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jeudi 30 janvier 2020

AVEC TOUS LES QUARTIERS, FAIRE SAINT-JEAN-DE-LUZ EN MIEUX !

BILLET DU 30 JANVIER 2020
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NOTRE POINT FINAL
-sur Le projet Foch
-sur la politique du logement
NOTRE ENGAGEMENT
-Fidélité à nos valeurs
-France Bleu et la présentation de la liste

Manuel de Lara a inauguré ce soir, face à une petite cinquantaine de Luzien(ne)s,  sa tournée des quartiers. Dialoguant avec la population en présence de nombreux candidats de la liste
UN NOUVEL ÉLAN 
il a animé une réunion d'information au LAC en compagnie de Gaëlle Lapix-Ganet, son binôme en tête de liste, pour mieux affirmer que la parité n'est pas "un gadget".

Le slogan de la campagne est peut-être trouvé avec la formule "Saint-Jean-de-luz en mieux", déjà assénée lors de la présentation de la liste le 25 janvier.

Après avoir mentionné la logique de projet sous-tendant la composition de son équipe, diverse à tout points de vue et alliant jeunesse, compétence et expérience (quatre conseillers municipaux sortants, dont Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke)
Manuel de Lara est revenu sur son parcours avant de dévoiler quelques points importants de son programme, qui sera publié qau delà du 15 février, et a répondu aux observations et questions de l'Auditoire.

LES PROCHAINES RÉUNIONS
18 h 30 - 20 h
Urdazuri le 6 février (école primaire)
Ichaca le 13 février (Pôle Petite Enfance)
Fronton Municipal le 25 février
Ithurralde-Trikaldi le 27 février (Trinquet Bordatcho)
! La réunion annoncée le 3 à la grillerie a été annulée !
Ste-Barbe et quartiers Nord le 4 mars (Botanique)
Erromardie-Acotz le 5 mars (Camping municipal)
Centre-ville: Duconténia le 12 mars
PREMIER TOUR LE  15 !

La profession de Foi diffusée cette semaine :

mercredi 29 janvier 2020

LOGEMENT SOCIAL ET FLUIDITÉ DU PARCOURS RÉSIDENTIEL, QUELS ENGAGEMENTS CONCRETS ?

POINT FINAL ? numéro 2
BILLET DU 30 JANVIER 2020
NOTRE CONCLUSION (PROVISOIRE) SUR UNE QUESTION CENTRALE : 
LE LOGEMENT ET LA MIXITÉ SOCIALE
La fin de la mandature et la fermeture en cours du blog des élus socialistes 
les amènent à faire un point sur l'un des grands enjeux de la prochaine élection.
Notre deuxième "point final" portera donc sur les raisons de la stagnation démographique de Saint-Jean-de-Luz ces dernières décennies, et sur les pistes à creuser pour maintenir le cap (et aller bien au delà) du frémissement observé entre 2014 et 2020 pour redynamiser la commune.

*
Lire par ailleurs notre "point final" (numéro 1) sur l'aménagement de l'îlot Foch
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Chacun peut constater que Saint-Jean-de-Luz a connu une extension considérable des surfaces urbanisées durant les deux dernières décennies. Et pourtant : sa population a non seulement vieilli, davantage que la population générale, mais encore elle a stagné en nombre, une tendance dramatique et que nous avions tenu à dénoncer dès le début de la mandature, constatant par exemple (dans une tribune insérée dans "Berriak" en janvier 2018) que la population décomptée en 2017 avait baissé par rapport au recensement de 2009 - ceci malgré les prétentions inverses de la municipalité, mais fort du constat rendu en toute objectivité par les services de l'Etat comme aussi par
la chambre régionale des comptes
C'est pour combattre ce déclin que nous pensons nécessaire
UN NOUVEL ÉLAN POUR SAINT-JEAN-DE-LUZ 
et participons au projet de Ville incarné par Manuel de Lara, lequel entamera dès ce soir des réunions de quartier afin de rencontrer les Luzien(ne)s et discuter avec eux de l'Avenir
(voir dans L'AGENDA en haut de page). 

SUD OUEST interrogeait hier les candidats aux élections municipales confrontés aux mauvais chiffres de la démographie locale. Car la commune est en perte de vitesse ! Son solde naturel a été constamment négatif depuis 2006 (de 0,7% en moyenne jusqu'en 2011, puis de 0,8 % entre 2011 et 2016) ce qui n'étonne pas dans une ville vieillissante (ce qui signifie peu de femmes en âge de procréer) et dont la population totale a d'abord diminué, dans les quinze dernières années, avant de connaître un récent et léger regain, sans doute fragile (+36 habitants par rapport à 2016, ce n'est tout de même pas non plus une raison de "pavoiser")...

Le maire sortant se dit "plutôt confiant" mais n'aura pas forcément rassuré un lectorat qui connaît son penchant compulsif pour la méthode Coué. Il a pourtant raison, dans cette interview, de défendre, sinon les résultats, encore mitigés, du moins les bonnes intentions de sa politique de l'habitat, visant à garder davantage de jeunes ménages luziens sur le territoire de la commune, et de citer l'emblématique opération "Lilitegia". Sur ce terrain, la @Gauche Luzienne s'est d'ailleurs félicitée publiquement, notamment 
à l'occasion de l'arrêt du PLU (Plan Local d'Urbanisme) l'été dernier,  du choix de J-F Irigoyen de s'inscrire dans la continuité des efforts (peut-être tardifs, mais très significatifs) de son prédécesseur et elle n'a pas craint de louer publiquement la "révolution culturelle" de la majorité pour rendre hommage, à ce titre, à l'action de Peyuco Duhart, devenue plus favorable au développement du logement social.
On peut d'ailleurs dire qu'une belle unanimité s'était faite au conseil municipal pour soutenir ce type d'opérations.

Nous savons cependant tous les retards accumulés avant 2014 et l'inefficacité relative des "clauses anti-spéculatives" mises en oeuvre aujourd'hui pour éviter la revente rapide des logements à des non résidents. Nous voyons également tous les jours à quel point, pour gagner 1000 habitants en tout et pour tout (par rapport au niveau de 1990) on a bétonné à tour de bras, abîmant les paysages, réduisant le foncier disponible et "artificialisant" de manière excessive les sols. Et comment certaines opérations ambitieuses ont permis récemment de produire des résidences de standing en plein coeur de ville, inhabitées les trois quart du temps !


Il est donc très nécessaire d'appliquer une politique "plus volontariste". Soit. Mais qu'entend-on par là ?

