et nous aura permis de lister certaines questions sensibles portant sur la politique d’urbanisme de la Ville.

Sans doute, par souci de symétrie, l’auteur de l’article, ayant souligné la justesse des observations faites par les Socialistes dans au moins trois domaines essentiels, a-t-il voulu pointer quelques erreurs.

Faux ! nous assène-t-on :

-         le dossier de la bretelle autoroutière à Chantaco ne serait pas en passe d’être réglé. (Dont acte. En somme, pour Sud-Ouest : nous ne devrions pas faire confiance à la municipalité sur ce dossier, et aurions tort de croire que, puisque une étude préliminaire est menée, la volonté d’aboutir existe ?).

-         le règlement du projet Trikadi ne déboucherait pas sur une perte d’une trentaine de lits en Gériatrie (Mais en fait : 30 lits, jusqu’ici maintenus à Saint-Jean-de-Luz, malgré une décision ancienne prise par l’Hôpital, vont bel et bien être transférés sur Bayonne – et c’est tout ce que nous avons voulu dire, sans prétendre que ce transfert était lié directement à l’opération immobilière en cours, que nous avons d’ailleurs approuvée).

-         faire de l’ancien cinéma "LE REX" une salle de spectacle plutôt qu’un supermarché n’aurait pas été possible car trop onéreux ? (Nous aurions donc tort, d’après Sud-Ouest, de regretter la disparition de ce lieu cher au cœur des Luziens, car en faire un centre culturel était impossible). C’est un avis qui n’engage que son auteur, car, pour nous, si l’on compare l’éventuelle rénovation de l’ancien cinéma aux dépenses engagées ou projetées dans les deux projets culturels menés de front actuellement par la Municipalité : aux Recollets –avec Ciboure – et à Harriet Baita ; il  n’est pas certain que l’ardoise soit plus légère, bien au contraire !).




L’article ne reprend pas les propos positifs que nous avons pu tenir : notamment à l’égard du projet d’aménagement à Harriet Baita, justement, dont nous pensons qu’il devrait être devenu la priorité de la mandature ; ou des propositions d’aménagement des règles d’urbanisme formulées par l’autre groupe d’opposition, propositions que nous espérons voir reprises par M le Maire.

Sud-Ouest a raison, en tout cas, de souligner que d’autres tables rondes sont à venir ; les élus socialistes espèrent y voir prendre part un nombre croissant de Luziennes et de Luziens. Et ils ne s’offusqueront pas qu’on discute la "justesse" de leurs points de vue. 

C’est tout l’intérêt du débat.