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vendredi 31 mars 2017

VIVRE A SAINT-JEAN-DE-LUZ/ LETTRE N°1

Posté le 31 mars

Nous remercions les citoyennes et les citoyens ayant participé à la table ronde du 30 mars, organisée par les élus avec le soutien de l'Association des Amis des élus socialistes, et celui de la section PS locale et de son secrétaire, Emile Amaro.

Des propositions et des  commentaires ont été formulés dans trois les grands domaines qui ont attiré l'attention de l'assemblée :

- les mobilités (circulation, transport, stationnement..)
- la  politique du logement et
- l'environnement et le zonage...




Des questions ont également été posées, que nous répercuterons auprès des services et des élus de la majorité. Les réponses seront inscrites dans ce blog dès que possible et feront l'objet d'une analyse dans la prochaine lettre des élus (adressée aux abonnés et "followers").

Nous espérons renouveler cette expérience et, ainsi, connaître mieux les desiderata et les problèmes de la population, pour la représenter plus efficacement.

IKUS ARTE DENERI
Télécharger la lettre numéro 1 à partir du billet commentant la lettre n°2

lundi 27 mars 2017

N'OUBLIEZ PAS LE 30 MARS - Communiqué de presse


Communiqué envoyé à la presse le 26 mars 2017
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COMMUNIQUE DE LA GAUCHE LUZIENNNE (PS)

A l'heure où, s'agissant de l'îlot Foch et du centre-ville : on affirme, en Mairie, que le dossier pourrait être réglé au cours du premier semestre, voire au début du second... mais que "les invariants" définis en février 2016 par Peyuco Duhart seront maintenus et que l'Opposition ne sera pas associée à la réflexion....
les élus socialistes se permettent de penser que  c'est la population qui doit être associée à la mise en oeuvre de ce projet, et non seulement les élus (de la majorité). Ils regrettent que leur proposition d'organiser un référendum, pour pallier le manque de transparence sur ce projet, ait été écartée par M. le Maire.

Pour leur part, les élus de la gauche Luzienne souhaitent proposer aux citoyens et citoyennes des rendez-vous réguliers pour débattre des grands sujets concernant la vie quotidienne des habitants et habitantes, dans un esprit de "démocratie participative"La première de ces tables rondes thématiques aura lieu 
le Jeudi 30 mars à partir de 18 h à la Grillerie du Port, à l'invitation de l'Association des amis des élus socialistes et en présence d'Emile Amaro, secrétaire de section PS. Il sera question de la politique d'urbanisme luzienne et de la conception qu'on doit avoir "de la ville du futur". Toutes les personnes intéressées, quelle que soit leur opinion politique,  sont les bienvenues.

lundi 20 mars 2017

Failles spatio-temporelle... et financières



BILLET PUBLIE LE 10 MARS 2017
....en fin de conseil municipal

Consulter le site de la Ville n'est plus, désormais, l'occasion d'exhumer le passé. On s'aperçoit en effet ce soir que l'onglet "expression de l'opposition" pointe enfin vers... 2017. Alors que nous avions pu constater jusque ici la présence en ligne d'articles publiés par le groupe socialiste... en 2012 ! 
Le service informatique ayant inséré à notre demande un texte évoquant le blog des élus PS ainsi que notre actualité, cette faille spatio-temporelle est refermée (voir notre billet "retour vers le Futur"). 
Merci !

Mais il s'en faut de beaucoup que tous les débats sur la chronologie des faits soient apaisés en conseil municipal.... Où le ton est soudainement monté en fin de séance. On s'est plaint ce soir, notamment,  de ce que l'enquête diligentée pour savoir s'il existait une demande à Saint-Jean-de-Luz en faveur d'une crèche bascophone ait été close..  Avant même d'avoir commencé ! Sans prendre partie sur le fond en ce qui concerne les responsabilités de ce "petto", nous comprenons l'énervement du groupe Abertzale à ce propos.

Comme nous comprenons aussi son agacement face à l'absence de réponse de M. le Maire aux propositions (déjà anciennes) d'Herri Berri  de "durcir" les obligations réglementaires, afin d'étendre notamment l'obligation de faire des logements sociaux aux plus petits programmes immobiliers. Nous soutenons, pour notre part, ces propositions... et  avons rappelé à M. Duhart , pendant le Débat d'Orientation Budgétaire, que le conseil municipal attendait toujours le résultat de l'étude qu'il s'était engagée à mener sur la question : M. le Maire, bonne surprise, a indiqué que ses services étaient sur le point de
donner à ces propositions une réponse écrite !