Seul Manuel de Lara esquisse une proposition concrète 
(peut-être parce que le contexte électoral invite le maire-candidat et ses challengers à conserver encore un peu de discrétion sur leurs programmes, qui sont sur le point d'être dévoilés à la population) 
en pointant la faiblesse relatives des rémunérations proposées localement aux salariés. Une situation qui pénalise les jeunes adultes et tend à accélérer leur éviction : aussi insiste-t-il, en bon expert du développement territorial, sur la nécessité d'une impulsion économique pour redonner de l'attractivité à Saint-Jean-de-Luz auprès des entreprises (pour provoquer l'implantation d'employeurs y proposant des postes de qualité).

Les effets pervers de la dépopulation luzienne doivent être correctement appréhendés. Car le remplacement de la population locale par un nombre excessif de nouveaux entrants augmente d'abord les flux de circulation et le nombre des "navetteurs" puisque les ménages quittent la ville centre pour résider dans la périphérie (bientôt saturée, du reste) : les conséquences sanitaires, environnementales et culturelles sont évidentes. Sur le plan social, par ailleurs, trop de quartiers sont vides "hors saison" et la mixité générationnelle tend à s'y amenuiser. Saint-Jean-de-Luz risque en outre de perdre ses fonctions centrales (c'est déjà partiellement le cas sur le plan commercial, avec des galeries et des grandes surfaces en dehors de l'agglomération, et d'autre part nos établissements scolaires voient leurs effectifs dégonfler) ! Il faut donc continuer à expérimenter les dispositifs innovants tels que le bail réel foncier solidaire et se doter de nouveaux moyens pour une action publique plus efficiente dans le domaine du logement.
Manuel de Lara et toute son équipe proposeront une nouvelle approche de ces problématiques, qui sont essentielles pour qui veut faire une ville plus aimable : écologique, solidaire et moderne, bref, "Saint-Jean-de-Luz en mieux".

C'est notamment pour accélérer la production de logements de qualité, respectueux de l’architecture locale, à des prix accessibles 
que la @Gauche Luzienne s'est associée à Manuel de Lara
pour proposer UN NOUVEL ÉLAN

Bientôt en ligne : le programme porté
par Manuel de Lara et toute l'équipe du NOUVEL ÉLAN
Voir LA LISTE  conduite par M de Lara et G Lapix-Ganet sur le site Saint-Jean-de-Luz 2020 
en cliquant sur l'affiche

Lire par ailleurs notre "point final" (numéro 1) sur l'aménagement de l'îlot Foch
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dimanche 26 janvier 2020

UN NOUVEL ÉLAN POUR SAINT-JEAN-DE-LUZ

BILLET DU 22 JANVIER 2020
Le blog des élus socialistes est, comme annoncé en début de semaine, sur le point de fermer définitivement au lendemain du 7 février, date du dernier conseil municipal de la mandature, après cinq années d'activité dans l'Opposition.
Un mois avant le premier tour.
Nos commentaires seront dès lors postés de préférence sur les réseaux sociaux plutôt que sur ce site.

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Merci mille fois d'avoir suivi notre blog avec assiduité 
depuis son ouverture en 2015
Les conseillers municipaux responsables de cet outil de diffusion en ligne, Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke, ont siégé ensemble durant la mandature qui s'achèvera en mars 2020. 
Ils sont aujourd'hui tous deux engagés aux côtés de 
Manuel de Lara, Gaëlle Lapix-Ganet et toute l'équipe 
de la liste de rassemblement citoyen : 
UN NOUVEL ÉLAN 
POUR SAINT-JEAN-DE-LUZ 
- pour battre la majorité sortante et remettre d'aplomb la Ville 
(ses finances, ses projets d'aménagement, ses priorités) 
- pour bâtir une ville plus douce d'après un projet co-construit avec les habitant(e)s et en concertation avec la population
- pour aider Manuel de Lara à développer l'économie locale tout en préservant l'identité et le patrimoine des Luzien(ne)s
- pour rassembler les Gens de tous les quartiers, de toutes les générations, quelle que soit leur origine dans une démarche citoyenne participative alliant écologie, solidarité et modernité.

L'actualité du 25/01
cliquez sur "samedi"  pour ouvrir la page Facebook et lire le post en totalité
Audience : 4550 vues sur le blog des élus PS luziens en Janvier 2020 (record de fréquentation mensuelle battu !)

Le nombre de visites est évidemment corrélé à celui des mises en ligne mais dénote par ailleurs un progrès continu des performances du site au fil du temps.
Une fois encore, les élus de la @Gauche Luzienne expriment leur reconnaissance 
envers les Luziennes et les Luziens qui les ont lus et soutenus.

eluspsluziens 2015-2020

FOCH ET L'ENFERMEMENT DU MAIRE-CANDIDAT

LIRE : un énième rebondissement, le lancement sans publicité tapageuse d'un appel d'offres pour 43 milions € (sic) commenté le 16/02

ajouté le 8 février
Le maire sortant entend apparemment passer en force, et probablement avant le rendez-vous des municipales, puisqu'il se targuait hier d'avoir reçu le feu vert 
du préfet !
Mais il ne dit pas au public s'il s'apprête à signer un permis de construire, ou si c'est déjà fait, ni ne précise si autre procédure a ou non  été lancée ses derniers jours. Pourquoi se soucierait-il d'informer les gens ?

POINT FINAL ? numéro 1
BILLET DU 26 JANVIER 2020
NOTRE CONCLUSION (PROVISOIRE) SUR UN DOSSIER SENSIBLE : L'ÎLOT FOCH
La fin de la mandature et la fermeture en cours du blog des élus socialistes 
les amènent à faire un point -pas forcément définitif, puisque la majorité sortante n'a bouclé 
que très peu de ses dossiers- sur les grands sujets de débat entre 2015 et 2020.
Notre premier "point final" portera sur l'une des intentions les plus décriées du maire sortant:
imposer une rénovation urbaine "tout en béton désactivé" dans le centre ancien.

*
Lire par ailleurs notre "point final" (numéro 2) sur la politique de l'Habitat
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Chacun au Pays Basque, comme en France, aimant les petites phrases, les propos percutants tenus par Manuel de Lara lors de 
UN NOUVEL ÉLAN POUR SAINT-JEAN-DE-LUZ 
ce samedi 25 janvier ne manqueront pas de susciter moult commentaires. 

Notamment parce qu'il s'est montré critique envers 
le maire sortant, dont il a évoqué "l'enfermement"
(dans son bureau de la place Louis-XIV).
Celles et ceux qui jugeraient le propos excessif doivent 
comprendre que c'est à la méthode de travail de l'actuel premier magistrat que Manuel de Lara se référait, et 
non à sa personne privée.

