Billet du 14 juin 2017
L'été s'annonce et aussi... Les grandes vacances. Voilà que les autorités confirment déjà les dates des congés pour l'année scolaire prochaine. D'aucuns jugeront que c'est un peu tôt, mais en fait : parents et professionnels du tourisme leur expliqueront si besoin tout l'intérêt de disposer le plus tôt possible de ces informations importantes dans l'organisation de la vie familiale...
Dans le même registre, les gens doivent savoir ce qu'il en sera du rythme imposé aux enfants des écoles primaires. Or, le nouveau gouvernement a annoncé, dans la précipitation, que le dispositif actuel (semaine des quatre jours et demi mise en oeuvre par le ministre Peillon) était abandonné. " En même temps " les communes désireuses de conserver ce système et les activités périscolaires qui l'accompagnent devraient le pouvoir !!!
Passons sur cet étrange mode de gouvernance... Promesse de capharnaüm s'il est appliqué à tous les sujets. Pour nous, parents et proches doivent pouvoir organiser au mieux la vie de l'enfant, enseignants et professionnels sa prise en charge institutionnelle. On espère donc que la municipalité luzienne - plutôt raisonnable en ces matières - ne procédera pas à une révision du rythme scolaire "à la hussarde" pour complaire a M Macron et qu'elle conservera sagement, en 2017-2018, l'organisation en vigueur cette année. Au delà, une réflexion doit être menée, et l'enfant - toujours " au centre" dans les discours - ne pas voir son intérêt sacrifié au profit d'impératifs économiques ou corporatistes. Vaste débat, qui déborde du cadre municipal.
Passons sur cet étrange mode de gouvernance... Promesse de capharnaüm s'il est appliqué à tous les sujets. Pour nous, parents et proches doivent pouvoir organiser au mieux la vie de l'enfant, enseignants et professionnels sa prise en charge institutionnelle. On espère donc que la municipalité luzienne - plutôt raisonnable en ces matières - ne procédera pas à une révision du rythme scolaire "à la hussarde" pour complaire a M Macron et qu'elle conservera sagement, en 2017-2018, l'organisation en vigueur cette année. Au delà, une réflexion doit être menée, et l'enfant - toujours " au centre" dans les discours - ne pas voir son intérêt sacrifié au profit d'impératifs économiques ou corporatistes. Vaste débat, qui déborde du cadre municipal.
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