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mercredi 24 octobre 2018

RENOVATION DU CENTRE, L'HEURE DE VERITE

BILLET DU 24/10/18

UN PROJET RATE
Tout a été dit sur ce projet pharaonique mais mal financé et dangereux, dont la Gauche Luzienne estime qu'il faudrait le repenser complètement. Se contenter de verdir la moitié de la dalle bétonnée ne changerait rien, en effet, aux vices d'un projet qu'elle condamne pour deux raisons :
- il n'a pas été défini dans la concertation ni la transparence
- il n'est pas compatible avec le développement durable.

UNE ALERTE MEDIATIQUE
Nous avons expliqué à Sud Ouest en quoi l'opération serait anachronique et dangereuse (édition de Lundi) et 
nous y revenons plus longuement dans notre troisième édition de
LA LETTRE DES ELUS.

DES RESPONSABILITES A ASSUMER
La balle est dans le camp de M le Maire. 
Il s'apprête sans doute à commettre une erreur historique d'autant plus dommageable qu'une bonne part de la population ne comprend pas ses priorités et s'étonne que la majorité municipale ait abandonné certaines promesses électorales : maison des seniors, parkings relais [à cet égard, la commune vient enfin d'annoncer, en juillet 2019, le lancement d'études de faisabilité, ce qui n'augure pas d'une réalisation rapide, malgré les promesses : un effet d'annonce est recherché à l'évidence à la veille des élections municipales, mais la municipalité n'a toujours pas tranché entre dissuasion et entassement des automobiles dans de grands trous forés en coeur de ville ! NOTE DU 26/07/19] etc.

Commentaire ajouté le 03/02/2020
A cette erreur, lourde d'impacts néfastes, par ailleurs, sur les finances de la Ville (car le prestataire privé mettra des années à se rembourser, sans payer de redevance à la commune, s'il lui faut creuser plusieurs niveaux en zone inondable comme la mairie le souhaite) s'en sont ajoutées d'autres : notamment le non financement du pôle culturel (ni la question des frais de fonctionnement ni celle du stationnement n'ont été correctement anticipées, pas plus d'ailleurs que la fermeture de toutes les salles de spectacle "en dur" pour un temps indéterminé). Quant à l'activité de séminaire que la ville comptait lancer et auto-financer en vendant une partie des locaux qu'elle détenait à la Pergola : seuls les travaux pris en charge par l'hôtelier sont en cours, la commune n' ayant encore fait aucun plan pour développer son fameux "centre de congrès" mais les six millions engrangés par la vente d'un bien public ayant disparu dans le gouffre de la dette.

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