Beaucoup de Luzien(ne)s estiment en effet voir trop peu souvent leur maire "sur le terrain". La pratique est en effet très exceptionnelle  dans la commune (à titre d'exemple, une seule sortie sur site organisée depuis 2015 dans le cadre de la commission d'urbanisme !).


Surtout, quand bien même ils auraient vu leur édile, voire l'auraient rencontré lors d'une grande consultation bruyamment mise en scène, celui-ci ne paraît pas forcément avoir été à leur écoute. 
D'où la nécessité, pointée par Manuel de Lara, d'une "politique de rupture" avec celle de l'équipe sortante, à la fois désinvolte dans la conduite de ses grands projets, tous "montés à l'envers" (sic) et immobile en ces temps changeants sur nombre de dossiers sensibles (voire délibérément "plan-plan") comme on l'a vu récemment dans le dossier Ocean Expériences.

Mais le plus symptomatique des divorces entre l'Éxécutif et la population est sans doute intervenu à propos du dossier de la restructuration de l'îlot Foch, à propos duquel le maire candidat n'a pas craint d'affirmer publiquement que le projet appartenait "à la majorité, seule" et qu'il pouvait d'ailleurs être conduit (par lui-même) sans prendre aucun avis puisque il avait été "élu" par les Luziens (peut-être, mais pas pour faire cela, pensions-nous, et c'est tout le problème !).


Ce programme a rencontré notre défiance (voir ci-dessus en cliquant sur l'image) puis notre opposition compte tenu des risques posés par le creusement sur 5 niveaux (au moins) de 440 places (?) sur le port, en zone partiellement inondable voire submersible, de son impact négatif sur le plan de circulation, et parce qu'il impliquait la vente d'une parcelle publique sans que la population ait jamais été consultée à ce propos. Trop minérale et pharaonique, la présentation réalisée, tant par les urbanistes que par les promoteurs, ne nous a nullement emballée.

Nous avons toujours fait valoir que l'opération nous paraissait peu conciliable avec les règles du PPRI (plan de prévention des risques d'inondation dont l'adoption définitive a été repoussée à juin 2020, ce qui devrait a minima inciter à la prudence et retarder les décisions définitives) dénoncé le manque de transparence sur le sujet et dit assez tôt pourquoi ce projet ("une erreur historique" de notre point de vue - télécharger ici la Lettre des élus numéro 4
devrait en définitive probablement faire "Pschitt".



Or, voici qu'aujourd'hui que la commissaire enquêtrice chargée d'évaluer le Plan Local d'Urbanisme reprend notre argument initial en demandant à la municipalité de vérifier la faisabilité du Projet  Foch dont la @Gauche Luzienne a toujours dit que ni la sécurité juridique ni la conformité au développement durable ne lui paraissaient acquises.

Un autre point doit être bien compris. Contrairement aux allégations du maire-candidat et de son entourage, qui soutiennent que l'aménagement du parking souterrain envisagé ne coûtera rien
à la ville, puisque l'investissement sera confié à un délégataire privé, ce sont bel et bien les contribuables qui auront à régler l'addition du projet, beaucoup plus coûteux (vingt millions à vue de nez et non quatre comme la mairie l'a laissé écrire dans la presse) qu'une solution aérienne réalisée ailleurs dans l'environnement proche. Choisir de faire "un trou" en front d'eau allongerait considérablement, par conséquent, le délai de rentabilité du parking (et les premières indemnités versées par le promoteur à la ville -il faut rappeler à cet égard, qu'à l'heure actuelle, l'exploitant des deux parcs souterrains déjà existants du centre-ville ne verse encore aucune rétribution à la commune, vu le prix faramineux de la réalisation des parcs).

C'est notamment pour remettre du bon sens dans des projets comme celui de l'îlot Foch que la @Gauche Luzienne a décidé de rallier la candidature de Manuel de Lara

Bientôt en ligne : le programme porté
par Manuel de Lara et toute l'équipe du NOUVEL ÉLAN
Voir LA LISTE  conduite par M de Lara et G Lapix-Ganet sur le site Saint-Jean-de-Luz 2020 
en cliquant sur l'affiche

Lire par ailleurs notre "point final" (numéro 2) sur la politique de l'Habitat
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LA LISTE "UN NOUVEL ÉLAN" : DES COMPÉTENCES ET TOUTES LES COMPOSANTES DE SAINT-JEAN-DE-LUZ


BILLET DU 25/01/20


Manuel de Lara et Gaëlle Lapix-Ganet ont présenté au public, ce Samedi 25 janvier, l'ensemble de leurs co-listiers, parmi lesquels Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke, également conseillers municipaux sortants, mais issus de l'Opposition. 
Tout un symbole de la volonté de rassemblement et de la démarche pragmatique et non sectaire des candidats, unis pour servir un projet de Ville innovant afin d'améliorer le quotidien des Luzien(ne)s. De nombreux résidents issus de tous les quartiers luziens et des personnalités de toutes sensibilités, dont Emile Amaro, secrétaire de la section socialiste de Saint-Jean-de-Luz ont honoré de leur présence cette manifestation très simple et chaleureuse, conclue par un apéritif convivial.

Le programme de la Liste sera prochainement dévoilé, de nombreuses réunions et rencontres publiques sont programmées (calendrier à suivre).

La liste "UN NOUVEL ÉLAN" s'est construite à partir de la réflexion née en mars 2019 au sein du mouvement "Voir demain pour agir aujourd'hui" lancé par Manuel de Lara pour préparer l'action collective citoyenne indispensable au renouvellement qu'il souhaitait.
Un processus participatif qui a permis de fédérer les énergies, a rassemblé des individualités de toute tendance et obtenu notamment le ralliement unanime des Socialistes Luzien(ne)s inquiets des mauvais projets agités par les sortants et très soucieux de faire aboutir leur volonté d'alternance, disposé(e)s à participer sans rien renier de leurs valeurs à une liste de progrès faisant fi des étiquettes mais servant l'intérêt général de la population.


CLIQUEZ POUR VOIR LA LISTE :

[Nota Bene : Maité ETCHEBERRIGARAY, infirmière retraitée et habitante du quartier d'Acotz, est entrée sdans la liste suite au retrait de Nathalie CARRICABURU. Cette dernière, si elle n'est plus elle-même candidate,  participe toujours à la campagne du NOUVEL ÉLAN POUR SAINT-JEAN-DE-LUZ / précision ajoutée le 2 mars]

Manuel de Lara et ses co-listiers portaient à la boutonnière une fleur blanche signifiant leur gratitude (envers la population) et leur respect (à l'égard de leurs concurrents aux élections). 