On peut espérer, sinon un consensus, du moins une certaine convergence des points de vue en matière de politique du logement dans la Ville : que la proportion de résidences secondaire soit ou non inférieure aux chiffres de l'INSEE (ce que soutient M. le Maire, en s'appuyant sur le rôle de l'impôt) il est évident pour nous qu'il y en a trop, de toute façon,  pour que le dynamisme de la Ville soit maintenu toute l'année, et pour que l'éviction des résidents locaux ne soit pas rendue automatique dans bien des cas en raison du renchérissement des loyers.
Majorité et oppositions devraient au minimum s'accorder sur ce point....

Concluons par une analyse du compte financier 2016.
Sa lecture ne nous inspire aucun optimisme évident :
- Les fonds de roulement sont en nette diminution, et l'on n'écarte  pas la possibilité d'un nouvel emprunt d'équilibre.... qui nous paraît inévitable vu l'absence de trésorerie constaté.
- Les excédents sont en baisse ( moins 200 000 euros).
- La dette n'est pas aussi diversifiée que la Municipalité le prétend...
(deux banques en détiennent 75 %).
- La masse salariale augmente, contrairement aux promesses du budget primitif, et comme nous l'avions annoncé lors de son adoption ... tandis que les dotations, elles,  diminuent fortement.
- Au total, et c'est  mieux que d'habitude : 34 % des investissements annoncés n'ont pas été concrétisés. C'est encore beaucoup trop !
- La dette diminue, mais elle reste très élevée : 16,6 millions d'euros !
Ce n'est donc pas une faille, mais un véritable "trou" dont M. le Maire affirme, avec une certaine maladresse, qu'il a entrepris de le combler depuis 2013. Pourquoi avoir autant attendu ? 
Elle était passé de 10 à 20 millions entre 2000 et 2008, on a bien du mal depuis lors à la faire redescendre à des niveaux acceptables.
- Plus gênant encore : s'il n'y a pas forcément de "loup"... la présentation des comptes est une fois encore trop "floue" pour ne pas susciter nos plus grandes réserves (voir le billet "La dette mystérieuse")

rappel : table ronde à la Grillerie le 30 mars à partir de 18 heures

dimanche 19 mars 2017

LA DETTE LUZIENNE PLUS LOURDE A PORTER QUE CELLE DE BIARRITZ ?

Posté le 19 mars


Comparaison n'est pas toujours raison, et l'on peut penser, a priori, que les dépenses et la dette biarrottes sont supérieures à celles de Saint-Jean-de-Luz, commune plus modeste. Seule une curiosité aiguisée peut pousser le citoyen à vouloir, tout de même, vérifier laquelle des municipalités semble être la plus "bling-bling"... Puisqu'on lui assène que les comptes sont "maîtrisés" dans la cité des Corsaires, il a tendance à le croire.

Et pourtant !

Si Biarritz apparaît, en valeur,  comme plus lourdement endettée (37,4 M € contre 17,7 M € en 2015)  force est de constater que la dette/habitant est à peu près la même dans les deux Villes (et très supérieure, pour ce qui concerne Saint-Jean-de-Luz, à la moyenne des communes de taille équivalente : Voir notre billet "Y-a-t-il un  loup ?").

Plus grave encore.....



La capacité de désendettement de Biarritz est bien plus basse ! 

Autrement dit, le fardeau est moins lourd sur les épaules 
du contribuable de Biarritz...  que sur celles de son voisin Luzien.





Il est donc logique que l'Argus des Communes, qui n'est pas tendre sur ce sujet, ait attribué un 5/20 au Maire de Biarritz, en le classant parmi les maires "dépensiers", 
mais qu'il ait attribué un zéro pointé à

Peyuco Duhart, dont la gestion ne s'apparente pas à celle d'un bon père de famille, on le voit !


jeudi 16 mars 2017

IRONIE ET MARRONIER

Posté le 16 mars 2017

Le journal Sud-Ouest relève, dans son édition d'hier, le trait d'humour d'un élu de la majorité, lequel, rappelant le conseil d'aller se former ("C'est gratuit " avait cru bon de préciser l'un de ses colistiers) donné par M. le Maire à M. Vanderplancke lors du dernier Conseil Municipal, s'est plu à imaginer de citer ce motif pour expliquer l'absence éventuelle de l'Opposant à la réunion du Comité Syndical de la Baie.

Au delà de la blague, et dans la mesure où l'élu socialiste avait répondu au Maire qu'il ne suivrait son conseil (et cette formation) que si le premier magistrat estimait que son opposition était en position d'arriver aux responsabilités, on peut s'interroger sur le caractère récurrent d'une telle invite, prometteuse pour l'intéressé mais, au fond,  un peu déplacée, de la part de la majorité.

N'est-il pas étonnant, en effet, que des personnes en place depuis des années, voire des décennies, paraissent incapables de répondre à une question simple sur le budget qu'ils présentent ?
Et qu'ils préfèrent prier ceux qui les interrogent sur la capacité de désendettement de la Ville
(une question légitime, et non une tentative de déstabilisation de quiconque)
d'aller, sinon se faire pendre ailleurs, du moins "se former" ? (car "il existe des stages").



Peut-être les journalistes eux-mêmes sont-ils un peu las du "ping-pong" rituel sur les questions financières? L'an dernier, à peu près à la même époque, le Maire et son Adjointe, dans l'incapacité de démentir notre calcul du ratio de désendettement (supérieur à dix années) avait adressé le même conseil à l'élu socialiste... dont pourtant les comptes étaient exacts !

Le sujet est donc en passe de devenir un marronnier : "article de faible importance meublant une période creuse, consacré à un événement récurrent et prévisible".  Car révéler l'impuissance des élus locaux à comprendre le budget et/ou le compte administratif n'est (hélas) pas un scoop, et la réponse du Maire à l'opposant un peu trop curieux est bel et bien  bien devenue prévisible !

Reste que, si la farce est belle, la dette reste lourde et bien supérieure à celle des communes proches (voir notre article "Y-a-t-il un loup ?") et le piéton a bien raison de s'y intéresser . Quant au Comité syndical du Syndicat intercommunal de la baie, auquel M. Vanderplancke a bel et bien assisté, une impression joyeuse en émanait, le Département ayant laissé entendre qu'il pourrait engager d'importants financements en faveur du projet des Recollets.

Le même optimisme imprégnait d'ailleurs l'atmosphère lors du dernier Conseil Municipal. La Droite locale est de bonne humeur. Nous aussi. L'élu du cru est facétieux : bien vu.



dimanche 12 mars 2017

Y-A-t-IL UN LOUP ? VOTE EN ABSTENTION SUR LE COMPTE ADMINISTRATIF

Comme l'an passé, nous rendrons compte dans notre blog de tous les votes en opposition ou en abstention du groupe socialiste ....


Posté le 11 Mars 2017
Quand c'est "flou"....
on s'abstient !?

Lors du Conseil Municipal du 10 mars, nous avons refusé d'approuver le compte administratif du budget principal comme, plus tard, l'affectation des résultats de l'exercice 2016 pour ce même budget principal. (Tout comme d'ailleurs, le groupe Herri Berri)

En ce qui nous concerne, cette double abstention a été justifiée par notre 
curiosité à l'égard du mode de calcul du ratio de désendettement, lequel serait de 6,7 années.
Et, surtout, par l'incapacité totale de nous expliquer d'où sortait ce chiffre, comme par hasard rigoureusement identique au ratio de 2015, à croire qu'on l'avait recopié au lieu de calculer le ratio pour 2016 !

Notons qu'à un tel niveau, certes encore bien supérieur à celui des villes limitrophes 
(2,7 à Ciboure et 2 à Urrugne, ou 5,4 à Hendaye - chiffres de 2015)
l'effort de déstockage de la dette semble enfin commencer à porter ses fruits..
Et il en est d'ailleurs grand temps : le fardeau est conséquent !

La dette par habitant bat en effet des records : 



Et, par ailleurs, la dette reste, en volume, très conséquente. 

(Il faut dire que M le Maire date lui même ses efforts pour la juguler.. de 2014. 
Sa réactivité n'a pas été exceptionnelle ! )


Notre problème, c'est que les chiffres donnés hier par le Maire 
semblent montrer un ratio beaucoup moins favorable.... 
Les dépenses de fonctionnement sont de 23 739 584 € 
et les recettes s'établissent 
à 25 122 917 €. 
Ainsi donc, le solde ou épargne brute 
(le résultat définitif, obtenu 
par soustraction des dépenses aux recettes) 
est de 1383 333 €.
  Si ces données sont exactes, la capacité de désendettement, 
soit la dette/ épargne brute serait donc ... de douze ans ! 
Pas de 6,7 ans !


M le Maire nous a demandé de lui faire confiance et, une nouvelle fois, nous a invités avec une certaine condescendance à aller nous former, mais il n'a pu nous expliquer d'où sortait son ratio. 
Pour tout dire, il semblait l'ignorer.