Dans son allocution, le leader de la liste 
UN NOUVEL ÉLAN a invité le maire sortant à accepter un débat avec ses adversaires 
politiques et dénoncé des projets "montés à l'envers" sur lesquels il faudra
revenir, notamment pour ce qui concerne l'îlot Foch. Manuel de Lara a martelé par ailleurs quelques unes de ses priorités, parmi lesquelles la qualité des eaux de baignade, dans notre baie comme sur toute la Côte Basque, le logement, le développement économique et le dialogue intergénérationnel.

 Cliquez pour écouter l'interview de MANUEL DE LARA sur France Bleu :



***


Lien  vers LA PAGE : MANUEL DE LARA (cliquez sur l'image)
La campagne sur Facebook.
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mardi 21 janvier 2020

DES START UP A JALDAY : LE BILAN DE... MANUEL DE LARA

Commentaire ajouté le 24/01
Mediabask annonce l'arrivée d'une jeune pousse sur la zone et revient tout à la fois sur le rôle de Manuel de Lara dans l'aménagement de la Halle Créative et sur le changement de destination du parc d'entreprises, voué au cluster de la Glisse à l'origine, devenu une ruche d'entreprises plus classique aujourd'hui malgré l'affichage d'une vocation  "innovation durable". Cliquez sur l'image pour lire l'article de Goizeder Taberna.




Billet du 21 janvier 2020

MERCI QUI ?

SUD OUEST rappelle aujourd'hui que le "Fab Lab" du projet "Ocean Experiences" porté jadis par l'Agglo Sud Pays Basque sous l'impulsion du défunt Peyuco Duhart et piloté concrètement par Manuel de Lara, fonctionne comme prévu à Jaday. Étrangement, les responsables du site (la CAPAB et la ville) l'ont rebaptisé "Crealuz". Il s'agit pourtant d'un équipement annoncé dans le programme municipal de Peyuco Duhart sous le nom de Halle Créative, pensé en lien avec le laboratoire à ciel ouvert de Txingudi (Hendaye) et le centre d'enseignement supérieur et de recherche du Fort de Socoa.
Las, loin de s'inscrire dans la continuité de Peyuco Duhart, qui souhaitait diversifier le développement économique local, intensifier la coopération entre communes du versant sud de la nébuleuse littorale et renforcer les fonctions centrales des principales agglomérations du territoire -ce qui nous avait amené à saluer positivement son action combien qu'il fut notre adversaire politique- Jean-François Irigoyen a fait le choix (dès 2017) d'enterrer le pôle universitaire de Socoa (préférant y conserver des garages pour les batteleku, selon ses propres déclarations à la presse et à la grande stupeur du maire de Ciboure). Il a aussi liquidé la SPL de concert avec le Président de la grande Agglo Pays Basque (la SPL était la société publique réunissant toutes les communes méridionales conduisant les aménagements d'Ocean Expériences).
Il est dommage que ni le leadership de Peyuco Duhart (auquel nous nous opposions souvent, mais qui avait tout notre appui sur ce dossier comme d'ailleurs sur quelques autres) ni l'efficience du travail mené par Manuel de Lara ne soient mentionnés en marge de l'interview de la chargée de mission censée animer la filière glisse, nautisme et sports aquatiques (en deux mots son rôle est de faire vivre le "cluster" ou écosystème des entreprises basques tournées vers ces secteurs). A peine le journal ose-t-il une petite remarque (mais vraiment toute petite, écrite en minuscules d'imprimerie) pour dire que Crealuz s'appelait "Halle Créative" (sic).




SIGNE DÉCEPTIF

Après avoir laissé croire à la dilapidation des investissements réalisés dans le cadre du projet Ocean Expériences, certains s'efforcent visiblement d'en dissimuler les fruits en "changeant de marque" : drôle de manière de rendre hommage au maire précédent, qui, sur ce coup, avait été visionnaire, mais manoeuvre maladroite pour récupérer à son profit une démarche innovante dont on a tout fait pour la saboter.

Car si ruche d'entreprises et innovation durable il y a, en remplacement des anciens hangars de stockage de Quiksilver et dans les bureaux de Jalday où les trois fondateurs de la branche européenne de l'entreprise l'ont créée : ce n'est pas grâce aux décideurs actuels mais malgré eux, parce que l'action engagée en début de mandature a été rondement menée. Mais si la rentrée universitaire à Socoa est reportée aux calendes grecques c'est bien du fait du maire-candidat. Il ne s'agit, pas plus que la Halle Créative, d'une chimère mais d'un projet sérieux que les universités partenaires et les entreprises attendent.


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Bilan d'une mandature dans l'opposition : VOEUX EN PAGAILLE ET DERNIÈRES CARTOUCHES

SAINT JEAN DE LUZ 2020
Présentation par Manuel de Lara de la Liste :
UN NOUVEL ÉLAN POUR SAINT JEAN DE LUZ
le Samedi 25 Janvier


NOTRE POINT FINAL
-sur Le projet Foch
- sur la politique du logement
NOTRE ENGAGEMENT
-Fidélité à nos valeurs
-France Bleu et la présentation de la liste


rappel
LA CHARTE DES SOCIALISTES LUZIEN(NE)S POUR UNE VILLE PLUS AIMABLE : ÉCOLOGIQUE, SOLIDAIRE ET MODERNE 
(contribution au projet de Manuel de Lara) 
est disponible en cliquant sur le titre suivant : 


RETROUVEZ LES ELUS SOCIALISTES SUR TWITTER @Gauche Luzienne
OU SUR LEUR PAGE Facebook 
On y lira notamment notre point de vue sur 
dont nous souhaitons que l'Union, nécessaire, soit transcendée au profit d'un projet plus large

Merci d'écrire aux conseillers municipaux sur leurs boîtes mails: 
DAISY MARSAGUET ou PIERRE-LAURENT VANDERPLANCKE 
voire de leur téléphoner au 06 19 44 15 29

BILLET DU 11 JANVIER 2020
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FIN DE CYCLE
Le prochain conseil municipal de la mandature (et le dernier, sauf événement imprévu) se tiendra le 7 février. Sans doute son compte-rendu marquera-t-il la fin ultime des publications de la @Gauche Luzienne sur ce blog, ouvert en 2015 pour éclairer les citoyen(ne)s sur le travail des élus socialistes à Saint-Jean-de-Luz et les informer des décisions prises ou à venir, dont il nous était vite apparu : en fait, dès le début de notre entrée au conseil municipal, que leur divulgation - par le maire actuel comme par son prédécesseur - était tout à la fois systématiquement tardive et partielle. 