Nous pensons comprendre que ce sont d'autres chiffres (les "données réelles de fonctionnement après retraitement" et "les recettes réelles de fonctionnement après retraitement") qui ont été utilisés, mais ne parvenons pas à nous faire expliquer pourquoi ils sont si différents des données contenues dans le résultat global de clôture.

M. le Maire nous a assuré que le chiffre de 6,7 était le  bon, et nous a demandé si nous cherchions à prouver qu'il y avait là "un loup".... 
Nous avons seulement constaté un grand "flou" et, dans le doute 
(car il est déjà arrivé que l'Exécutif local se trompe dans les chiffres) 
nous nous sommes abstenus... 
en espérant que la capacité de désendettement de la Ville ne soit pas effectivement 
remontée à 12, soit un peu plus qu'en 2014. ...

Car celà signifierait :
1. la fragilité de l'amélioration constatée en 2015 
2. un manque de rigueur extraordinaire dans la présentation du Compte Administratif

[remarque ajouté le 09/04 - si la CAF est de 6,7 ans selon le compte administratif de
l'année écoulée - 2016 - le budget primitif 2017 la fait bondir à plus de dix ans ! On peut donc avec raison parler de fragilité du déstockage de la dette. Il semble qu'on  escompte le gonflement des recettes par la mise en vente de biens communaux pour résoudre cette difficulté - voir notre page DETTE ou l'article "budget pudique et opposants lucides"]


samedi 11 mars 2017

TABLE RONDE LE 30 MARS

Billet inséré le 1er mars



Nous donnons rendez vous à la population, sympathisants de Gauche ou citoyens intéressés par les sujets abordés, pour une rencontre-débat. Cette table ronde organisée avec le concours de l'Association des amis des élus socialistes aura lieu à la Grillerie du Port le JEUDI 30 MARS à partir de 18 h et sera consacrée à la Politique d'urbanisme de la ville de Saint-Jean-de-Luz. Une lettre d'information préparatoire au débat sera envoyée prochainement aux adhérents de l'association et aux "followers" inscrits sur notre blog.

Au delà du dossier "chaud" de l'aménagement du centre-ville et du secteur Foch, beaucoup d'autres questions méritent discussion et nous comptons sur les citoyens pour compléter notre information, éclairer notre jugement....

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vendredi 10 mars 2017

LA DETTE MYSTERIEUSE

Billet posté le 11 mars


LE COMPTE ADMINISTRATIF FINANCIER ETAIT AU MENU DU CONSEIL 
MUNICIPAL REUNI HIER




Une fois encore, M. le Maire et son Adjointe n'ont pas été en mesure de répondre à nos questions et, avec leur culot habituel,  nous ont conseillé de suivre une formation spécialisée. Eux font ostensiblement confiance aux experts et estiment que les comptes, parce qu'ils auraient été vérifiés et validés par les autorités compétentes, doivent être approuvés sans discussion . 


Nous sommes donc priés de faire aveuglément confiance à un compte financier dont l'exposé est incompréhensible sur un point important... une bizarrerie nous a, en effet, fortement interpellés.


Si nous partons de l’épargne brute (ou capacité d’autofinancement) :
Selon le résultat définitif elle est de 
1 383 333,11 € (annexe 1, page 5).
C'est bien cette somme qu'on obtient en faisant la soustraction entre le total des recettes de fonctionnement 
25 122 917 € et des dépenses 23 739 584 € (annexe 2 page 1)
Autrement dit la capacité de désendettement de la ville 
semble à première vue.... s'élever à douze années ! 
C'est considérable et même dangereux.

On comprend mal dans ces conditions que les documents fournis par M. le Maire attirent l'attention sur la limite à ne pas dépasser : 11 années. Et l'on comprend encore plus difficilement que dans « l'état de la dette » intégré au rapport de présentation du compte administratif, soit évoqué un ratio de désendettement de 6,7 années, qui serait celui de Saint-Jean-de-Luz. D'où sort ce chiffre est comment a-t-il été calculé ? Rien n'est précisé à cet égard ! Pourtant, cela change tout : une capacité de désendettement de 7 années, c'est acceptable (encore que ce soit plus que dans les voisines communes).

On préférerait, bien entendu, que la capacité des désendettements de la ville soit bien de 7 ans et non de 12 : mais, surtout, l'on ne comprend donc pas  pourquoi des chiffres différents sont fournis s'agissant des recettes et des dépenses... selon les pages et les tableaux (pourtant insérés dans les mêmes documents) ! Personne n'a d'ailleurs pu ou voulu nous expliquer ces contradictions apparentes.... Lesquelles nous ont obligé à voter en abstention, par précaution, tandis que M. le Maire semblait dire que nous étions en train de pinailler. 


MAIS LA DIFFERENCE ENTRE L'EPARGNE BRUTE DE LA VILLE D'APRES LA PRESENTATION SYNTHETIQUE DU CAF ET CELLE PRISE EN COMPTE POUR CALCULER 
LA CAPACITE DE DESENDETTEMENT 
DE LA COMMUNE EST DE : 
UN MILLION D'EUROS.... 
une paille !

Rappelons que nous avions montré lors de l'adoption du budget primitif qu'il risquait de faire monter le ratio de désendettement à 10,4 années. Un calcul  longtemps contesté par  M. le Maire.... du moins jusqu’à ce que la presse nous donne raison ! (voir notre billet du 9 avril 2016 : "un budget peu convaincant et peu maîtrisé").

La source de notre étonnement se résume en  une phrase : 
Pourquoi le montant des recette réelles de fonctionnement et 
celui des dépenses réelles de fonctionnement 
figurant dans les tableaux des pages 6 et 12 de l’annexe 1 
sont-ils  différents de celui indiqué dans la note synthétique (annexe2) 
ou même de la page 5 
du rapport de présentation ?  
Quels chiffres sont les bons  ?

A priori, ni M. le Maire ni son adjointe ne savaient hier pourquoi les données étaient à ce point différentes 
d'un tableau à l'autre. Un (gros) doute subsistait donc à nos yeux quant à la capacité de désendettement 
réelle de la Ville 
au moment du vote du CAF !

Evidemment, nous tâcherons de vérifier ce qu'il en est...

dimanche 5 mars 2017

COMMUNIQUE DE PRESSE REMIS LE 6 MARS 2017



Texte envoyé à la presse locale le 06/03/17


COMMUNIQUE DE LA GAUCHE LUZIENNE

Les élus socialistes Luziens se félicitent du ralliement du groupe Herri Berri à un amendement.... socialiste. 

L'offensive médiatique du groupe Abertzale Luzien donne raison à la Gauche de gouvernement, qui a permis aux communes de majorer les taxes sur les résidences secondaires.

Le Maire Peyuco Duhart fait mine de s'opposer à la majoration de 60% mais a déjà appliqué la surtaxe de 20 % mise en place précédemment. Il prétend soumettre lors du futur débat d'orientation budgétaire le projet d'en rester à 20% mais annonce en même temps une hausse prochaine ("lissée et maîtrisée" ) de celle-ci... Sa position n'est pas claire ! Et l'on attend toujours par ailleurs  sa réponse aux propositions de l'opposition s'agissant d'aménager les règles d'urbanisme locales. Il avait pourtant assuré les étudier.. 

Les élus socialistes insistent pour que la surtaxe  soit utilisée pour la politique de logement municipale et non pour renflouer les caisses de la Ville  

Ils invitent la population à une table ronde le 30 mars prochain 

à la Grillerie du port, dès 18 heures, sur le sujet de l 'Urbanisme.




mercredi 1 mars 2017

Le cinquième élément

BILLET POSTE LE 1er MARS

Aux  "quatre raisons de contester les plans de M Duhart " concernant le centre-ville mises en avant par l'association Gardena (voir notre billet du mois dernier rendant compte du courrier adressé au conseil municipal) nous ajouterons un argument de poids... quoique liquide. Si nos Anciens n'ont pas cherché à urbaniser la zone autour et en aval de la place Foch, c'est en raison de son caractère submersible !
L'exposition du secteur aux crues de la Nivelle est bien  connue, mais il y a aussi la question du niveau de la mer... On est sans doute là sur le site Luzien le plus sensible à ces deux aléas. Alors non, encore une fois, faire des parkings souterrains et densifier l'existant dans cette zone, ce n'est pas très raisonnable : chacun sait que le PPRI inclue l'îlot dans le secteur rouge (hachuré).


Effets spectaculaires de la tempête hier à Biarritz


Regardons ce qui risque de se passer sur toute la côte basque et aquitaine pour peu que l'érosion marine prenne un peu plus de vigueur... Constatons la fréquence accrue des transgressions  à l'occasion des "coups de vent" et autres tempêtes ; et prenons acte des catastrophes telles que celle survenue à La-Faute-sur-Mer. La Gestion d'une Ville engage plus que la génération aux affaires, il faut anticiper !