FIDÉLITÉ
Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke, les deux élus PS entre 2015 et 2020, candidats sur la liste "Vivre à Saint-Jean-de-Luz" conduite par Emile Amaro, auront co-signé ensemble, sur toute cette période, plus de 280 articles insérés sur ce site, lequel a déjà fait l'objet d'environ 59 000 visites en tout (on dénombre 1360 lectures du blog en dix jours, en ce début janvier). Ils remercient en conséquence les nombreuses personnes qui les lisent avec intérêt, notamment ceux et celles qui leur disent ou leur écrivent leurs encouragements.

VÉRITÉ
Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke assument d'avoir souvent critiqué l'Exécutif et d'avoir exposé très nettement leurs différends avec la majorité sortante ou d'autres acteurs de la vie publique, sur un ton parfois polémique et sans feindre beaucoup de ménagements quand ils étaient très hostiles à une initiative de l'équipe municipale sortante. Ils ont la faiblesse de croire que tel était leur rôle et même leur devoir en tant qu'opposants et notent que certaine association citoyenne du Pays Basque l'a porté à leur crédit en décernant une récompense "virtuelle" à (l'administrateur de) leur blog.

MESURE
Daisy Marsaguet et Pierre-Laurent Vanderplancke assument leurs propos d'autant plus tranquillement qu'ils n'ont jamais masqué leur signature ni caché leur identité quand ils s'exprimaient sur les réseaux sociaux (que ce soit via ce blog ou leurs comptes Facebook "Gauche Luzienne" et "Ezker Donibandar" voire sur Twitter) et qu'ils n'ont pas (contrairement à d'autres) alimenté d'attaques ad hominem dans la presse locale mais ont, par ailleurs, toujours pris la peine de soutenir celles des politiques communales qui leur semblaient plus sociales ou plus utiles à l'intérêt général (soulignant la réussite du Pôle "petite enfance", la qualité des objectifs culturels de la Ville, l'inflexion récente mais notable et positive de son action en faveur du logement social, etc.). Loins de "tirer à vue" et sans discernement sur l'action de nos collègues de la majorité, nous avons donc ciblé ceux des axes de leur politique que nous considérions comme des points faibles et tirons d'une certaine manière "nos dernières cartouches" (comme on nous l'a fait observer plaisamment) puisque s'achèveront bientôt les actes de la mandature en même temps que notre rôle d'opposition.

POSTURE 
La @Gauche Luzienne n'a jamais fait mystère de son positionnement politique et de son intention de représenter la minorité sortie des urnes en 2014. A l'égard de la majorité, elle a considéré nécessaire de jouer un rôle d'alerte ou de commentaire, soutenant les bonnes pratiques mais condamnant les mauvaises (de son point de vue) et dénoncé les décisions malencontreuses (notamment, selon son opinion, celles prises s'agissant de la rénovation de l'îlot Foch). Elle a aussi proposé des solutions alternatives, et toujours considéré que c'était aux citoyen(ne)s de trancher. En ces temps de campagne électorale, elle estime indispensable d'exposer ses idées mais aussi un jugement forcément subjectif (et globalement négatif, en l'occurrence, n'en déplaise à certains) sur le bilan du mandat. Elle souhaite clairement une alternance, sans prétendre pour autant que la ville serait actuellement "en feu et à sang". Aussi est-il absurde de lui reprocher de "cliver". Non, il ne s'agit que de jouer pleinement son rôle dans le cadre du débat démocratique.

IMPOSTURE
La municipalité n'a pas, croyons-nous, mené une action suffisamment transparente ni associé à son "projet" l'ensemble de la population. C'est pourquoi, à l'heure de juger les fruits de sa politique, nous dénonçons les omissions (par exemple, sur le coût du parking souterrain qu'elle voudrait voir sous l'actuelle avenue de Verdun) et les vérités alternatives de l'Exécutif (notamment à propos notamment de l'insignifiance supposée du risque d'inondation sur le même site) qui nous semblent assez typiques des défauts de la communication du maire sortant, que nous avons maintes fois critiquée, tant par écrit que coram populo et qui ne paraît pas devenir plus affûtée, les voeux aux corps constitués prononcés par Jean-François Irigoyen ce samedi ayant servi d'occasion au dénigrement par M. Le Maire sortant "des réseaux sociaux" et "des blogs" ainsi que des auteurs qui y séviraient anonymement, 
mais également  permis l'annonce que le maire sortant ne serait pas candidat.. à la présidentielle américaine
(sic) ! Une "feinte" un peu ridicule pour celui qui n'est toujours pas un "candidat déclaré" à la mairie (et qui s'étonnera, après cela, que certain pétitionnaire l'oublie quand il s'agit d'évoquer l'avenir de la 
Ville !).
Nous relevons par ailleurs, en lisant "entre les lignes" des souhaits exprimés par les habitant(e)s pour 2020 d'après le journal local qu'une insatisfaction assez générale semble se manifester à l'égard de la majorité sortante, et au delà de cette problématique, que le mal-être des habitants des quartiers périphériques, exposé avec justesse par SUD OUEST dans son édition du jour, est important. 







dimanche 19 janvier 2020

UNE PRÉCISION, DEUX ÉCROULEMENTS (de la falaise et des investissements)

SAINT JEAN DE LUZ 2020
Présentation par Manuel de Lara de la Liste :
UN NOUVEL ÉLAN POUR SAINT JEAN DE LUZ
le Samedi 25 Janvier

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BILLET DU 19 JANVIER 2020
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SUD OUEST publiait deux pages, ce samedi, consacrées aux travaux sur la falaise d'Erromardie - après deux autres, la veille, portant sur la vie des associations sportives locales. 
Le journal profitait de ce deuxième coup de projecteur sur le bilan des sortants pour apporter une précision en rapport avec l'article précédent.

PRECISION ?
Pour nous, ce sont deux remarques plutôt qu'une précision qui s'imposent, en réalité, en commentaire de cette publication, Deux remarques qui contredisent la prétention de Jean-François Irigoyen d'incarner une politique durable et de bonne gestion des deniers publics.

1 D'abord à propos d'assainissement.
Car, si la ville entend considérer l'ancien "skate park" en contrebas du site du chantier actuel comme "une réserve foncière" destinée à "anticiper le repli éventuel des activités économiques" il faut surtout se demander pourquoi "le processus d'aménagement durable" dit ADS (dont le maire-candidat rappelait le 15 janvier l'existence sans expliquer du tout de quoi il s'agissait devant les caméras de France 3) n'a pas débouché en l'occurrence, dans cette zone peu dense, sur un "repli éventuel" mais bien plutôt sur "le maintien des ouvrages" et des travaux menés à la hâte, avant les prochaines grosses tempêtes prévisibles à la fin de l'hiver... Car "les éléments sont, par nature, imprévisibles" conclut SUD OUEST après avoir indiqué que la mairie tablait sur une stabilité de la falaise reprofilée durant les 20 à 40 prochaines années. 
Au delà des aspects techniques du dossier, dont nous avons bien voulu croire au sérieux de leur prise en charge, le choix d'une stratégie de confortement dans un secteur littoral très exposé à l'érosion où le recul pouvait sembler a priori plus logique nous avait interpellés et poussés à faire une remarque lors du dernier conseil municipal, vu l'importance des sommes investies et compte tenu de la certitude que nous avons que le recul du trait de côte sera important sur toute la Côte Basque, ceci dans un avenir proche. 
Si de tels investissements ont été consentis, c'est moins pour "reconstruire" (sic) la falaise et l'exutoire d'eaux usées que pour protéger la canalisation d'assainissement souterraine reliée à la station d'épuration (STEP) d'Archilua et passant juste sous le chemin littoral. Un point que M. le Maire nous avait concédé le 13 décembre et que le journal d'hier mentionne à deux reprises.
Mais qui pose la question de la bonne stratégie à mener concernant nos STEP. Déconstruire celle de Guéthary pour agrandir et moderniser la station d'épuration luzienne sans toutefois relocaliser cette dernière, comme on l'entend parfois suggérer, est-ce bien raisonnable ? Pas nécessairement si l'on doit tenir compte du lieu l'implantation de la station d'Archilua, dont le repli pourrait devenir assez vite une nécessité impérieuse. La CAPB a pris en compte cette problématique et évoque bien son intention de "relocaliser" la STEP d'Archilua.
Ravis d'apprendre que la CAPB entendait investir 25 millions € pour corriger la non conformité de la station, (non conformité que J-F Irigoyen continue de nier dans sa lettre aux Luziens alors qu'elle est établie par l'enquête publique sur le PLU  -page 21- et bien précisée dans la réponse complète de la CAPB -notamment en page 2-  note ajoutée le 19/01) les élus de la @Gauche Luzienne espèrent que sa situation en bordure de falaise a par ailleurs été bien analysée. La zone est en effet classée en aléa effondrement fort d'après le BRGM. D'où l'importance que la relocalisation soit bien réfléchie !




2 Ensuite, concernant les projets "oubliés" de la commune.
Le quotidien régional revient sur deux dossiers concernant le monde du sport, pour dire que le gymnase Ravel doit être agrandi (et faire 500m2 de plus que dans la configuration actuelle de l'équipement) mais aussi le local d'Ur Yoko (à proximité des établissements scolaires de Chantaco, sur la Nivelle).
Ce qui fait deux projets de plus sur la liste du Père Noël (ou plutôt du maire sortant, dont le programme ressemble davantage au bilan de ses promesses non réalisées qu'à une vision pour l'Avenir : retard aux Récollets, absence de plan de financement pour Foch et Harriet Baïta - où il faudra sans doute réviser largement les mauvaises pistes suivies par l'ancienne majorité - doutes sur la validité du PLU, aucun dossier ouvert pour le centre de congrès de l'ancien Auditorium Ravel, toutes ces opérations avortées font désordre !).
La cause de ces retards et délais ? Elle serait tout simplement financière. Pas très bien gérée, la commune s'est en effet lancée dans de multiples projets en même temps, et en a médiatisé beaucoup d'autres qu'elle n'avait même pas les moyens d'initier en lançant ces quelques études préliminaires ruineuses mais que l'Exécutif affectionne. 




La Ville, si elle a voté "de fortes dépenses" en 2019 a du réduire ses investissements au maximum sur l'ensemble de la mandature, pour tenter de déstocker la dette. Il faut considérer que l'Exécutif s'est souvent contenté d'effets d'annonce -lors du vote annuel du budget- et regretter qu'il ait entrepris par ailleurs la vente systématique de biens publics (les fameux "bijoux de famille" : gageons qu'il a, malheureusement, d'autres projets en ce domaine). 
Le résultat est pourtant mitigé, la dette restant lourde et très supérieure à celles d'autres collectivités comparables.
Pas fameux !


jeudi 16 janvier 2020

IRIGOYEN OFFICIEL : RIEN À DÉCLARER !

BILLET DU 16 JANVIER 2020
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Le maire sortant de Saint-Jean-de-Luz a fait savoir hier très officiellement qu'il briguerait les suffrages de ses concitoyen(ne)s en mars prochain. Nous avons déjà commenté, les propos (filandreux) qui avaient accompagné cette annonce à la télévision, et noté que J-F Irigoyen n'avait malheureusement pas le talent de Chillida pour sculpter le vent (ou le vide de son programme).



Le voici qui promet d'écrire aux Luziens et leur parle ce matin dans l'édition locale de SUD OUEST, qui retranscrit clairement ses arguments. 
Notre maire-candidat n'a visiblement pas grand chose à dire à propos de l'action qu'il entend mettre en oeuvre, mis à part des banalités sur les mobilités et le développement durable - qui ne sont pourtant pas des points forts de son bilan -  mais quelques unes de ses confidences nous semblent critiquables.

1 Il aurait trouvé inabouti l'ensemble des projets de son prédécesseur : "seulement dans les cartons", avance-t-il, citant à titre d'exemple le projet Foch, pourtant initié dès 2012, voire plus tôt, par Peyuco Duhart. L'argument est mince mais il s'agit de justifier après (plus de) deux ans qu'il soit encore nécessaire de "finaliser" des opérations restées en réalité (presque toutes) à l'état de simples souhaits.
2 Sa liste sera "un peu renouvelée" prévient-il. Autant dire qu'il en conservera l'essentiel des cadres, alors que la même équipe est aux manettes depuis des années ! Mais il paraît que s'exprimerait dans la population "une attente" (sic) à l'égard des sortants. 
3 Le maire-candidat distingue deux catégories de citoyen(ne)s dans sa ville : les Luziens et les néo-Luziens. Encore, s'agissant de ces derniers, ne s' intéresse-t-il qu'aux "gens qui venaient en résidence secondaire et qui choisissent de s'installer". 
Les autres ? Connaît pas !
4 J-F Irigoyen se présente comme la tête d'une liste "sans étiquette" mais ne craint pas pour autant de brandir son investiture LR (déjà acquise)  et d'avancer que "LaRem est derrière" lui. Ceci tout en faisant de l'oeil au Modem, le parti de son actuelle première adjointe.

Se vantant de mordre et de ne pas lâcher, la maire sortant n'a rien compris à la genèse de la liste UN NOUVEL ELAN et se complaît une fois de plus dans les attaques personnelles. Sans doute faut-il à cet égard lui rappeler quelques vérités.

1 Manuel de Lara et les autres candidats de sa liste, parmi lesquels des socialistes, s'inscrivent dans une démarche de projet, participative et destinée à rassembler des bonnes volontés sans aucun sectarisme ni parti pris idéologique. En ce sens, il s'agit bien pour eux d'entretenir une dynamique apolitique au service de tou(te)s les Luzien(ne)s pour faire une ville plus douce (plus aimable).
2 La participation de la @Gauche Luzienne à la liste de Manuel de Lara n'en fait pas pour autant une liste "de gauche". Car le PS a décidé d'apporter sa contribution au programme co-construit par Manuel de Lara avec la population, dans une logique de co-responsabilité, transpartisane et respectueuse des convictions de chacun.
3 Manuel de Lara a pris ses distances avec l'Éxécutif non pas depuis six mois mais dès septembre 2017, tenant à ce propos un discours sincère qu'un adjoint avait qualifié à l'époque de "courageux". Demeuré loyal à l'égard de Peyuco Duhart, qui l'avait appelé pour piloter le projet de l'Agglo Sud Pays Basque, il a finalement pris ses responsabilités et rompu avec la majorité sortante, rejoint par Gaëlle Ganet-Lapix . Pour des raisons de fond et non "par opportunisme". L'un et l'autre ne manqueront pas de s'exprimer sur la question.


COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE MANUEL DE LARA
ajouté le 17/01 - cliquez sur l'image :
(reproduction de l'entrefilet paru dans SUD OUEST)
Lisez le communiqué complet en cliquant sur l'image ci-dessus.
Notre candidat épingle le piètre score de J-F Irigoyen aux dernières élections départementales, où celui qui prétend aujourd'hui rassembler toutes les droites contre "deux listes de gauche" 
sans voir que l'enjeu municipal transcende ces clivages, avait fait
(sous l'étiquette UDI, une de plus !)
moins de 10 % des inscrits à Saint-Jean-de-Luz !

COMMENTAIRE AJOUTÉ LE 18
Le maire sortant soutient aujourd'hui que le score que lui attribuait hier Manuel de Lara (concernant son résultat lors des élections départementales 2015 à Saint-Jean-de-Luz) serait faux, et rappelle qu'il a fait un peu plus de 18 % des suffrages exprimés. D'accord ! Mais cela fait bien moitié moins en % des inscrits : les chiffres de Manuel de Lara sont bons, comme l'admet SUD OUEST. Pas ceux de J-F Irigoyen, qui prétend aujourd'hui être le seul représentant des Droites et du Centre mais a été battu sévèrement en tant que candidat opposé au conseiller général historique LR, ceci malgré une décennie d'activité comme adjoint aux travaux de la majorité municipale et le soutien de Peyuco Duhart. Beaucoup d'électeurs (et d'électrices) de ce dernier pourraient en définitive se tourner vers une candidature alternative à celle de J-F Irigoyen, dont les "grands projets" et/ ou les erreurs en matière d'urbanisme et de protection de l'environnement menacent l'identité de la Ville et sa qualité de vie. Nous les y invitons !
Car Manuel de Lara, rassembleur de Luzien(nes) de toute tendance, motivés par un projet de Ville plus douce (Aimable) entend dynamiser l'économie locale tout en préservant le patrimoine et remettre du bon sens dans les priorités et les méthodes de gestion des affaires communales.


La @Gauche Luzienne soutient 
le "Nouvel Élan"  

mercredi 15 janvier 2020

CANDIDATURE DU MAIRE SORTANT : L'IMAGINATION AU POUVOIR

BILLET DU 15 JANVIER 2020
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La situation politique luzienne se clarifie puisque le maire sortant a annoncé ce jour sa candidature, s'offrant à l'occasion quelques secondes d'antenne dans le cadre du journal télévisé de France 3 Euskal Herri (dont le journaliste a commenté sobrement l'événement,  en convenant qu'il ne s'agissait pas d'une surprise).

Au moins ne risque-t-on pas d'être saisi d'étonnement par les propos de J-F Irigoyen. Il en sera probablement de même à l'écoute du programme du maire-candidat. Qui devrait logiquement se contenter d'annoncer son intention de réaliser demain tous les projets qu'il s'est contenté de souhaiter "passionnément" mettre en oeuvre ces dernières années, sans beaucoup avancer et même en renonçant parfois à celles des ambitions initiales de la mandature qui auraient méritées d'être les plus accomplies.


MISE EN SCÈNE ET GALIMATIAS
De l'imagination, il en a fallu en tout cas à Jean-François Irigoyen pour se mettre en tête d'annoncer aujourd'hui sa candidature à sa propre succession depuis le site d'Erromardie, sur le chemin du littoral, à l'aplomb de l'exutoire ("un conduit servant à évacuer un trop-plein d'eaux usées ou polluées"). 
Cette initiative étrange, comme son discours en faveur de "l'aménagement durable des stations" ne manquent pas de sel (mais il faut dire que la falaise est très exposée aux embruns).
Car si le maire sortant faisait allusion à la stratégie ADS appliquée aux stations (balnéaires) aquitaines, une partie du public n'a rien compris et a logiquement cru qu'il entendait évoquer : les stations d'épuration de la ville et des alentours.
Que nenni ! Le sujet de la qualité des eaux de baignade ne le passionne guère et c'est bien Manuel de Lara qui a porté tout récemment l'attention de la presse et des citoyen(ne)s sur les insuffisances du système d'assainissement local ! C'est du reste tardivement, fin décembre, qu'ont été annoncés in extremis par l'Agglo, mise sous pression, les investissements nécessaires pour faire valider le PLU luzien (Plan local d'urbanisme).

UN BILAN ET UN GARÇON DANS LE VENT
La vraie raison d'une annonce sur un tel site, a priori peu "glamour" réside sans doute dans le fait, très simple, que M. le Maire n'a pas vraiment de bilan - et donc bien peu d'autres réalisations à faire valoir. 
Les circonstances ne lui ont certes pas permis de disposer de tout le temps dont ses homologues ont pu profiter pour mettre en oeuvre leur politique et personne ne met en doute ses bonnes intentions. Reste que ses parkings relais en périphérie, son échangeur à Chantaco ou son centre de congrès face à la plage ne sont que des promesses. Des projets non financés qui n'en sont, au mieux, qu'au stade des études préliminaires. Idem pour la rénovation de l'îlot Foch, très contestée ! l'aménagement de la gare de transport multimodale ou le pôle culturel Harriet Baïta...

Comme on sait, "qui trop embrasse mal étreint" ; et c'est encore plus difficile quand il s'agit de sculpter du vent. Le grand Chillida avait ce talent, mais il n'est pas évident d'imiter sa méthode en politique sans se disperser et en définitive.. brasser de l'air.


La @Gauche Luzienne soutient 
le "Nouvel Élan"  impulsé par Manuel de Lara
 
LE MOUVEMENT CONTRE L'IMMOBILISME

mardi 14 janvier 2020

Le Projet FOCH non faisable ? PADD' CHANCE POUR LE PLU DE SAINT-JEAN-DE-LUZ

BILLET DU 15 JANVIER 2020

Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) sera sans nul doute au menu du futur Conseil Municipal, lequel se tiendra quelques semaines avant les élections.
Il est donc important d'expliquer aux Luzien(ne)s  les enjeux de ce document important, relevant d'une compétence transférée à l'Agglomération mais adopté au fil de navettes entre la commune et la CAPB, en attendant que cette dernière soit un jour en mesure de finaliser un PLU pour l'ensemble du Pays Basque.

DE LA BONNE VOLONTÉ
Rappelons que nous n'avions pas vu dans le PLU un quelconque chiffon rouge mais adopté tout au contraire une attitude conciliante sur ce dossier. Quoique critique de certaines OAP : des opérations d'aménagement que nous avions pu présenter en totalité au public en juin 2017, mais dont le suivi nous avait quelque peu échappé par la suite, les réunions se faisant en matinée à un moment où aucun des représentants des deux oppositions n'était plus disponible (sic) la @Gauche Luzienne ne s'était pas opposée par principe à l'arrêt du PLU proposé par M. le Maire en juin dernier. 

DES PROGRÈS
Il s'agissait notamment, pour les élus socialistes, de souligner l'intérêt des mesures prises en faveur du logement social par la majorité et de participer à un dialogue constructif sur la manière dont il faudrait utiliser cet outil. Le PLU arrêté constituait de toute façon, pour nous, et comme l'écrit du reste aujourd'hui le commissaire enquêteur "une amélioration notable" par rapport au document précédent, datant de 2006, notamment "dans la prise en compte des différents aspects de la loi Littoral, d’une gestion économe de l’espace et des documents de protection s’appliquant au territoire"...



DES FAILLES
Las ! L'enquête publique déclenchée cet été a mis en évidence des défauts majeurs du PLU.... et confirmé la dissimulation par l'Exécutif local d'un certain nombre de failles, en matière d'assainissement notamment. Un manquement qui a provoqué un petit scandale et a conduit à un retard important de l'adoption du PLU, initialement prévue en décembre et reportée - au mieux - au 7 février prochain, quoique l'on puisse légitimement douter de la capacité de la ville à remplir d'ici-là toutes les conditions prescrites pour être en situation d'en terminer enfin avec la révision de son document d'urbanisme (une procédure qui a déjà duré neuf ans !). C'est en effet que, dès la page 5 de son rapport de conclusions motivées (disponible en ligne) le commissaire enquêteur met en cause la "crédibilité du projet" de PLU luzien !

UNE PROMESSE
L'Agglomération ayant promis (par une note du 19 décembre assortie d'un plan de programmation, tout juste ce que réclamait Manuel de Lara) d'engager des travaux à hauteur de 25 millions € les défauts de l'assainissement ne constituent plus un obstacle à l'arrêté du PLU. Mais l'on se demande par parenthèse pourquoi la démolition-reconstruction d'Archilua est parfois évoquée aujourd'hui en mairie, alors même que l'adaptation de sa capacité épuratoire aux besoins est censée avoir été démontrée, et que c'est la station de Guéthary qui pourrait bien être démantelée au profit d'une extension de la station luzienne. [Il semblerait que ce soit bel et bien la STEP de Guéthary que certains songent à déconstruire définitivement à l'occasion d'un agrandissement éventuel de la station luzienne ; celle-ci a l'avantage de rejeter ses effluents loin des plages, mais le gros inconvénient d'être en bord de falaise alors que le recul du trait de côte gagne sans cesse en rapidité ! commentaire ajouté le 19/01]

DES DÉFAUTS TECHNIQUES
Mais patatras ! le PLU ne serait pas compatible, ni avec le SCOT (schéma territorial) ni avec le PADD ou plan d'Aménagement Durable, deux écueils qu'il faudra éviter en corrigeant le document et dont, à vrai dire, nous pouvons prétendre que nous les avions aperçus ! Puisque l'urbanisation du lotissement Errota Zahar (OAP de Chantaco-Sud signalée dans notre blog en décembre 2016) est critiquée de longue date, et que - par ailleurs - la publication du PADD  et même, bien plus tôt, les débats sur sa définition quelques années plus tôt : nous avaient convaincu que la municipalité semblait "naviguer à vue" et qu'elle planifiait la construction, dans son PADD, d'un nombre de logements très inférieur aux besoins définis par le Plan Local de l'Habitat et le SCOT. Ce "trop peu" est cependant excessif si l'on considère, comme le note le commissaire enquêteur, que l'objectif municipal d'accueillir 1000 habitants relevait de "l'extrapolation" et se révèle très supérieur au diagnostic initialement posé (identifiant un besoin d'accueil de 900 habitants supplémentaires). Bref, il y a des erreurs dans les chiffres. Comme d'habitude est-on tenté de dire...

DES DÉCHETS ET UN TROU
Dans ses recommandations finales, nous lisons notamment que le commissaire enquêteur voudrait que l'on oblige, dans le cadre des OAP, le traitement sur place des déchets de chantier voire que soit préconisée une méthode vertueuse permettant de ne pas les produire (d'autant que certains de ces déchets -contrairement à ce que d'aucunes polémiques récentes ont pu laisser croire au public- sont loin d'être inertes mais impactent au contraire fortement l'environnement dans lequel ils sont rejetés). Il demande également que soit vérifiée la faisabilité du projet Foch ! Une demande qui nous conforte dans notre conviction que, malgré huit années de réflexion et d'études engagées par la municipalité -des activités parfois conduites sans guère de publicité- autour de cet aménagement, on ne sait même pas avec certitude s'il est seulement possible, légalement parlant, de faire le fameux parking public sur (ou sous?) le port, projet aussi dangereux que ruineux (environ 20 millions € pour à peu près 440 places) mais défendu bec et ongles par la majorité sortante, malgré des solutions alternatives beaucoup plus sûres et moins onéreuses, parfois à un jet de pierre !


La @Gauche Luzienne soutient 
le "Nouvel Élan pour Saint-Jean-de-Luz"
impulsé par Manuel de Lara
 LE MOUVEMENT CONTRE L'IMMOBILISME